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Il est rare que nous n’ayons pas besoin d’une haie dans nos jardins, ne serait-ce que pour délimiter notre terrain ou en occulter une partie pour plus d’intimité. Les haies d’arbustes persistants sont parfaites pour cela mais n’oublions pas les arbustes à fleurs, si agréables en toutes saisons, ni les arbustes épineux qui, eux empêchent les intrusions.
Par ailleurs, certaines parties de votre jardin peuvent sembler problématiques : un coin très à l’ombre par exemple…. Peut-être pensez-vous qu’aucun arbuste ne pourra pousser dans votre sol si particulier ou au bord de la mer ?
Détrompez-vous : il existe des arbustes de haie pour toutes les utilisations et pour toutes les situations ! Et nous le prouvons en vous proposant quelques exemples.
Pour occulter une partie du jardin, quoi de mieux qu’une haie persistante à croissance rapide ? Dans mon trio de tête, je nomme : le Troène ou Ligustrum, le Photinia, le Prunus laurocerasus appelés aussi lauriers cerise.
Le parfum des fleurs du troène ou ligustrum me rappelle le début des grandes vacances. Hélas la plupart des gens le taillent avant sa floraison. Peu importe, c’est aussi son feuillage persistant et son étonnante rusticité qui lui confère ses galons de « champion de la haie persistante ».
Le photinia a été si souvent mal employé qu’il finit par donner de l’urticaire aux jardiniers. Pourtant… rare sont les arbustes persistants aussi beau tout au long de l’année. Son jeune feuillage rouge illumine le jardin et, si vous le laissez pousser librement, sa floraison printanière vous gratifiera d’un élégant parfum.
Encore un arbuste bien connu, mais si peu apprécié : le Prunus laurocerasus. Il pousse vite, résiste à tout, supporte admirablement la taille, … C’est pour toutes ces raisons que l’on rencontre le laurier-cerise partout où l’on ressent le besoin de créer un écran de verdure rapidement. Pour lui aussi, une taille moins systématique vous apportera une floraison très appréciée des pollinisateurs.
Notez aussi que si vous devez occulter une partie de votre jardin pour vous protéger rapidement du vent, l’Eleagnus ou chalef est l’arbuste qu’il vous faut. Persistant, il pousse rapidement lui aussi, et possède un feuillage gris-argenté. C’est un excellent brise-vent.
Tous ces arbustes peuvent réaliser une croissance de 30 à 50 cm par an et peuvent se tailler strictement. Mais, pour ce faire et surtout pour le laurier-cerise et le photinia, n’utilisez pas de taille-haie qui abîmerait le feuillage mais préférez le sécateur ou la cisaille. Si vous les laissez pousser librement vous bénéficierez aussi de leur floraison et fructification.
→ Vous êtes pressé d’isoler votre jardin des regards ? N’hésitez pas à faire appel à des recordmans de la rapidité ! Découvrez-les dans notre fiche conseil : « Haie à croissance rapide : 10 arbres et arbuste qui poussent vite »
Les haies qui peuplaient nos campagnes jadis ont toutes pratiquement disparu. Pour le plus grand malheur de la faune qui y trouvait refuge et nourriture. Une haie champêtre se compose en majorité d’essences locales qui peuvent varier selon les régions.
Dans le sud de la France, on y trouve principalement l’arbousier, le chêne vert, le laurier-sauce ou le nerprun, dans les régions montagnardes, vous pouvez rencontrer l’Amelanchier ovalis, le Rosier des Alpes ou le Houx et dans les régions de bord de mer, vous aurez par exemple, l’Argousier ou le Tamaris. Ces essences, adaptées au terroir et aux conditions climatiques régionales sont solides, rarement malades et permettent de constituer des haies durables !
Un prunellier et une Viorne obier ainsi qu’un fusain d’Europe pourront compléter le tableau de leurs floraisons, fructifications et jolies couleurs d’automne.
Le prunellier dispose de tellement de qualités qu’il aurait pu figurer dans diverses situations (haie défensive, haie fleurie, haie fruitière, …). Cet arbuste épineux et buissonnant fleurit au début du printemps. Ses fruits, bien qu’immangeables durant la saison (sauf pour les oiseaux!), nécessiteront un petit coup de gel pour devenir presque comestibles et servir à la réalisation de divers alcools dont chaque région ou presque possède sans doute sa propre recette. Autre atout, ou inconvénient c’est selon, il drageonne terriblement pour constituer en seulement quelques années un bosquet dense et pratiquement impénétrable.
La Viorne obier est d’une facilité de culture déconcertante. Sa floraison blanche au printemps est suivie d’une fructification rouge vif qui, en plus d’être très décorative, attire comme un aimant tous les oiseaux des environs. Mais il n’y a pas que ses fruits qui adopte la couleur écarlate. Son feuillage, d’abord vert foncé, devient rouge vif en automne, prolongeant ainsi l’intérêt de cet arbuste.
Le fusain d’Europe (ne m’obligez pas à écrire son nom latin avec ses 11 voyelles!) est lui aussi un champion des tons cramoisis en automne. Mais ce sont surtout ses fruits orange ressortant de ses drôles de capsules rouges-rosées qui attireront votre regard. Sinon, pour la culture aucun soucis, le fusain d’Europe ou Bonnet d’Évêque est parfaitement adapté à la plupart des sols et à notre climat.
Enfin, si vous désirez redonnez un petit « coup de pouce » à la nature tout en profitant de belles floraisons, plantez un Cornus mas qui enchante de ses fleurs jaunes au printemps et de délicieuses cornouilles au début de l’automne.
→ A découvrir :
Jadis destinées à contenir le bétail, les haies défensives servent désormais surtout à empêcher les chiens ou les personnes mal intentionnées (contrôleurs des impôts, petit voisin venant vendre des billets de tombola, etc. ) de pénétrer dans les propriétés, même les plus modestes ! Des arbustes épineux, qu’ils soient persistants ou non, qui s’enchevêtrent l’un dans l’autre pour former un mur infranchissable, c’est possible et en très peu de temps. Tentez l’association d’un Berberis julianae, d’un houx et d’un pyracantha. Ça pique, ça griffe, ça écorche, ça égratigne,… Bref : ça fait mal. Rien ni personne ne franchira cette barrière épineuse. Résultat garanti ! (sinon, il faudra songer à placer des barbelés…)
Le Berberis julianae se rencontre dans toutes les haies défensives tellement il est réputé pour sa capacité à piquer et à pousser partout. De plus, sa floraison jaune bien que discrète revient souvent deux fois dans l’année juste avant que son feuillage persistant ne rougisse dès les premières gelées.
Les houx – Ilex aquifolium ne servent pas qu’à réaliser des jolies décorations pour les fêtes de fin d’année, ce sont aussi de très jolis arbustes (voire des arbres si on les laisse pousser à leur guise). Il en existe une multitude de variétés différentes dont les plus belles se distinguent par des feuilles persistantes vertes panachées de jaune ou de blanc. Sa croissance est assez lente dans ses jeunes années mais il résiste pratiquement à tout, ce qui fait sa force. Retenez aussi que seuls les pieds femelles peuvent fructifier.
Le pyracantha est la terreur des jardiniers… lorsqu’il faut le tailler. Mais si vous décidez de le laisser libre ou de ne tailler que quelques branches un peu désordonnées (c’est ce que je fais chez moi!), il ne vous causera aucun soucis car lui aussi est très résistant et s’adapte à toutes les situations. Son feuillage vert persistant formera un magnifique écrin pour ses petits fruits oranges, jaunes ou rouges qui raviront les oiseaux lorsque la bise sera venue…
Attention ! Le revers de la médaille pour ces arbustes épineux reste l’entretien, qui n’est pas une sinécure lorsqu’il s’agit de ramasser les tailles de haie. Munissez-vous impérativement de gants épais et de lunette de protection pour tailler. Et ramassez le produit de la taille à l’aide d’une fourche, vos mains et avant-bras vous remercieront. N’oubliez pas que tous les jardiniers devraient être en ordre de rappel antitétanique.
→ Envie d’une solution simple et pratique ? Découvrez nos kits prêt à planter : « Haie défensive » et « Haie persistante et défensive »
Vous vous en doutez, un arbuste qui fleurit de janvier à décembre n’existe pas. Si vous voulez obtenir une haie fleurie toute l’année, il vous faudra alors planter diverses essences qui fleuriront tout au long de l’année. De nombreux arbustes fleurissent au printemps et ils sont souvent plantés dans les jardins. Intéressons-nous donc plutôt à ceux qui fleurissent en hiver et en fin d’été et automne, un peu plus rares.
Dans les arbustes qui fleurissent en fin d’été jusqu’au début d’automne, je pense directement à un Buddleia… mais pas n’importe lequel : le Buddleia (x) weyeriana vous fera oublier le sempiternel « arbre à papillons » aux inflorescences en panicules généralement bleues-violettes car celui-ci fleurit jaune pétant entre fin août et octobre et ses fleurs se présentent sous forme de boules.
L‘Heptacodium miconioides, tout le monde en parle et… personne ne le plante. A tort ! Rare sont les arbustes qui ont tant de qualités : extrêmement rustique, peu exigeant, formidablement beau à partir de la fin d’été grâce à sa floraison (de fin août à octobre), sa fructification qui la suit de près et son feuillage automnale pourpre. Même s’il est magnifique planté en isolé ou adjoint de quelques buissons ou vivaces à ses pieds, vous pouvez néanmoins le tenter dans une haie libre fleurie.
On prolongera facilement la floraison jusqu’aux premiers frimas à l’aide d’un Camelia sasanqua, un camélia d’automne au feuillage persistant et fleurissant de novembre à décembre. Mon petit coup de cœur est cette charmante variété appelée ‘Frosted Star‘ (Etoile gelée…) aux fleurs blanches teintées de rose.
Parmi les arbustes à floraison hivernale, vous pouvez tenter un Abeliophyllum distichum, cet arbuste ressemble à s’y méprendre à un simple Forsythia… dont on aurait oublié de lui apporter la couleur jaune. La variété ‘roseum‘ est, comme son nom l’indique, à fleurs roses. Trouvez lui une place au soleil pour être certain que son bois mûrisse et résiste au gel.
Ne vous attardez pas sur le fait que l’Edgeworthia chrysantha possède un nom à coucher dehors car c’est un véritable bijou. Le buisson à papier comme on le surnomme affectueusement, vous enchantera de ses fleurs en pompons soyeux jaunes ou orangées entre février et mars. A découvrir absolument !
Et pourquoi pas terminer l’hiver en beauté avec un Stachyurus chinensis. Cette arbuste, encore trop méconnu, s’orne entre mars et avril, juste avant sa feuillaison de grappes de petites clochettes blanc-crème teintées de vert et de jaune. Le Stachyurus est aussi une splendeur lorsqu’il se revêt de ses couleurs d’automne passant alors du jaune au rouge-pourpre.
→ à lire, également, sur le blog : « Haie fleurie : quels arbustes planter, quand et comment »
Oui, vous avez bien lu ! Une haie à l’ombre c’est tout à fait possible. N’avez-vous jamais vu d’arbustes sous un arbre ? Mmm… Oui, vous y êtes : des hortensias, des rhododendrons…
Mais ne vous arrêtez surtout pas à ces quelques spécimens. Bien d’autres arbustes pourront fleurir avec très peu de soleil sur la journée. En voici quelques exemples…
Prenons le cas du Choysia ternata ‘Sundance’ qui éclairera de son feuillage jaune doré votre petit coin ombragé. Et puis sa floraison sent tellement bon la fleur d’oranger qu’il serait dramatique de s’en priver…
S’il se sent seul, accompagnez-le d’un Osmanthus heterophyllus ‘tricolor’. Il ressemble à un houx… Il a la couleur d’un houx… Mais n’en est pas un ! Il suffit pour s’en rendre compte de lui « tripoter » les feuilles, ces dernières étant bien moins piquantes qu’Ilex aquifolia (qui peut lui aussi pousser à l’ombre, cela dit en passant…). De plus, si vous attendez la fin de l’été, il vous accueillera d’une floraison blanche au parfum de jasmin. Il est encore injustement méconnu pour l’instant mais attendez un peu et on le verra partout !
Un arbuste que l’on a vu partout, c’est bien l’Aucuba. Mais force est de constater qu’il fait admirablement bien son travail. Il pousse dans tous les sols, éclaire de son feuillage ponctué de jaune le plus obscur endroit de votre jardin et se pare de fruits rubiconds en fin d’été qui persisteront jusqu’en hiver (seulement sur les femelles car c’est une espèce dioïque, c’est-à-dire qu’il existe des pieds mâles et des pieds femelles). Alors laissez donc vos préjugés au vestiaire et refaites une belle place à cet arbuste si accommodant.
Tout le monde ne cesse de vous bassiner avec les inconvénients de jardiner dans ces endroits : trop de vent, trop de sel, trop de sable, … (trop d’iode aussi sans doute!). Mais on oublie de vous dire que jardiner en bord de mer, même s’il est difficile de généraliser, présente d’énormes avantages. Une plus grande luminosité, des printemps qui se réchauffent plus vite et des étés plus longs sont autant d’atouts dans votre besace pour constituer une superbe haie de bord de mer.
Le Griselinia littoralis, un arbuste neo-zélandais de la famille des Cornouillers, est un classique des jardins de bord de mer. Et pour cause ! On ne l’a pas nommé « littoralis » pour rien. Il pousse vite, possède un feuillage vert persistant et se pare d’une floraison printanière certes discrète mais très mellifère.
L‘Escallonia est un autre incontournable des jardins côtiers. Bien qu’il est assez rustique pour que l’on puisse le rencontrer aussi dans l’intérieur des terres. Persistant et touffu lui aussi, il se distingue en revanche par une multitude de petits boutons roses qui s’ouvrent en fleurs roses clair pâlissant jusqu’au blanc au fil du temps.
Le Chalef d’Ebbingei est un hybride deux autres Elaeagnus. Lui aussi persistant et touffu comme ses deux camarades décrits plus haut, il se distingue quant à lui par un feuillage d’un superbe gris argenté. Vous pouvez le tailler ou le laisser pousser à sa guise comme il vous plaira.
Tenter de modifier son sol pour planter des plantes qui ne lui correspondent pas est non seulement fastidieux mais aussi très onéreux. Alors pourquoi ne pas prendre le parti de ne planter chez soi que, ou la majorité du moins, des plantes qui s’adaptent facilement à votre terrain. Il en existe pour tous types de sols. Néanmoins, deux types de sols posent souvent question lorsqu’ils s’agit de planter une haie : les sols calcaire et les sols lourds, argileux.
Ces sols à tendance basique (pH supérieur à 7) sont perméables à l’eau ce qui est une bonne chose mais hélas les éléments nutritifs sont rapidement lessivés donc moins disponibles pour les plantes. Ce n’est pas une mauvaise terre (souvenez-vous qu’une « mauvaise terre » n’existe pas!) car le calcaire favorise la décomposition des matières organiques. Vous pouvez améliorer votre sol en semant de l’engrais vert en fin de saison ou en apportant un peu de fumier décomposé. Il existe néanmoins beaucoup de plantes qui s’accommodent très bien d’un tel sol.
Les cornouillers à bois décoratifs comme le Cornus alba ont la réputation de résister à tout ou presque (à ne pas confondre avec les cornus à fleurs comme le Cornus kousa ou le Cornus florida qui eux ne tolèrent pas le calcaire…). Et c’est réellement le cas ! Je peux vous conseiller un Cornus alba sibirica ‘variegata’ mais mon petit préféré reste le Cornus alba ‘aurea’. Peu importe lequel vous choisirez de toute manière, vous en serez ravi. Il en existe beaucoup de variétés et cultivars différents et même le « simple » Cornus alba sibirica est splendide. Ils sont tous magnifiques aussi bien en pleine saison pour leur feuillage et leur fructification blanche (d’où le terme alba) qu’en plein hiver avec leurs rameaux rouges vifs. Alors adoptez-les sans tarder !
L’idéal pour contraster avec un Cornus alba ‘aurea’ serait un Cotinus coggygria ‘Royal Purple’ mais pourquoi ne pas tenter le somptueux Cotinus coggygria ‘Golden Lady’ d’un beau vert rafraîchissant. Celui-ci comme son petit frère pourpre vous enchantera de sa floraison estivale en « perruque ».
Revenons sur du Cornouiller avec un classique des sols calcaires, le Cornus mas ou cornouiller mâle (ou, comme le surnomme si bien Didier Willery, le « Mimosa du Nord »). Encore une petite merveille. L’un des premiers à fleurir au printemps et l’une des premières nourritures pour les insectes. Il sera aussi très beau munis de ses belles couleurs d’automne passant par toute la gamme des brun-rouges et croulant sous les cornouilles. Si vous n’appréciez pas ses fruits, les oiseaux se chargeront de vous en débarrasser illico presto.
Remarque : nous avons en pépinière Cornus mas ‘Jolico’, un excellent petit arbre plutôt à classer dans les fruitiers donc à planter en verger. Pour une haie, restez sur un simple Cornus mas.
Vous pouvez encore ajouter une belle Viorne lantane ou Viburnum lantana ‘Mohican’ qui vous enchantera d’une belle floraison blanche printanière suivit d’une fructification qui attirera les oiseaux.
→ à découvrir : notre kit haie fleurie pour terrains calcaire
Les sols argileux sont lourds et compliqués à travailler. De plus, ils se réchauffent (trop) lentement en sortie d’hiver. Mais… Ils sont aussi très fertiles et retiennent bien l’eau. Un simple apport de chaux et de matières organiques en automne suffira à améliorer la texture de cette terre. De nombreux arbres et arbustes apprécient de glisser leurs racines dans cette terre collante mais ô combien généreuse.
Ce n’est pas que les pommiers d’ornement aiment la terre argileuse. En réalité, ils l’adorent ! Ils sont fous d’elle ! Alors plantez-en un tout de suite (ou deux… ou trois). Magnifiques au printemps lorsqu’ils se parent de leur floraison couleur de neige, formidables en fin d’été lorsqu’ils vous servent leurs petites pommes comestibles (agissez vite ! Vous n’êtes pas les seuls amateurs…), splendides en automne lorsqu’ils explosent de couleurs flamboyantes et… même en hiver, leurs écorces crevassées souvent garnies de mousses et de lichens égayeront la morne saison. Si vous avez chez vous un sol argileux, ce sont les arbustes qu’il vous faut.
Un autre amateur d’argile sera sans aucun doute, l’aubépine. En réalité la plupart des arbustes de la famille des rosacées s’en accommodent parfaitement (pommiers, prunelliers, rosiers, …). L’un des plus beaux cultivars ne fleurit pas blanc mais d’un rose soutenu : Crataegus laevigata ‘Paul Scarlet’
Pour compléter le tableau, choisissez l’un des arbustes de notre flore les plus solides et les plus ravissants (en fleurs comme en fruits!) : le Sambucus nigra, le simple sureau de nos campagnes. Il en existe plusieurs variétés qui peuvent rivaliser facilement avec certains érables japonais pour la beauté de leur feuillage.
→ à découvrir : notre kit haie fleurie pour terrains argileux
jacques swynghedeauw, le 29 Septembre 2020
Bonjour,
Je vais planter une haie pour plus ou moins cacher les ganivelles , j'ai environ 60m/l de ganivelles. Ils font 1m/l de hauteur hors sol.
Je suis en Ardèche . L'été il y fait en 35 et 45° sans eau ou presque. Je désirerai une haie fleurie de mai à septembre. Pouvez-vous m'aider à choisir les arbustes?
Merci.
Réponse de Olivier, le 14 Octobre 2020
Bonjour monsieur, c’est un projet d’aménagement qui demande un peu de réflexion, pourriez-vous prendre contact avec notre service client par mail: serviceclient@promessedefleurs.com , un de nos conseillers jardins étudiera votre projet et vous guidera dans le choix de végétaux adaptés.