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Certaines plantes s’étalent et se multiplient en produisant des rejets ou drageons. On appelle ce phénomène le drageonnement. Bien que parfois les drageons se révèlent être une bénédiction (maintien des talus, couvre-sol, jeunes plants à moindre frais…), les plantes drageonnantes peuvent vite devenir une calamité si on n’y prend garde.
→ Quelles sont les plantes qui drageonnent ? Pourquoi font-elles cela et comment y remédier ? On vous dit tout dans notre fiche conseil !
Le terme « drageonner » veut dire : produire des rejets qui sortent du sol. Ces rejets apparaissent à partir des racines, des rhizomes ou bien des stolons. Certains rejets restent près de la plante mère, tandis que d’autres resurgissent parfois à plusieurs mètres de celle-ci. C’est une technique de reproduction végétative, c’est-à-dire qu’elle ne fait pas appel à une reproduction sexuée, donc sans brassage génétique. Un drageon est donc un clone parfait de la plante mère.
Il existe quelques avantages au drageonnement :
Mais pas mal d’inconvénients aussi :
→ Pour en savoir plus sur le drageonnement des végétaux, lisez : « Mon arbuste drageonne. Pourquoi ? Que faire ? »
Si vous ne désirez pas retrouver des drageons partout dans votre jardin, vous devrez agir pour empêcher la plante d’en produire ou tout au moins les canaliser.
Enfin, si des drageons apparaissent et que vous souhaitez les éliminer, vous pouvez simplement les tondre, les tailler, ou les éliminer en les désolidarisant de la plante mère.
Certaines persicaires, les menthes, l’Euphorbia cyparissias, l’Aegopodium, le Physostegia, l’ortie, certains asters comme Aster ageratoides, la balsamite ou menthe-coq, un grand nombre d’agaves, le physalis, le bananier…
Le lilas, les bambous traçants (par exemple le genre Phyllostachys), les Rubus (notamment les Framboisiers), le Mahonia, le Sumac de Virginie, l’Argousier, le Sorbaria, le Prunellier, le Cornouiller sanguin, le noisetier, le Rosa rugosa et ses hybrides (ainsi que d’autres rosiers anciens), les chalefs, le Clerodendron bungei, le Tetrapanax, le Corête du Japon, l’Ariala elata, le Xanthoriza simplicissima, la Symphorine…
L’ailanthe, les peupliers, le Robinier faux-acacia, le Toona sinensis, le Pterocarya fraxinifolia, l’Acacia dealbata, le Broussonetia papyrifera, le Prunus avium, le Prunus tenella, …
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