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Ah le doux parfum des amandiers qui annonce le printemps… Premier arbre à fleurir, l’amandier (Prunus dulcis syn. Prunus amygdalus) se couvre de petites fleurs d’un joli blanc rosé dès le mois de janvier ou février. Des fleurs très nectarifères qui se veulent une véritable aubaine pour les insectes pollinisateurs fraîchement sortis de leur torpeur hivernale. Ensuite apparaissent les feuilles.
Entre fin juillet et octobre, l’amandier produit des drupes au toucher velouté qui cache un trésor : les fameuses amandes dont on fait mille usages, culinaire, cosmétologique, médicinal, mobilier…
Arbre de la famille des Rosacées, l’amandier est certainement originaire de l’Asie. Connu dès la plus haute Antiquité, il est cité dans l’Ancien Testament et se retrouve sur des peintures anciennes à Pompéi. Introduit en Italie dès le IIIe siècle, il ne parvient dans le sud de la France qu’au XVIe siècle où il s’est parfaitement acclimaté. Il est devenu au fil des siècles un des arbres emblématiques de la région aixoise, grâce aux délicieux calissons.
Si l’amandier sauvage produit des amandes amères, très chargées en amygdaline, les nombreuses sélections horticoles et la domestication de l’arbre ont permis de créer de nombreuses variétés d’amandier aux amandes douces.
Doté d’un port étalé qui s’arrondit avec l’âge et d’un tronc raboteux, l’amandier constitue un bel arbre d’ornement.
Prunus dulcis, anciennement nommé Amygdalus communis, est un arbre de la famille des Rosacées qui compte en outre une grande partie de nos arbres fruitiers comme le pommier, le poirier, le cerisier, l’amélanchier…mais aussi les fraisiers, les framboisiers ou les rosiers.
Certainement originaire de l’Asie centrale ou occidentale, l’amandier s’est retrouvé très tôt cultivé dans les îles grecques puis dans l’ensemble de l’Europe méridionale et en Afrique du Nord. Cité dans l’Ancien Testament; il est petit à petit domestiqué. On le retrouve aussi évoqué dans les actes carolingiens et mérovingiens. Milieu du XIXe siècle, il traverse l’Atlantique pour être établi en Californie qui est aujourd’hui le premier producteur d’amandes. Avec des conséquences sur l’environnement déplorables… En France, l’amandier est surtout implanté en Provence car il aime les climats chauds et un fort ensoleillement. C’est surtout une région idéale où les gelées printanières sont rares. La Petite Histoire raconte qu’il y aurait été introduit dès le Ve siècle avant J.C. Toujours est-il qu’au Moyen-Âge, Aix-en-Provence devient le centre amandin et de la confiserie provençale. L’amande est d’ailleurs l’un des 13 desserts traditionnels servis sur les tables de Provence pour le repas de Noël.
La domestication des amandiers sauvages et la sélection ont permis de créer des variétés d’amandes douces (Prunus dulcis), même si on trouve encore des variétés d’amandes amères.
L’amandier est un bel arbre qui peut atteindre 8 à 12 mètres, mais plus généralement 5 à 6 mètres. Il bénéficie d’une croissance rapide les premières années de sa plantation. Rustique jusqu’à – 25 °C, il peut potentiellement être implanté partout en France. Pour autant, c’est dans le sud de la France qu’il fructifie le mieux. En effet, comme l’amandier a la particularité de fleurir dès la fin de l’hiver, les gelées tardives, hivernales ou printanières, lui sont fatales car elles compromettent la fructification. Certaines variétés à floraison tardive pourront toutefois être implantées au nord de la Loire, à la condition qu’elles poussent à un emplacement bien ensoleillé et surtout à l’abri des vents froids.
L‘amandier bénéficie d’un port élancé, étalé qui a tendance à s’arrondir avec les années. Généralement, il vit 70 à 80 ans, voire 100 ans si les conditions culturales lui conviennent. Son tronc est raboteux, d’aspect tourmenté, recouvert d’une écorce cendrée et torsadée, qui s’écaille par plaques. Ses ramilles, vert clair au début, deviennent rougeâtres au soleil.
L’amandier est un arbre au feuillage caduc. La face supérieure des feuilles est vert sombre et brillant, aux légers reflets métalliques, la face inférieure est vert grisâtre. Les feuilles alternes, étroites et longues de 12 à 14 cm, elliptiques lancéolées, plutôt glabres, brièvement pétiolées. Elles présentent de fines dentelures en scie sur les bords et sont pliées longitudinalement au développement. Les bourgeons sont également rougeâtres et de forme pointue.
Les fleurs apparaissent avant le feuillage, sur une période s’étalant entre la fin de l’hiver (janvier-février) et le début du printemps (mars). C’est d’ailleurs l’un des premiers arbres à fleurir, annonçant ainsi le printemps. Ses fleurs sont blanches teintées de rosé, solitaires ou géminées, pratiquement sessiles. Elles sont réunies en glomérules. Elles comptent 5 sépales, 5 larges pétales et de 15 à 30 étamines. Les fleurs de l’amandier sont hermaphrodites. Et surtout très nectarifères. C’est pourquoi elles font le bonheur des abeilles et autres insectes pollinisateurs qui font leurs premières sorties printanières.
La plupart des amandiers sont autostériles, c’est-à-dire qu’ils ne fécondent pas leurs propres fleurs. Ce qui implique la plantation d’au moins deux variétés différentes pour obtenir des fruits. Les abeilles et bourdons se chargeront d’ailleurs de la pollinisation. Certaines variétés comme l’Amandier All in One ou l’Amandier Supernova sont toutefois autofertiles, d’autres comme l’Amandier Princesse partiellement autofertiles.
Sur les rameaux d’au moins 2 ans, l’amandier produit des drupes oblongues, comprimées, qui se parent de jolies couleurs vert tendre avant de devenir brun foncé. Non comestibles, veloutées et charnues, ces drupes se fendent pour libérer un noyau poreux à coque plus ou moins dure et ligneuse. Ce même noyau contient une ou deux graines (les amandes), oblongues et aplaties, recouvertes d’un tégument rugueux ocre. Chez les amandiers sauvages (Prunus amara), cette amande est amère car elle contient deux molécules, l’amygdaline et l’émulsine (comme tous les arbres de la famille des Prunus) qui peuvent être toxiques consommées en grosse quantité. En revanche, les amandes douces ne présentent aucun risque car les différentes sélections ont permis de diminuer la concentration d’amygdaline.
Les amandes récoltes en juin-juillet sont dites fraîches, celles récoltées fin août ou en septembre sont sèches.
Il existe diverses variétés d’amandiers qui permettent d’élargir son choix de plantation. Elles se distinguent essentiellement par leur floraison, plus ou moins précoce, un critère à prendre en compte si vous habitez au sud de la Loire. De même, certains amandiers seront plus sensibles que d’autres aux maladies et ravageurs, d’autres seront autostériles et nécessiteront la plantation d’au moins deux arbres. d’autres enfin auront une mise à fruits plus rapide.
Il existe de nombreuses variétés traditionnelles et anciennes, typiques de la Provence : Dame de Provence, Aberrane d’Aureille, Dorée ou Demi Tendre d’Apt, Demi Tendre de Riez, Languedoc, Beraude Dure, Princesse, Tournefort ou Aï, une variété ancienne, utilisée dans la région d’Aix-en-Provence depuis le XIXe siècle à la mise à fruit rapide. Certaines variétés ont des origines espagnoles comme Bartre, Marcona, Mardia ou Penta, d’autres américaines telles Carmel, Nec plus ultra, Non pareil ou Texas.
D’autres variétés d’amandiers ont été obtenues par croisement de différentes espèces : Ferraduel, Ferragnès, Ferrastar, Lauranne, Mandaline… sont des créations relativement récentes de l’INRA.
Le verger conservatoire d’amandiers d’Apt, situé près du Moulin de Salignan, compte une quarantaine de variétés différentes, anciennes et récentes, et plus de 150 arbres. Ouvert au public, ce verger est un véritable enchantement au début du printemps.
En matière de sol, l’amandier n’a guère d’exigence. Tous les sols lui conviennent, avec tout de même une petite préférence pour les sols calcaires. Il peut ainsi mettre en valeur des sols caillouteux, arides et secs. L’amandier saura parfaitement résister à la sécheresse.
En revanche, ces sols devront être légers, profonds car l’amandier dispose d’un système d’enracinement pivotant, et surtout extrêmement bien drainés. Les sols humides ne lui conviennent pas du tout.
Au niveau de l’emplacement, il doit être très ensoleillé, et surtout à l’abri des courants d’air, des gelées et des vents froids. C’est pourquoi une plantation au sud est préférable. Au nord de la Loire, l’amandier n’a guère de chance de fructifier.
Une plantation en automne est à privilégier et permettra à l’amandier de bien s’installer avant le printemps. D’autant plus qu’il est très précoce et arrive très tôt en végétation.
Les amandiers se vendent en racines nues ou en conteneur.
Si votre amandier est à racines nues, pensez à les habiller et à les praliner avant la plantation. Habiller consiste à couper l’extrémité des racines et praliner signifie les tremper dans un mélange constitué d’un tiers de terre de jardin, d’un tiers de compost et d’un tiers d’eau de pluie. Le pralinage permet d’éliminer les poches d’air entre les racines et la terre.
Comptez au moins 15 mètres entre chaque amandier.
À la condition de choisir un amandier nain comme Garden prince. Choisissez plus profond que large et déposez-y une bonne couche de graviers ou de billes d’argile. Remplissez le pot avec un mélange de 2/3 de terre de jardin et 1/3 de terreau. Placez votre pot au soleil et arrosez régulièrement. Un apport d’engrais est recommandé au printemps.
La première année de plantation, il faut arroser surtout par fortes chaleurs.
Chaque année, faites des apports de fertilisants à votre amandier. En automne, par griffage de surface, faites un apport de compost et, au printemps, donnez à votre amandier un engrais spécial arbres fruitiers. On peut aussi, en prévention, faire un traitement à base de bouillie bordelaise pour éviter le développement des maladies cryptogamiques.
L’année suivant la plantation, la taille est inutile et l’amandier peut se développer librement. D’autant que la floraison a lieu sur des rameaux de 2 ans, voire un an pour certaines variétés.
La taille d’entretien et de formation se fait en automne. Elle a pour objectif d’aérer la ramure et de faciliter la pénétration du soleil, de renouveler les rameaux et d’éliminer les branches du centre. La taille permet aussi d’éliminer les branches mortes, les stolons et les drageons. Il est conseillé d’appliquer un cicatrisant après la taille.
Les amandiers peuvent être conduits en gobelet demi-tige ou basse-tige, en palmette à la diable ou en cordons.
Les amandes fraîches se récoltent à partir du mois de juin ou juillet suivant les variétés, soit une vingtaine de jours avant leur maturité. Laiteuses, elles se consomment tout de suite. Fin août-début septembre, les amandes se récoltent (se gaulent) sèches, lorsque la drupe se fendille et commence à s’ouvrir. Pour les conserver, la drupe doit être enlevée pour laisser apparaître la coque ligneuse. Elles se conservent un an dans un endroit aéré et frais.
L’amandier est sensible à de nombreuses maladies fongiques ou bactériologiques. De même, un certain nombre de ravageurs peuvent l’attaquer.
Parmi les maladies, les plus courantes sont la moniliose qui provoque le dessèchement des fleurs et l’apparition de chancres sur les rameaux, et la cloque du pêcher caractérisée par la déformation et la décoloration des feuilles. Autre maladie cryptogamique à s’attaquer à l’amandier, la criblure à coryneum ou maladie criblée. Ce champignon attaque tout à la fois les feuilles, les rameaux et les fruits entraînant le dépérissement de l’amandier. La verticilliose peut également toucher l’amandier comme d’autres arbres fruitiers. Elle se manifeste par un brunissement et un enroulement des feuilles. On peut aussi être confronté à la rouille des arbres fruitiers, à la tavelure, à l’anthracnose et à la maladie des taches rouges.
Les ravageurs sont essentiellement l’acarien rouge de l’amandier et le phytopte de l’amandier, la mineuse du pêcher ou encore les pucerons verts.
→ En savoir plus sur les maladies et parasites de l’amandier dans notre fiche conseil.
Pour multiplier l’amandier, plusieurs techniques sont applicables, le semis pour les jardiniers amateurs, le greffage ou l’écussonnage pour les plus aguerris.
La première chose à faire est de sélectionner une belle coque d’amande que vous garderez. Pour germer, cette amande a besoin de vivre une période de froid pour qu’elle lève sa période de dormance. Deux solutions : soit vous semez votre amande à l’automne et vous lui faites passer l’hiver dehors, soit vous la semer au printemps après l’avoir stockée au réfrigérateur 1 à 2 mois.
Quoi qu’il en soit, avant de la mettre en terre, il est nécessaire de faire ramollir la coque pendant une nuit dans de l’eau à température ambiante. Ensuite, préparez un pot profond dans lequel vous aurez posé une couche de billes d’argile ou de graviers. Remplissez-le d’un tiers de terre de jardin, d’un tiers de terreau et d’un tiers de sable et déposez votre noyau d’amande la pointe vers le haut. Recouvrez de 2 à 3 cm de terre et arrosez pour que le substrat soit tout le temps humide. Dès l’arrivée du printemps, sortez le pot et mettez-le à mi-ombre.
Lorsque la plantule a atteint 30 cm environ, rempotez-le dans un pot plus grand dans un terreau spécial plantes méditerranéennes. Dès l’automne, vous pourrez l’installer à sa place définitive. Idéalement, semez plusieurs coques de variétés différentes afin d’assurer la pollinisation, la plupart des amandiers n’étant pas autofertiles.
La meilleure technique de greffe d’un amandier est celle dite sur “l’œil dormant”. Il s’agit d’une greffe en écusson que se pratique au mois d’août au moment de l’aoûtement, la période où les arbres préparent leur entrée dans l’hiver en se lignifiant.
En plantant deux ou trois amandiers, vous constituerez un verger. N’oubliez pas que la plupart des amandiers sont autostériles donc il est nécessaire de planter des variétés différentes. Ainsi, l’amandier Ferraduel peut être pollinisé par une autre variété comme Ferragnes, Ferragnes par Ferraduel, Aï ou Texas. L’amandier Texas est d’ailleurs un très bon pollinisateur. Plantez-les en respectant une distance de maximum 15 mètres.
Dans un verger, l’amandier peut également être associé avec des oliviers qui nécessitent les mêmes conditions culturales que lui, ou un pêcher. L’amandier est magnifique aussi en isolé, sa floraison sera mise en valeur si vous plantez à son pied des bulbes comme les narcisses ou les perce-neige. Associez aussi l’amandier avec une viorne de Bodnant qui produit des bouquets de fleurs rose vif en boutons, puis blanches ou rose pâle au cœur de l’hiver.
Connue depuis la Haute Antiquité pour ses vertus médicinales, l’amande est bénéfique aussi pour notre bien-être. Alors certes l’amande est très calorique (400 Kcal/100g) donc elle contient des lipides, essentiellement des acides gras mono-insaturés tels que les Oméga-9, de bons gras utiles pour le système cardio-vasculaire.
L’amande est également riche en fibres, en protéines, vitamine E (un antioxydant) et en nutriments comme le magnésium, le calcium et le potassium.
Quant à l’amandier amer, il produit des amandes amères qui contiennent de l’amygdaline qui devient toxique après mastication. Il produit de l’acide cyanhydrique, toxique à forte dose. Pour autant, l’amande amère utilisée an agro-alimentaire, en parapharmacie et pharmacie, ou en parfumerie ne présente aucun risque.
On peut consommer l’amande entière, mondée, c’est-à-dire débarrassée de son tégument, ou effilée, réduite en poudre ou en purée. Elle peut être grillée et/ou salée. On la consomme aussi sous forme de boisson végétale ou de pâte d’amande. Elle est incorporée dans les dragées, les nougats, les croquants et sert de base à la réalisation de la frangipane.
L’amande amère était utilisée pour fabriquer le sirop d’orgeat et est toujours à la base de l’amaretto, une liqueur italienne. En Italie, on déguste aussi les amaretti, de délicieux petits biscuits.
Tout en douceur, le “lait” d’amande est délicieux nature, dans un dessert, un smoothie ou un milk-shakes. Il est en outre très simple à préparer.
Ma recette :
Alors certes, historiquement, le sirop d’orgeat se faisait à base d’orge fermenté auquel on ajoutait de l’amande pour lui donner un peu de goût. Aujourd’hui, les sirops d’orgeat industriels ne contiennent plus d’orge et encore moins de vraies amandes ! Mais on peut préparer son sirop d’orgeat maison. Il suffit de mélanger 160 ml de lait d’amande, 120 g de sucre, 2 cuillères à café d’arôme d’amande amère et 4 gouttes d’extrait de fleur d’oranger et de faire chauffer à feu doux jusqu’à ébullition.
Virginie vous dit tout sur le magnifique amandier à fleurs, également appelé amandier de Chine, un bel arbuste ornemental qui, comme sou cousin, annonce l’arrivée du printemps : Amandier à fleurs, amandier de Chine : plantation, taille, entretien
Si vous êtes intéressé par la culture des arbres fruitiers, nous vous invitons à lire les articles de nos spécialistes concernant la plantation, la taille, le tuteurage…
Retrouvez tous les conseils de Sophie pour bien récolter et conserver les amandes.
Découvrez notre fiche conseil : Cultiver des fruits à coques au jardin
Découvrez aussi 7 arbres méditerranéens dans notre fiche conseil
Comment choisir la bonne variété d’amandier ? dans notre fiche conseil et Amandiers : les meilleurs variétés à planter.
Saloua , le 15 Juin 2022
Bonjour,
Je me trouve en Tunisie et je viens de récolter des amandes vertes et je voudrais les conserver. On me dit que je peux les étaler sur le sol à l'intérieur de la maison et elles vont sécher, est-ce exact?
Merci
Réponse de Ingrid , le 16 Juin 2022
Bonjour. Je ne connais pas cette méthode. Il semble que les amandes, une fois l'enveloppe retirée, peuvent se conserver dans leurs coques durant une année, sur une clayette afin de faire circuler l'air. Néanmoins, ce conseil me parais fait pour les amandes récoltées sèches. Le plus simple si elles sont fraiches est d'enlever la coque, puis de les déshydrater à 45°C, au four ou au déshydrateur.