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Depuis déjà quelques années, nous souffrons chaque été d’épisodes de sécheresse, de canicules, plus ou moins prolongés et souvent associées à des restrictions d’eau.
Il est évident que cela n’ira pas en s’arrangeant avec le temps et même si l’arrosage est encore autorisé, celui-ci nous coûtera notre bourse et notre santé. En plus de gaspiller l’eau, une denrée précieuse, vous risquez de perdre aussi le plaisir de jardiner. Alors que faire ? Arrêter de nous occuper de nos belles plantes ? Arrêter de créer des jardins ? Certainement pas ! Beaucoup de plantes rustiques sont capables de pousser, de fleurir, de prospérer même durant la sécheresse. Voici une petite sélection de vivaces fleuries, couvre-sols et graminées résistantes à la sécheresse, idéales en jardin sans arrosage… De quoi fleurir votre jardin tout l’été sans craindre l’absence de pluie.
Originaire d’Afrique du Sud et de Madagascar, le Delosperma aime la chaleur, le soleil et les sols secs. La variété ‘Wheels of Wonder Orange‘ se couvre littéralement de petites fleurs ligulées de couleur orange-vif entre juin et septembre. C’est une plante couvre-sol succulente parfaite pour les rocailles, les sols très secs, les murets… Elle couvre très rapidement une belle surface grâce à ses tiges rampantes qui s’enracinent facilement. Ce pourpier vivace sera tout à fait à son aise au pied de quelques Stachys, Centranthus ou Sedum (voir plus bas). Petite mise en garde cependant, elle souffrira en-dessous de -10° C.
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Survivre à une sécheresseLe petit surnom de Stachys byzantina « d’oreille d’ours » ou « d’oreille de lapin » est encore plus mis en valeur sur la variété ‘Big Ears‘ qui veut dire littéralement « grandes oreilles » en regard de la taille de ses jolies feuilles duveteuses et argentées. Les Stachys aiment le soleil et, plus le sol sera sec, plus le feuillage prendra une couleur argentée. Bien que d’aucuns trouvent la floraison trop discrète, les hampes florales dressées portant quelques fleurs roses en étage sur la plante sont tout à fait charmantes. Cette plante couvre-sol est aussi très résistante au froid et… à peu près tout le reste. La seule chose qu’elle n’aime pas est d’avoir les pieds dans l’eau. Bref, si vous ne l’avez pas encore adoptée, c’est une vivace à planter de toute urgence en rocaille, en massif ensoleillé ou encore en bordure…
Si vous aimez les sauvageonnes sans soucis, l’Achillée ‘Little Moonshine’ est la plante qu’il vous faut. Plus compacte que sa « grande sœur » ‘Moonshine’, elle est aussi plus précoce au niveau de la floraison. Capable de végétaliser un endroit déshérité en très peu de temps, elle est aussi d’une frugalité à toute épreuve. Elle possède en outre un ravissant feuillage découpé gris-argenté à peine mis en concurrence avec son exubérante floraison jaune en corymbe qui s’étale entre mai et septembre. Au jardin, utilisez-la en rocaille, en bordure de massif ensoleillé, au pied des rosiers ou carrément… pour remplacer le gazon sur une zone non piétinée.
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Arroser un jardin en période de caniculeLa touffe vigoureuse d’un Gaura lindheimeri « normal » est déjà splendide par définition mais la variété ‘Freefolk Rosy‘ dépasse l’entendement. Elle fleurit sans discontinuer entre juin et octobre en une multitude de fleurs étoilées blanches bordées de roses, le tout porté par des tiges souples qui se balancent au grès du vent. Même le feuillage est magnifique : panaché de crème avec des petites touches violettes. Sa racine pivot lui permet de s’enraciner dans des sols rocailleux très secs. Mais le Gaura sera à son aise partout dans votre jardin : en massif ensoleillé, entre des arbustes, au pied des rosiers, dans une prairie « américaine » en compagnie d’Aster, d’Echinacées ou de graminées et même dans des grosses potées. Ne cherchez plus, il vous faut absolument des Gauras !
Le Sedum d’automne fleurit tardivement, d’où son nom, entre août et octobre. Ce qui est une bénédiction pour les derniers papillons de la saison et quelques abeilles en fin de vie. La variété ‘Matrona’ possède une floraison élégante en cymes constituées d’une myriade de toutes petites fleurs roses en étoile. Son feuillage vire au pourpre en automne et les tiges sèches peuvent rester tout l’hiver en place. C’est décoratif mais aussi utile pour certains oiseaux qui viendront se régaler des graines. Les sedums apprécient les sols secs, ensoleillés, voire même brûlants et sont très rustiques. La seule chose qu’ils redoutent est l’humidité hivernale.
La Valériane des jardins (Centranthus ruber) possède une superbe floraison rouge de juin à octobre. Ces fleurs sont très nectarifères et attirent beaucoup les papillons. Cette plante est quasiment inratable car elle pousse partout, mais avec une préférence pour les sols pauvres et secs, et s’insérera avec succès dès qu’elle entrevoie un petit bout de terre nue dans un massif ou simplement un trou dans les joints de maçonnerie. Elle se balade tellement facilement dans votre jardin qui lui arrivera de faire des petites escapades sur la rue ou dans les jardins de vos voisins. Ce n’est pas très grave : la Valériane des jardins est si belle que personne ne vous en voudra…
Formant parfois des touffes de plus d’un mètre de largeur, l’Euphorbia Characias ou Euphorbe arbustive est intéressante à plus d’un titre. Elle résiste très bien à la sécheresse, peut pousser dans des endroits compliqués (sur un muret par exemple) et montre un feuillage vert bleuté persistant toute l’année. Véritable curiosité botanique, cette Euphorbe nous gratifie d’une très agréable « floraison » jaune-verdâtre qui dure entre juin et septembre. L’Euphorbe arbustive sera particulièrement bien mise en valeur en compagnie de sedums, de phlomis, de thym ou de lavandes pour un massif à l’ambiance méditerranéenne.
Erigeron karvinskianus ou vergerette n’a pas volé son surnom de « pâquerette des murailles ». Elle lui ressemble un peu au niveau de sa floraison qui s’étale entre mars et octobre, avec une pause en période de sécheresse, pour reprendre de plus belle dès le retour de la pluie. Elle s’accommode des sols les plus secs et pauvres. Elle se ressème partout et se propage aussi par rhizome, mais pourrait-on lui en vouloir ? Cette sympathique petite vergerette n’est jamais encombrante et fleurit les coins les plus ingrats du jardin (escaliers, vieux murets, entre les dalles,…), là où aucune autre plante n’aurait voulu se glisser. A noter, que son feuillage est persistant l’hiver jusque -5° C.
La variété ‘Elijah Blue’ est encore plus résistante et possède une plus grande longévité que l’espèce type. Cette graminée apprécie les sols pauvres, elle est très rustique et indifférente à la sécheresse. Elle montre de petites touffes d’un beau feuillage bleue acier, rehaussé de quelques épillets argentés en fin de printemps. C’est une graminée sans soucis qui prendra sa place en rocaille, dans un massif ensoleillé, en couvre-sol, en bordure, en pot ou en alternative à un gazon non piétiné. Son feuillage bleuté produit un admirable contraste avec les floraisons jaunes comme celles d’Achillea ‘Moonshine’, par exemple.
On ne présente plus cette si charmante graminée. Stipa tenuifolia est aussi appelé « cheveux d’ange » tant son feuillage est léger et se balance à la moindre petite brise. Autant à l’aise dans une prairie « sauvage » que dans un jardin stricte et contemporain, c’est aussi l’une des graminées les plus résistantes : sols pauvres, sols secs, froid, chaud… Peu importe pour Stipa tenuifolia, cette graminée poussera en belles touffes dès l’année suivante jouant avec le vent et le soleil. Elle peut aussi se ressemer là où elle en a envie. Au jardin, plantez-la avec d’autres vivaces fleuries et légères : Verveine de Buenos-Aires, Gauras, Asters, Nielle des blés, Penstémons, …
bonnichon arlette, le 13 Septembre 2019
je voudrais trouver des arbustes à planter dans un endroit trés peu ensoleille à noter qu il n a pas plu chez nous depuis juin c est despérant
Réponse de Virginie D., le 20 Septembre 2019
Bonjour !
C’est un projet qui nécessite de réunir plus d’informations, en particulier sur vos goûts et la nature du sol. N’hésitez pas à prendre contact avec notre service client par mail: serviceclient@promessedefleurs.com , l'un de nos conseillers jardins saura vous guidera dans le choix de végétaux adaptés.
Cordialement Virginie
Isabelle, le 14 Septembre 2019
Bjr j'ai lu le bilan de l.enquete sur la sécheresse .
Ds les plantes résistantes que vous proposez figure les sédums ! J'ai certains pieds cette année qui souffrent de la sècheresse pour la première fois Isabelle une fidèle cliente au plaisir de vous voir à S t Jean
Réponse de Olivier, le 16 Septembre 2019
Bonjour Isabelle, c'est étrange car les sédums sont parmi les plantes les plus résistantes à la sécheresse. Pourriez-vous nous en dire plus sur vos sédums ? Sont-ils cultivés en pleine terre ou en pot ? Dans quel type de sol ? Ont-ils été planté cette année ou sont-ils là depuis plusieurs années ? Merci pour vos informations.
MICHÈLE LOUIS, le 8 Août 2020
Que mettre dans une plate-bande j'ai déjà des phlox, des soucis
très secs, cette année, des ostéospernums! quoi d'autre?
merci d'avance
Réponse de Virginie D., le 14 Août 2020
Bonjour,
Vous avez plein d'idée dans notre fiche conseil.
Cordialement Virginie
DOUCET-MAHIEU Francine, le 15 Août 2020
Bonjour, je désirerai connaitre les dates d'achat et de plantation
les plus propices a la bonne reprise de ces plantes vivaces résistantes à la sécheresse ,merci, Cordialement, Francine DOUCET-MAHIEU
Réponse de Olivier, le 18 Août 2020
Bonjour madame, pour ma part j'ai toujours préféré une plantation en automne (octobre-novembre, voire même décembre s'il ne gèle pas) qui permet à la plante de bien préparer un fort système racinaire. Les vivaces et les arbustes peuvent ainsi démarrer leur vie au jardin sur de bonnes bases. Néanmoins dans le cas de certaines plantes, je pense notamment aux Sedums et aux Perovskias, je les plante surtout au début du printemps. Cela leur évite une trop forte humidité dès la plantation. En résumé, les plantes redoutant l'excès d'eau doivent être plantées au printemps, les autres en automne. Ainsi, toutes ces plantes résisteront dès leurs premières années à la sécheresse. Il suffira juste de surveiller leur état lors de la première année.
rouby, le 13 Août 2024
bonjour je ne sais pas si c'est la sécheresse, mais mon poirier couvert de fruits en très bon état, à ses feuilles qui se crachent marron puis deviennent sèches et noires mais bien fixées à l'arbre.
je les coupe tous les jours.
il est à côté du composteur arrivé il y a un an. L'arbre à 4 ans.
expo est île de Ré.
première année qu'il a cela.
printemps et début été il a eu des chenilles qui vrillaient les feuilles du bout, puis des punaises tigres de la taille d'un puceron.je n'ai pas traité car je veux manger bio.
après la récolte quel devenir pour mon arbre à votre avis?
va t'il mourir ?
Réponse de Sophie, le 14 Août 2024
Bonjour,
Il semble que votre poirier traverse une période difficile. Plusieurs facteurs peuvent expliquer les symptômes que vous décrivez, et je comprends votre inquiétude. Voyons ce qui pourrait se passer et comment agir pour l'avenir de votre arbre.
1. La sécheresse :
Les feuilles qui deviennent marron, sèches, puis noires sont souvent un signe de stress hydrique, surtout en période de sécheresse. L'exposition à l'île de Ré, où le climat peut être venteux et sec, pourrait exacerber ce problème. Assurez-vous que votre poirier reçoit suffisamment d'eau, surtout pendant les périodes chaudes et sèches. Un arrosage en profondeur une à deux fois par semaine pourrait l'aider.
2. Maladies fongiques ou bactériennes :
Le brunissement et le noircissement des feuilles pourraient également indiquer une maladie comme le feu bactérien ou une infection fongique. Ces maladies peuvent se propager, surtout si l'arbre est affaibli. Étant donné que vous ne souhaitez pas utiliser de traitements chimiques, il serait judicieux d'éliminer et de détruire les feuilles infectées que vous coupez pour limiter la propagation.
3. Impact des insectes :
Les chenilles et les punaises tigres ont certainement affaibli votre poirier en début de saison. Bien que vous ayez choisi de ne pas traiter, ces insectes peuvent stresser l'arbre et le rendre plus susceptible à d'autres problèmes, comme les maladies.
4. Proximité du composteur :
Le fait que le composteur soit installé près de l'arbre peut également avoir un impact, surtout si le compost n'est pas encore bien décomposé. Un excès de nutriments ou des émissions de chaleur lors de la décomposition peuvent perturber les racines.
5. L'avenir de votre poirier :
Il est difficile de dire avec certitude si votre poirier va survivre, mais il y a encore de l'espoir. Après la récolte, je vous conseille de bien tailler l'arbre pour éliminer les parties affectées. Continuez à surveiller l'arbre pour voir s'il montre des signes de récupération. Un bon apport en eau, un paillage au pied pour conserver l'humidité, et une bonne gestion des feuilles malades peuvent aider.
Si les symptômes persistent ou s'aggravent l'année prochaine, il pourrait être utile de consulter un expert en arboriculture ou un paysagiste local pour obtenir des conseils plus spécifiques.
J'espère que ces conseils pourront vous aider à sauver votre poirier !