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L’Arbousier, Arbutus ou « Arbres aux fraises » est un petit arbuste typique des garrigues méditerranéennes cultivé au jardin pour ses qualités ornementales remarquables de l’automne jusqu’au début de l’hiver : des fruits ronds décoratifs et comestibles semblables à des fraises, jaunes puis rouges au fur et à mesure qu’ils mûrissent qui voisinent avec une longue floraison en clochettes blanches ou rosées, une écorce écailleuse et un beau feuillage persistant joliment vernissé tout l’hiver.
Incontournable et très commun dans le Sud de la France, cet arbuste méridional s’épanouit en climat doux épargné par les grands froids. Cependant, le réchauffement climatique joue de plus en plus en sa faveur dans les régions plus froides !
D’un développement modéré, il est parfait pour constituer de belles haies libres ou en sujet isolé pour composer des scènes exotiques en jardin sec et sans entretien, dans les petits jardins et même sur une terrasse ensoleillée.
Rustique jusqu’à-12 à -15°C protégé des vents dominants, frugal, résistant aux maladies comme à la sécheresse, l’Arbre à fraises est facile à cultiver en situation chaude ensoleillée ou à mi-ombre. Il se plaît dans un sol plutôt acide, pas trop calcaire mais surtout bien drainé. En bord de mer, son feuillage résiste aux embruns. Cet arbuste peu contraignant ne craint que les fortes gelées.
En climat hivernal trop rigoureux, il est préférable de le cultiver en pot. Certaines variétés naines d’Arbutus comme Arbutus unedo ‘Compacta’, bien adaptées à la culture en pot permettent une utilisation dans les petits jardins ou sur les terrasses et les balcons de la moitié nord du pays.
Si l’écorce et les feuilles de l’Arbousier possèdent des propriétés anti-inflammatoires et anti rhumatismales et sont utilisées contre hypertension, ses fruits à la chair acidulée entrent dans la préparation de recettes diverses et variées : confitures, liqueur, gelées, miel…
Plantation, taille, récolte, découvrez notre gamme d’Arbousiers à tous les prix, les meilleures variétés et tous nos conseils d’entretien pour cet arbre fruitier méditerranéen original.
L’Arbousier, connu aussi sous le nom d’« Arbre aux fraises », est un arbuste méridional qui appartient à la famille des Éricacées, celle des bruyères et des rhododendrons. Il est essentiellement originaire des zones rocailleuses d’Amérique du Nord, du Mexique et du sud de l’Europe et de la Méditerranée. A l’état naturel, il pousse en sol bien drainé, généralement plutôt acide, voire caillouteux.
C’est un arbuste commun dans les jardins de la moitié sud de la France, de la garrigue aux maquis corses et des bords sablonneux du littoral landais et nantais où il pousse aux côtés des pins maritimes, des chênes-liège ou des chênes verts dans les sols acides formant de véritables colonies, les « arbousas ». De ses origines méditerranéennes, il a conservé une grande résistance à la sécheresse, ses longues racines pouvant descendre jusqu’à 10 m de profondeur. On le trouve aussi en altitude jusqu’à 600 m.
On distingue aussi les cousins grecs, Arbutus andrachne et Arbutus x andrachnoides, un hybride entre unedo et andrachne, hauts d’une dizaine de mètres. Sans oublier le géant américain Arbutus menziesii ou Arbousier de Californie qui peut atteindre 30 mètres de haut et dont les feuilles sont beaucoup plus grandes que celles de ses cousins européens.
L’Arbre à fraises est un arbuste typique des climats doux, qui aime les régions aux hivers cléments et redoute les fortes gelées. Ceci étant dit, en situation abritée des vents froids et dominants, il résistera à des températures proches de -15°C sur une courte période, sans que son feuillage n’en souffre. Certains comme Arbutus andrachne et Arbutus x andrachnoides sont plus rustiques et résistent jusqu’à -20°C. Ils s’acclimatent aux régions plus rudes à condition de les planter au soleil et à l’abri des courants d’air. Il reste préférable de cultiver l’Arbousier en pot dans les régions aux hivers trop froids.
L’Arbutus s’acclimate parfaitement aussi en bord de mer. A l’origine, très répandu sur le pourtour méditerranéen et dans le Sud-Ouest de la France, cet arbuste méridional a fini par se naturaliser jusqu’en Irlande, preuve de sa rusticité finalement toute relative et s’il en est, du réchauffement climatique !
L’Arbousier est une espèce dite pyrophile ; après un incendie, il reprend ses droits pour recoloniser les lieux rapidement, le passage du feu favorisant la levée des graines en dormance.
L’Arbousier pousse assez lentement et forme un buisson composé de plusieurs troncs tortueux. La silhouette buissonnante est plus ou moins compacte selon les espèces. Dans nos jardins, l’arbousier garde une taille modeste mesurant classiquement 3 à 5 m de hauteur à l’âge adulte pour presqu’autant de large.
Sa croissance lente, n’a d’égal qu’une longévité de centenaire : installé dans les conditions adéquates, il peut vivre plusieurs centaines d’années.
La plupart possèdent une belle écorce écailleuse brun-rougeâtre qui s’exfolie au printemps en lanières fines à la manière des platanes dévoilant la nouvelle écorce crème ou verte. Les jeunes rameaux bien dressés et les branches secondaires offrent un coloris rougeâtre.
L’arbuste offre un beau feuillage vert foncé ou vert moyen qui reste persistant au cœur de l’hiver. Les feuilles ovales vert sombre au revers vert clair ou glauque, sont lustrées, simples, coriaces, parfois dentées sur les bords ou entières. Elles mesurent de 5 à 15 cm de long.
C’est sur cette frondaison dense et brillante qu’apparaissent les panicules de fleurs blanches et les fruits.
L‘Arbutus unedo, le plus cultivé dans nos jardins, fleurit en automne, en septembre-octobre, en même temps que les baies arrivent à maturité. D’autres arbousiers fleurissent à différentes périodes de l’année : Arbutus andrachne, fleurit de mars à mai, Arbutus menziesii en mai.
Les fleurs blanc-verdâtre ou blanc-crème ou rosées chez le cultivar ‘Roselily’ en forme de clochettes blanches de 7 mn de diamètre évoquant le muguet ou de petites coquilles d’œuf éventrées sont regroupées en panicules pendantes de 5 cm jusqu’à 20 cm de long chez Arbutus menziesi. Mellifères, elles attirent de nombreux insectes butineurs au jardin et offrent une abondante et longue floraison automnale et hivernale, apparaissant chez Arbutus unedo de fin août début septembre à janvier.
Il fleurit longtemps, produisant sans relâche quantité de fleurs délicates parfaitement mises en valeur par un feuillage vert foncé vernissé et coriace.
Cet arbuste décoratif possède une fructification des plus intéressantes. Les fleurs voisinent avec les fruits ou arbouses, de l’année précédente enfin arrivés à maturité : il faut un an aux drupes pour mûrir ! Une année après la floraison, elles cèdent donc la place à de petits fruits ronds comestibles, à la peau rugueuse et hérissés de petites pointes, d’abord verts, jaunes, puis rouges écarlates à maturité, fin octobre.
Semblables à des fraises, ces petites boules charnues très appréciées des oiseaux qui s’en délectent quand leur nourriture commence à manquer, mesurent de 2 à 3 cm de diamètre (jusqu’à 12 mn chez Arbutus andrachne et 1 cm de diamètre chez Arbutus menziesi). Ces fruits rouges très décoratifs persistent longtemps sur l’arbuste en hiver.
Au cœur de l’hiver, l’Arbre aux fraises garde à la fois son feuillage, et porte simultanément les fleurs blanches ou roses de l’année, ainsi que les magnifiques fruits mûrs vermillon de la saison précédente.
La fructification est plus ou moins lente en fonction des espèces et variétés : il faudra plus de 5 ans pour voir l’Arbutus unedo fructifier après le semis, d’autres comme l’Arbustus Unedo ‘Compacta’ sont fructifères dès les premières années.
La chair, riche en vitamine C, blanche contenant de nombreuses petites graines noires est farineuse, acidulée et sucrée. Si elles peuvent se manger crues sans excès, les arbouses, qui se récoltent bien mûres et légèrement ramollies, gagnent à être consommées cuites en compotes, gelées, confitures ou encore fermentées pour la production d’eau de vie ou de liqueur d’arbouse.
→ à lire, sur le sujet : « L’Arbouse : un fruit comestible à découvrir
Facile à cultiver, l’Arbutus, méditerranéen par essence, ne redoute ni les étés longs, chauds et secs, qui l’aident à mûrir ses fruits, ni les sols ingrats et caillouteux. Il est frugal et peu exigeant s’il est installé en sol plutôt acide, léger, bien filtrant, même très sec en été. Il pourra se contenter d’un sol ordinaire, même légèrement calcaire pourvu qu’il soit parfaitement drainé. Il apprécie une situation ensoleillée ou mi- ombragée mais protégé des vents secs et froids à l’abri d’un mur, surtout dans les régions ventées.
Il tolère en revanche, très mal les sols trop humides ou trop calcaires. S’il se montre résistant et peu sensible aux maladies, il peut toutefois être sujet à la « Septoriose de l’arbousier » qui atteint ses feuilles, sans que cela soit fatal.
L’Arbousier est un arbuste très décoratif qui révèle sa véritable splendeur à l’automne, lorsque les autres végétaux entrent dans leur période de repos. Il est resplendissant et compose des scènes exotiques en climat doux sur la terrasse ou en jardin sec et sans entretien.
Avec ses baies rouges décoratives et son feuillage luxuriant restant bien vert toute l’année, il est incontournable sur la côte méditerranéenne ou en climat atlantique moyen à chaud, planté dans un emplacement abrité, pour constituer une haie libre ou habiller un mur, en groupe associé à d’autres arbustes comme des Buddleias, des Céanothes, des Camélias d’automne, des Abélias et des Berberis.
Il sera un sujet insolite planté en isolé ou en point de mire dans massif accompagné de vivaces ; grandes armoises, sauges arbustives, sedum, hélénies.
Il s’associe parfaitement à des grenadiers nains, à l’Argousier Leikora ou aux fruits rouge vif d’un Prunier du Népal ou d’un Cotoneaster horizontalis. Il sera en parfaite harmonie avec un Oranger du Mexique, un Cornouiller sanguin ou encore un fusain.
Sa croissance très lente et les dimensions modestes de certaines variétés permettent de le planter en grand pot dans les régions aux hivers moins cléments du nord de la Loire : il sera un joli sujet décoratif toute l’année avec son feuillage persistant vert et luisant accompagnant par exemple une bruyère d’hiver.
L’Arbousier est une plante médicinale dont les feuilles et les racines possèdent des qualités reconnues contre hypertension et des propriétés anti-inflammatoires et anti-rhumatismales.
Si on compte une quinzaine d’espèces d’Arbutus dont quatre très répandues : la plus cultivée dans nos jardins qui connaissent des hivers cléments et la plus petite est Arbutus unedo, qui a donné naissance à des cultivars intéressants comme A. unedo ‘Compacta’, une variété naine idéale pour la culture en pot, les compacts ‘Roselily’, et A. unedo ‘Atlantic’, deux obtentions des pépinières Minier parfaites pour les petits jardins.
A côté de l’Arbutus Unedo, on compte d’autres espèces d’arbousiers : l’Arbutus andrachne et Arbutus x andrachnoides, un hybride entre unedo et andrachne, hauts de 6 à 8 mètres et plus résistants au froid et le gigantesque Arbutus menziesii, ou arbousier de Californie qui peut atteindre 30 mètres de hauteur.
Cet arbuste s’installe de préférence dans les régions épargnées par les grands froids au sud de la Loire, dans les régions méditerranéennes et sur les bords du littoral Atlantique car il redoute les hivers rigoureux. L’Arbousier peut survivre dans toutes les régions où les températures ne risquent pas de descendre en-dessous de -15° C- 20°C. Cependant, le réchauffement climatique joue de plus en plus en sa faveur sur les terres moins clémentes.
Il tolère les embruns marins mais craint les tempêtes hivernales qui brûlent son feuillage persistant : bien que rustique, il appréciera une plantation l’abri des vents froids.
L’Arbre aux fraises se plante au soleil ou à la mi-ombre dans un sol neutre ou de préférence acide, type terre de bruyère, pourvu qu’il soit bien drainé.
C’est un arbuste précieux dans les haies libres, au centre d’un massif arbustif ou de vivaces du soleil ou encore au verger. Les variétés compactes se prêtent bien à la culture en grands pots sur les terrasses et les balcons, surtout dans les régions aux hivers rudes de la moitié nord de la France où elles passeront dans la véranda à la saison froide.
De croissance très lente, c’est un arbuste peu encombrant, qui convient bien aux petits jardins ou aux jardins de ville.
Cependant choisissez son emplacement avec soin car une fois bien installé, il n’aime pas être transplanté.
Pour favoriser sa reprise, l’Arbutus se plante en pleine terre de préférence au printemps, idéalement en mars ou à l’automne, en septembre. Une plantation éventuellement dès le mois de février jusqu’à fin mars et de la fin de l’été jusqu’ à novembre est possible mais en dehors des périodes de fortes chaleurs et de gelées.
La plantation est l’étape cruciale, l’Arbutus peut se contenter d’un sol ordinaire mais le drainage doit être parfait.
Pour les haies, respectez 1 m entre chaque arbuste.
Au nord de la Loire, il est préférable de le cultiver en pot lorsque le climat hivernal est trop rigoureux car l’Arbre aux fraises ne craint qu’une chose : les fortes gelées. L’Arbousier est un beau sujet en pot, surtout qu’il existe de variétés naines remarquables comme Arbutus unedo ‘Compacta’.
Prévoyez un mélange très drainant et léger à base de terre, de terre de bruyère véritable et de compost bien décomposé, car il ne supporte pas l’humidité stagnante. Choisissez un grand contenant d’au moins 30 à 40 cm de diamètre. Arrosez régulièrement mais avec parcimonie. L’hiver, dans les régions très froides, remisez l’arbuste au chaud dans un endroit lumineux. Ressortez-le quand les températures commencent à se réchauffer.
Un arbousier bien installé est d’une frugalité exemplaire et ne demande aucun engrais ni de soins particuliers. Veillez à bien arroser, 2 à 3 fois par mois, la première année de plantation. Bien installé, après 2 ou 3 ans, il supportera bien la sécheresse, les sols secs et ne réclamera pas d’arrosages en été, même en période de fortes chaleurs, exceptés pour les sujets en pot, plus sensibles au manque d’eau.
En automne, les premières années, étalez une bonne couche de paillage organique (écorces ou aiguilles de pin, tapis de feuilles), et installez un voile d’hivernage afin de le protéger des fortes gelées. En savoir plus dans notre article Protéger et hiverner l’arbousier.
De croissance lente, la taille n’est pas indiquée. N’intervenez qu’au printemps pour supprimer d’éventuels rameaux morts ou pour effectuer un très léger rafraîchissement afin de maintenir un port équilibré.
Cultivé dans de bonnes conditions, l’Arbousier se montre résistant et peu sensible aux maladies et aux parasites. Il peut être toutefois assez fréquemment sujet aux attaques de pucerons et aux tâches foliaires, notamment à « la Septoriose de l’arbousier », toutes deux sans gravité.
Si l’Arbousier peut se multiplier par semis en pot sous châssis froid à l’automne et par bouture, le marcottage bien que très lent, reste la méthode la plus indiquée. Le développement racinaire est très lent, il faut se montrer patient, l’apparition de racines peut prendre deux ans.
L’Arbousier est très précieux pour réveiller de ses baies vives les haies libres et fruitières ou les massifs d’arbustes persistants en compagnie de Buddleias (Buddleia weyeriana ‘Sungold’) , de Céanothe ou Lilas de Californie, de Camélias d’automne, de Myrte commun, d’Abélias, de Berberis ( B. thunbergii ‘Orange Rocket’).
Il s’associe parfaitement à des grenadiers nains Punica granatum ‘Nana’, aux baies orangées d’un Argousier, aux fruits rouge vif d’un Carissa macrocarpa ou d’un Cotoneaster horizontalis, aux splendides goupillons vermillon d’un Callistemon. Il sera en parfaite harmonie avec un Pittosporum tobira au feuillage persistant, épais, vert brillant, un Oranger du Mexique, un Cornus sanguinea ou encore un fusain d’Europe ‘Red Cascade ou encore avec des aubépines qui feront ressortir sa fructification durant l’hiver.
Son feuillage sombre crée des contrastes intéressants avec des arbustes à feuillages gris comme les armoises ou celui d’un Buddleia ‘Silver Anniversary’ ou jaunes (Sambucus nigra ‘Golden Tower’). Il s’associera bien aussi aux couleurs de l’automne aux côtés de Cotinus ou en point de mire d’un massif de vivaces méditerranéennes à floraison tardive comme des sauges arbustives, des sedums, des hélénies ou de Fuchsia de Californie.
→ Découvrez d’autres idées d’association avec l’arbousier dans notre fiche conseil
Mon arbousier a des feuilles jaunes, pourquoi ?
Pour commencer, ne vous inquiétez pas outre mesure, il est normal que les feuilles les plus âgées jaunissent même chez les arbustes à feuillage persistant. L'arbousier préfère les terrains bien drainés, les sols bien filtrants. Les feuilles qui jaunissent et tombent peuvent évoquer un excès d’eau. Veillez à ne pas trop le planter dans un sol lourd ou argileux et à l'arroser modérément. L'Arbousier apprécie les sols secs, limite caillouteux. Par ailleurs, la cause peut être aussi liée à l’exposition : votre arbousier a besoin d’un fort ensoleillement et il n’aime pas les courants d’air, assurez vous que son emplacement lui convienne.
Mon Arbousier perd ses feuilles de façon inquiétante, en plus elles sont marquées de tâches brunes, que faire ?
L’Arbousier est très résistant et peu sujet aux maladies. Il peut néanmoins être atteint par « la Septoriose de l'arbousier » (Septoria unedonis). Ce champignon attaque les feuilles sur lesquelles apparaissent des taches brunes à brun-rougeâtre parfois parsemées de petits points noirs lorsque le temps est doux et humide. Attaque qui entraîne la chute rapide de toutes les feuilles atteintes. Pour limiter la propagation, ramassez, jetez ou brûlez les feuilles mortes. Vous pouvez traiter le feuillage restant avec un fongicide disponible en jardinerie mais nous vous conseillons de prévenir une nouvelle attaque en traitant votre arbuste à l’automne ou en fin d’hiver à la bouillie bordelaise. Cette attaque n'est pas fatale et bien qu'elle affecte certes son aspect et sa vigueur, elle n'empêchera pas votre Arbousier de produire des fruits.
Krystyna, le 1 Octobre 2023
Mon arbousier, planté il y a 3 ans, fait actuellement +- 2m. Il ne grandit pas droit, son tronc pousse sur la clôture. Ma question est : puis-je couper la branche centrale, ou bien est-il possible de le redresser ? Merci d'avance.
Réponse de Ingrid, le 2 Octobre 2023
Bonjour. Si votre arbousier pousse contre la clôture et ne grandit pas droit, vous avez effectivement deux options : le redresser ou couper la branche centrale.
Couper la branche centrale peut encourager la croissance de branches latérales et contribuer à équilibrer l'arbre. Cependant, cette action peut également modifier la forme naturelle de l'arbre et risque de le fragiliser.
Pour le redresser, vous pourriez utiliser des tuteurs et des attaches pour guider la croissance dans la direction souhaitée. Veillez à ne pas attacher trop serré pour ne pas endommager le tronc.