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Le palmier nous séduit pour son exotisme incomparable qu’il apporte au jardin. Il créé facilement une ambiance qui rappelle les vacances et les décors de carte postale. Le problème est que la plupart sont des plantes de climat doux, qui craignent le froid ! Si vous le cultivez en pot, vous pourrez le rentrer sous abri. En revanche, si vous plantez votre palmier à l’extérieur, il faudra le protéger sur place pour l’isoler du froid.
Pour plus de conseils et d’informations sur la culture des palmiers, découvrez notre fiche dédiée : « Les palmiers : planter, cultiver et entretenir »
Chez le palmier, la partie la plus fragile et la plus importante à protéger est l’unique bourgeon apical qui se trouve en haut du stipe, à la base des plus jeunes palmes. Si ce bourgeon meurt, le palmier ne pourra plus pousser et sera condamné.
Pour protéger un palmier cultivé en extérieur, il faut utiliser un matériau qui respire et ne retient pas trop l’humidité. L’utilisation d’une protection en plastique, par exemple, risquerait de faire pourrir le palmier en créant de la condensation. Voici nos conseils pour bien le protéger du froid :
Attention, les palmiers sont plus fragiles les premières années ! Par la suite, en grandissant, ils deviennent un peu plus résistants. Soyez donc particulièrement vigilants pour les jeunes sujets ! De même, certains palmiers que l’on trouve dans le commerce ont été forcés en serre, et une fois plantés au jardin, il leur faudra plusieurs années pour s’adapter.
Si votre palmier est en pot, vous pouvez tout simplement le rentrer dans une véranda ou un abri hors-gel, à une température idéalement comprise entre 5 et 10 °C. Choisissez un emplacement lumineux, mais si possible non chauffé.
Je vous conseille également de brumiser le feuillage de temps en temps. Ne l’installez pas à l’intérieur de votre maison : l’air serait trop chaud et sec pour lui, et la différence de température, trop brutale.
Au printemps, ressortez le pot en extérieur, d’abord à mi-ombre, pour l’acclimater progressivement et ne pas brûler le feuillage, avant de le placer au soleil. Évitez les changements trop brusques de température et d’exposition.
Si vous n’avez pas de place sous abri, ou si le pot est un peu trop lourd et volumineux pour être déplacé, laissez-le dehors en le protégeant. Commencez par couvrir le pot en l’enveloppant avec un voile d’hivernage, car le système racinaire est plus exposé au froid que si le palmier était cultivé en pleine terre. Ensuite, vous pouvez procéder comme pour les palmiers en pleine terre, en plaçant une couche de paillage sur le substrat, en couvrant le tronc d’une canisse ou toile de jute, et en couvrant les feuilles d’un voile d’hivernage. L’idéal est de protéger le palmier seulement lorsque les températures descendent en-dessous de 0 °C, et d’aérer en retirant le voile d’hivernage dès que les températures remontent.
Enfin, si vous le pouvez, surélevez le pot en le plaçant sur de petites cales, pour ne plus qu’il soit en contact avec la fraîcheur du sol. Vous pouvez aussi placer le pot sous un toit ou abri pour empêcher qu’il ne prenne l’humidité quand il pleut.
Enfin, certaines conditions comme la culture en pot, le vent, l’humidité et l’ombre, rendent les palmiers plus fragiles. Ainsi, la protection du palmier doit être pensée au moment où l’on choisit son emplacement ! Pour qu’il supporte mieux les températures froides, il est préférable de l’installer en plein soleil (éventuellement contre un mur exposé plein sud !), dans un substrat drainant, où l’eau ne stagne pas, et à un emplacement abrité du vent. De plus, certaines espèces comme le Palmier à jupon, Washingtonia filifera, conservent leurs feuilles mortes autour du stipe : mieux vaut ne pas les couper, car elles constituent une véritable protection et isolent la plante du froid et des parasites.
Dans tous les cas, je vous conseille de vous renseigner sur la rusticité de l’espèce que vous cultivez !
Enfin si votre choix se porte finalement sur une espèce peu ou pas rustique, cultivez-le en pot et lisez notre fiche conseil Palmier en pot : 7 espèce remarquables en intérieur.
Certains palmiers supportent très bien le froid et n’ont pas besoin d’être protégés en hiver. Parmi eux, les Trachycarpus fortunei, T. wagnerianus et Sabal minor supportent jusqu’à – 18 °C. Le Rhapidophyllum histrix, lui, supporte – 20 °C, et a l’avantage d’apprécier l’ombre et l’humidité !
En raison de leur bonne résistance au froid, ces palmiers n’ont en général pas besoin d’être protégés ! Attention cependant, car les palmiers ont pu être forcés en serre, et sont donc plus fragiles les premières années. Il peut être prudent de les protéger au moins durant les trois années qui suivent la plantation. De même, la rusticité dépend des conditions de culture : une culture en pot, ou dans un terrain humide et exposé aux vents, rendra le palmier bien plus fragile !
Découvrez notre sélection de 7 palmiers rustiques pour votre jardin, ainsi que notre fiche complète sur le Trachycarpus.
Découvrez nos autres conseils dédiés aux palmiers :
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