Pays de livraison et langue
Votre lieu de résidence semble être:
Votre lieu de résidence est:
Afin de profiter de la meilleure expérience sur notre site, vous pouvez changer:
Le pays de livraison:
Nous ne livrons que les articles des catégories graines et bulbes dans votre pays. Si vous ajoutez d'autres articles à votre panier, ceux-ci ne pourront pas être expédiés.
La langue:
Mon compte
Bonjour
Mes listes de favoris
Plantfit
Mon panier
Connexion / Inscription
Déjà client(e) ?
Pas encore client(e) ?
Créez votre compte afin de pouvoir suivre votre commande, accéder à notre service clients et, si vous le souhaitez, profiter de nos offres à venir.
Sommaire
Les rosiers sont des incontournables des jardins. Style romantique ou inspiration anglaise, jardin blanc ou massif coloré d’aspect sauvage, ces arbustes s’adaptent à toutes les envies.
Si les plus grandes variétés sont cultivées en pleine terre, les variétés plus compactes et de tailles modestes se prêtent très bien à la culture en pots. Elles nécessiteront seulement quelques gestes d’entretien pour bien s’épanouir et fleurir.
N’hésitez donc pas à adopter un rosier pour pot, afin de profiter de leur magnifique floraison sur terrasses, balcons ou en petits jardins.
Voici nos recommandations pour réussir la culture du rosier en pot ou bac, de la plantation aux soins réguliers à lui apporter, en passant par les précautions à prendre.
Pour la culture en pot, privilégiez les variétés de petites tailles, au développement limité et croissance lente : rosiers miniatures, rosiers buissons ou rosiers couvre-sols. Leur port compact et buissonnant sera parfaitement adapté à ce type de culture.
A l’inverse, les rosiers vigoureux comme les grands grimpants ou rosiers lianes, les rosiers arbustifs ou les rosiers pleureurs, ont une croissance rapide, un fort développement racinaire et demandent beaucoup d’espace. Ils se prêtent donc évidemment beaucoup moins à la culture en pot.
Pour bien vous décider, retrouvez notre sélection de 8 rosiers parfaits pour la culture en pot.
La période de plantation dépend du conditionnement de votre rosier :
Les rosiers en conteneur peuvent être rempotés tout au long de l’année.
Les rosiers en racines nues sont extraits de la terre lors de leur période de repos végétatif. Ils seront plantés en pot entre novembre et mars, idéalement à l’automne, le jour de leur réception / achat pour éviter que les racines ne se dessèchent.
La taille du contenant est essentielle pour réussir la culture d’un rosier en pot. Elle doit prendre en compte le développement du rosier et sa taille à maturité.
Les racines de l’arbuste ayant une croissance à la verticale en profondeur, choisissez un contenant en conséquence : les rosiers les plus petits (miniatures, nains) se contenteront de 40 cm de diamètre et de profondeur, quand les rosiers classiques demanderont plutôt 50 à 60 cm.
Le contenant devra être impérativement troué, afin de permettre à l’eau en excès de bien s’évacuer sans risquer d’endommager les racines.
Enfin, concernant le matériau, nous vous conseillons d’opter pour un contenant en terre cuite, qui, grâce à sa porosité naturelle, permet une meilleure aération du substrat, limite le dessèchement et le développement de maladies. Le contenant devra seulement être protégé des fortes gelées en hiver, pour éviter tout risque de fissure.
Les bacs en bois peuvent aussi faire de bons contenants, mais demanderont un entretien régulier pour éviter qu’ils ne s’altèrent au fil du temps et ne pourrissent.
Si le plastique possède de nombreux avantages (économique, léger, large choix de couleurs), il offre une moins bonne stabilité et a tendance à favoriser les conditions extrêmes : manque d’isolation en hiver et conservation de l’humidité, sécheresse en été.
Le rosier apprécie les terres riches et fertiles, indispensables pour permettre une belle floraison, en particulier chez les très gourmandes variétés remontantes fleurissant plusieurs fois dans l’année.
Le substrat devra donc être particulièrement bien choisi pour apporter la nourriture nécessaire à votre rosier en pot, tout en étant bien drainant pour permettre à l’eau de ne pas stagner et risquer le pourrissement des racines.
Optez pour un mélange de :
Avant la plantation, bassinez les racines du rosier dans un seau d’eau à température ambiante.
Les sujets conditionnés en racines nues seront taillés et pralinés la veille de leur plantation en pot (le pralin peut être acheté ou fait maison).
Le rosier en pot sera idéalement placé en extérieur. Choisissez un emplacement très ensoleillé, tout en évitant l’exposition aux rayons brûlant du soleil en période estivale.
Une fois installé, privilégiez un emplacement fixe et évitez de déplacer votre pot, afin que le rosier puisse s’acclimater à son environnement.
L’un des points de vigilance clés de la culture du rosier en pot concerne la gestion de l’arrosage. Le substrat a en effet tendance à se dessécher beaucoup plus vite que chez un sujet en pleine terre capable, grâce à ses racines, d’aller puiser l’eau par lui-même en profondeur.
Veillez donc à un arrosage régulier, dès que les premiers centimètres de substrat deviennent secs, de préférence le matin ou en fin de journée.
En été, augmentez la fréquence et la quantité des arrosages, sans noyer le substrat. A cette période, sauf fortes précipitations, l’eau de pluie n’est généralement pas suffisante pour assurer un bon arrosage de la terre.
Ne laissez jamais d’eau stagnante dans la soucoupe, qui risquerait d’asphyxier les racines : pensez à la vider au bout d’une vingtaine de minutes.
Les rosiers sont particulièrement gourmands pendant leur période de végétation. Cultivés en pot, ils devront d’autant plus être soigneusement nourris, pour assurer une belle floraison et les rendre plus résistants aux maladies.
De mars jusqu’à septembre, utilisez un engrais spécial rosier, qui nourrira et fortifiera la plante. Privilégiez les petits conditionnements et veillez à bien suivre les dosages prescrits par les fabricants.
Les engrais sous forme liquide ont une action immédiate et se dispersent rapidement dans le sol. Ils nécessitent un apport tous les 15 jours ou mensuellement.
A l’inverse, les engrais sous forme solide (granulés, bâtonnets), sont à diffusion plus lente. Ils nécessiteront d’être renouvelés tous les 3 mois en moyenne, en début de printemps (mars), en été (juin), puis en début d’automne (septembre).
Vous pouvez également opter pour des amendements réguliers de compost ménager bien décomposé.
Pour plus de détails, retrouvez tous nos conseils pour bien fertiliser vos rosiers.
Comme pour les sujets en pleine terre, la taille du rosier en pot est indispensable pour assurer son entretien et une floraison abondante.
Coupez les fleurs fanées au fur et à mesure, pour éviter au rosier de ne perdre de l’énergie et favoriser le développement de nouveaux boutons chez les rosiers remontants. Utilisez un sécateur aiguisé et bien désinfecté et taillez juste au-dessus d’un œil (bourgeon).
Les tailles plus sévères sont effectuées selon la variété du rosier. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter notre article pour réussir la taille des rosiers en pots.
Chaque année au printemps, procédez au surfaçage de votre rosier en pot, c’est-à-dire au remplacement superficiel du substrat.
Les rosiers sont sensibles aux maladies cryptogamiques (champignons), qui s’attaquent principalement à leur feuillage : rouille, oïdium, marsonia (taches noires) ou encore botrytis (pourriture grise).
En prévention :
Repérées dès les premiers symptômes, ces maladies peuvent généralement se soigner efficacement, sans trop impacter la santé du rosier.
En cas de maladie avérée, nous vous conseillons de vous tourner vers des solutions naturelles (purins de plantes, fongicides utilisables en agriculture bio, bouillie bordelaise avec parcimonie…), à appliquer en fin de journée pour limiter l’impact sur les insectes auxiliaires.
Pour plus de détails, consultez notre article sur les différentes maladies des rosiers et leurs traitements.
La protection des rosiers en pot pendant la saison froide dépendra évidemment de la rusticité de la variété choisie et du climat de votre région.
Toutefois, il faut savoir qu’un rosier cultivé en pot sera moins résistant face au froid et à l’humidité hivernale qu’un rosier cultivé en pleine terre.
Dans les régions aux hivers rudes, nous vous conseillons dès que les températures approchent des négatives de :
Commentaires