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Pour les jardiniers débutants, c’est l’étape souvent redoutée : le rempotage d’une plante ! Si le pot est souvent choisi pour sa fonction esthétique, il doit également répondre aux besoins des végétaux.
Rappelons que le rempotage est nécessaire pour deux raisons principales.
Voici nos conseils pour bien choisir le nouveau pot qui accueillera votre plante et faire du rempotage un rituel facile et rapide.
Si vous constatez l’un de ces symptômes, c’est signe qu’il est temps de rempoter votre plante !
Le rempotage des plantes a idéalement lieu lors de la période de dormance des végétaux. Procédez donc au début du printemps, ou bien à l’automne. Pour les plantes d’extérieur, procédez impérativement en dehors des périodes de gel ou de sécheresse.
Le rempotage s’effectue généralement tous les deux à trois ans. L’année où vous ne pratiquez pas de rempotage, vous pouvez effectuer un surfaçage, c’est-à-dire un remplacement des premiers centimètres de substrat par du neuf. Cette solution est également envisagée lorsque la plante est trop lourde pour être déplacée, qu’il est difficile d’envisager un contenant plus grand (surtout pour les plantes d’intérieur) ou que la plante a atteint sa taille définitive.
Quelques exceptions peuvent vous pousser à rempoter à d’autres moments dans l’année.
Le nouveau contenant dans lequel vous allez rempoter votre plante devra être plus grand que le précédent. Mais la notion de « plus grand » est parfois assez floue et les volumes peuvent être exprimés de façon différente (en litres ou en cm). On entend souvent qu’il faut simplement choisir la taille supérieure : si votre plante est dans un pot de 30 cm de diamètre, optez pour un contenant de 40 cm de diamètre. Mais la taille du futur pot dépend en fait de critères complémentaires.
Notez qu’un pot trop grand n’est pas souhaitable, même si vous pensez gagner du temps sur les futurs rempotages. Au-delà de l’aspect esthétique (la plante semblera perdue au milieu de son contenant donc l’ensemble ne sera pas très harmonieux), beaucoup de végétaux cultivés en pot apprécient d’être un peu à l’étroit pour bien grandir ou fleurir.
Vous trouverez des contenants de toutes formes : ronde, carrée, rectangulaire… Celle-ci est souvent simplement choisie par souci d’esthétisme. Par contre, la profondeur du contenant est un facteur essentiel à prendre en compte, qui dépend du développement racinaire de la plante. La moyenne est généralement de 30 à 40 cm de profondeur.
Certaines plantes n’ont besoin que de peu de place et de substrat pour se développer, comme les joubarbes ou les autres vivaces de rocaille, ainsi que certaines fleurs annuelles. Il s’agit de végétaux au système racinaire superficiel, restant en surface. Ces plantes peuvent se contenter de contenants, comme des coupelles, auges, vasques ou jardinières d’environ 10 à 20 cm de profondeur.
À l’inverse, certaines plantes disposent d’un système racinaire profond et volumineux. C’est par exemple le cas des plantes à rhizomes comme le Strelitzia, mais aussi des arbustes fruitiers et des plantes grimpantes. Pour elles, choisissez des contenants d’au moins 50 à 60 cm de profondeur.
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Comment rempoter une plante d'intérieur ?Il existe différents matériaux, chacun ayant leurs avantages et inconvénients. Ils seront choisis en fonction de plusieurs critères :
Il s’agit du matériau privilégié, que nous vous conseillons le plus souvent d’utiliser. La terre cuite ou argile est une matière poreuse d’origine naturelle.
Les avantages :
Les inconvénients :
Les contenants en terre cuite seront par exemple adaptés aux plantes qui n’apprécient pas l’humidité, comme les plantes grasses et cactus, Sansevieria, Dracaena, etc. Si vous avez tendance à trop arroser vos plantes, il s’agit également d’une bonne solution.
Les avantages :
Les inconvénients :
Les contenants en plastique seront plutôt réservés aux plantes qui aiment les substrats humides ou frais, comme les Alocasia, fougères ou Hydrangeas.
Vous trouverez également des contenants en céramique. Contrairement à la terre cuite, ceux-ci sont recouverts d’une couche qui les rend imperméables (ils ne sont donc pas poreux). Ils sont très esthétiques, mais leurs inconvénients sont ceux de la terre cuite : fragilité et lourdeur. De plus, ils sont chers à l’achat.
Les contenants en résine, fibre de terre ou ciment reprennent les propriétés du plastique, mais sont plus esthétiques et offrent un style contemporain.
Les contenants en bois, type bacs à palmiers ou orangerie, sont également assez populaires. Ils offrent une bonne isolation contre les éléments (chaleur, froid, vent) et sont résistants. Leur esthétique naturelle s’intègre facilement dans un jardin ou un intérieur. L’inconvénient est qu’ils nécessitent un traitement régulier, qu’ils sont plus difficiles à déplacer et que leur durée de vie varie selon la qualité du bois.
Enfin, il existe des contenants en métal (zinc, aluminium) de type auges ou bassines. Ils apportent une touche champêtre et vintage. Toutefois, rares sont ceux qui possèdent déjà des trous de drainage. Si vous ne souhaitez pas les percer, nous vous conseillons de les utiliser plutôt comme cache-pot. Notez également que, placés en plein soleil, ils peuvent facilement chauffer.
Notes : il existe des pots à réserve d’eau, fabriqués en différents matériaux. Réservez-les aux plantes appréciant les sols constamment frais et humides.
Les contenants de couleurs foncées chaufferont plus rapidement au soleil que ceux de couleurs claires. Ils créeront donc plus rapidement des écarts de températures, auxquelles certaines plantes sont particulièrement sensibles.
Il est courant de réutiliser d’anciens contenants pour le rempotage de ses plantes. Pour éviter tout risque de transmission de maladies, nous vous conseillons de toujours les nettoyer en amont. De l’eau tiède et du savon noir suffisent pour obtenir un pot propre rapidement.
Le choix du substrat de culture est important, puisque la diffusion d’éléments nutritifs est limitée en pot. Par facilité, vous pouvez opter pour les terreaux spécifiques déjà adaptés aux différents types de plantes. Il en existe pour plantes en pots ou jardinières, pour plantes d’intérieur, pour plantes grasses, pour orchidées, pour plantes acidophiles, pour plantes méditerranéennes, etc.
Autre solution : composez vos propres mélanges adaptés aux besoins de chaque plante.
Le drainage est indispensable pour éviter que l’eau ne stagne au fond du pot et ne fasse pourrir les racines. Choisissez toujours des contenants au fond percé. Pour la plupart des plantes, il est conseillé de rajouter une couche supplémentaire de matériaux au fond du pot (tessons, billes d’argile…) pour permettre à l’eau de s’écouler sans que les racines baignent dedans.
Certains la trouvent peu esthétique, mais la soucoupe a plusieurs utilités en l’absence de cache-pot : elle permet de laisser le temps au substrat de se gorger d’eau par capillarité (surtout lorsqu’il est très drainant). Mais elle sert aussi à protéger les supports sur lesquels la plante est posée (sol, meubles, etc.).
Pensez toutefois à la vider au bout d’une vingtaine de minutes s’il reste de l’eau, pour éviter d’asphyxier les racines.
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