Pays de livraison et langue
Votre lieu de résidence semble être:
Votre lieu de résidence est:
Afin de profiter de la meilleure expérience sur notre site, vous pouvez changer:
Le pays de livraison:
Nous ne livrons que les articles des catégories graines et bulbes dans votre pays. Si vous ajoutez d'autres articles à votre panier, ceux-ci ne pourront pas être expédiés.
La langue:
Mon compte
Bonjour
Mes listes de favoris
Plantfit
Mon panier
Connexion / Inscription
Déjà client(e) ?
Pas encore client(e) ?
Créez votre compte afin de pouvoir suivre votre commande, accéder à notre service clients et, si vous le souhaitez, profiter de nos offres à venir.
Sommaire
Les asclépiades sont des plantes vivaces qui offrent une généreuse floraison estivale. On les apprécie pour leurs petites fleurs étoilées, rassemblées en ombelles, de couleur rose, mauve, blanche, ou orangée. Découvrez les superbes floraisons rose tendre, très douces, des Asclepias syriaca et Asclepias incarnata, ainsi que la floraison orange vif de l’Asclepias tuberosa. L’espèce Asclepias syriaca, aussi appelée « Arbre à Perruche » ou « Herbe aux perruches », a également l’avantage d’offrir des fruits décoratifs et originaux, ressemblant à des perruches ! Le feuillage des asclépiades est, lui, assez ordinaire, vert et allongé.
L’Asclépiade est une plante de plein soleil, qui a besoin de chaleur et d’une bonne luminosité. Elle pousse facilement, sans demander beaucoup d’entretien. Les Asclepias syriaca et tuberosa supportent assez bien la sécheresse, mais l’Asclepias incarnata apprécie les sols humides, frais. Les asclépiades ne connaissent pas beaucoup d’insectes ravageurs ou de maladies. Suivant les espèces et la couleur de leur floraison, elles s’intègreront dans les jardins naturalistes, sauvages, ou dans les massifs exotiques.
Les Asclepias sont des plantes vivaces, herbacées ou arbustives, qui rassemblent plus de 200 espèces. On les trouve surtout en Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’en Afrique. Une espèce, l’Asclepias syriaca, qui vient d’Amérique du Nord, s’est naturalisée dans plusieurs régions françaises. À l’état sauvage, les Asclepias syriaca et tuberosa poussent surtout dans des milieux ouverts, sur des terrains secs et pauvres, dans des prairies, sur des bords de routes, lieux incultes, friches, terrains vagues, etc. L’Asclepias incarnata, elle, se rencontre plutôt sur des sols humides, dans des marais, ou au bord des cours d’eau…
Les Asclepias avaient auparavant leur propre famille, celle des Asclépiadacées, mais ils sont aujourd’hui classés dans celle des Apocynacées. On trouve dans cette grande famille (plus de 5 000 espèces), quelques plantes ornementales, comme le laurier-rose, la pervenche ou le jasmin étoilé (Trachelospermum jasminoides). De nombreuses espèces appartenant à ce groupe sont originaires de régions tropicales ou subtropicales.
L’asclépiade a été nommé ainsi par Linné, en référence à Asclepios, le dieu grec de la médecine. En anglais, les asclépiades prennent le nom de « milkweed » (« herbe laiteuse », sans doute par allusion au latex blanc contenu dans leurs tissus)
Le nom de l’Asclepias syriaca est synonyme d’Asclepias cornuti. Il est étonnant qu’elle ait été appelée « syriaca », signifiant « de Syrie », alors qu’elle est originaire d’Amérique du Nord. Il s’agit probablement d’une confusion avec une autre espèce. Cette asclépiade a également différents noms vernaculaires : elle est appelée « Herbe aux perruches », en raison de ses fruits qui rappellent la forme de ces oiseaux, ainsi que « Herbe à la ouate », par référence à ses graines qui portent une grande aigrette soyeuse. On la nomme aussi « Herbe à gendarme ».
Malgré son nom, la gentiane asclépiade (Gentiana asclepiadea) n’a aucun lien de parenté avec les asclépiades, mais a été nommée ainsi en raison de ses feuilles, qui ressemblent à celles de l’asclépiade.
Les Asclépiades sont des plantes vigoureuses et qui poussent rapidement. Elles forment des touffes assez denses, constituées de longues tiges dressées, au sommet desquelles s’épanouissent les fleurs. Ce sont de grandes vivaces, qui atteignent entre 80 cm et 2 m de haut. L’Asclepias tuberosa semble un peu moins haute que les autres, puisqu’elle mesure entre 50 cm et 1 m de haut. L’Asclepias syriaca a tendance à s’étaler en largeur, et peut former de grandes colonies. Elle produit des rejets souterrains, et peut devenir envahissante.
Comme de nombreuses Apocynacées, les asclépiades renferment dans leurs tissus un latex blanchâtre (toxique pour la majorité des animaux), que l’on peut voir en cassant une tige ou une feuille.
Les asclépiades fleurissent en été, entre juin et septembre, suivant les espèces. Leurs fleurs sont petites, mais rassemblées en ombelles mesurant entre 10 et 25 cm de diamètre. Chaque inflorescence est constituée d’un grand nombre de fleurs étoilées.
Celles-ci peuvent prendre une teinte douce : rose tendre (Asclepias incarnata), mauve, blanc (Asclepias ‘Ice Ballet’)… ou, à l’inverse, être de couleur orange vif (comme chez Asclepias tuberosa), jaune, ou rouge. L’effet visuel sera totalement différent : autant les premières s’intègrent bien dans des massifs naturalistes ou des jardins romantiques et jardins de cottage… autant les secondes trouveront leur place plutôt dans les massifs exotiques ou les mixed-borders très colorés. L’Asclepias curassavica offre un beau dégradé de couleurs, entre le rouge, l’orangé et le jaune. On trouve aussi des variétés à fleurs jaunes, comme l’Asclepias ‘Hello Yellow’.
Les fleurs des Asclépiades sont très spécifiques, organisées d’une façon assez unique. Elles se composent de cinq pétales réfléchis vers l’arrière, et de cinq sépales. Chaque fleur porte une couronne constituée de cinq membranes dressées, de forme concave, que l’on pourrait prendre pour des pétales, et dont chacune porte une corne incurvée. Au centre, on trouve un gynostème : une colonne constituée des étamines et pistils soudés.
Le pollen n’est pas en grains individuels, comme chez la plupart des plantes, mais rassemblé en amas appelés pollinies. Lorsque les insectes viennent chercher le nectar, ils glissent leur patte ou rostre dans une des cinq fentes formées par les anthères adjacentes. Les pollinies s’accrochent alors mécaniquement à l’insecte. Elles ne peuvent être emmenées que par les insectes les plus forts ; les autres risquent de rester coincés dans les fentes du stigmate, transformant la fleur en un piège mortel.
En général, les fleurs des asclépiades sont parfumées (notamment Asclepias syriaca et Asclepias incarnata), exhalant une agréable odeur vanillée.
Les asclépiades sont de bonnes plantes mellifères, elles produisent du nectar qui est très apprécié par les insectes (abeilles, guêpes, papillons…). Les Asclépiades ont un rôle écologique très important, nourrissant de nombreux insectes… Et, en Amérique du Nord, elles sont la source exclusive de nourriture des chenilles du superbe papillon Monarque.
Les feuilles des asclépiades sont simples, non divisées, avec une forme très ordinaire, lancéolée ou ovale. Elles mesurent entre 7 et 25 cm de longueur, et sont plus ou moins fines suivant les espèces. L’Asclepias fascicularis, par exemple, possède des feuilles au limbe très étroit. Beaucoup d’espèces ont des feuilles opposées (A. curassavica, A. syriaca…), mais elles peuvent aussi être alternes ou disposées en spirale (A. tuberosa). Les feuilles sont vertes et marquées par une grande nervure blanche au centre.
L’Asclepias syriaca possède des rhizomes traçants et épais, drageonnants. Il s’agit de tiges souterraines qui poussent de façon horizontale, et produisent de nouvelles tiges qui émergent à partir d’elles. C’est ce qui explique que cette plante peut rapidement former de belles colonies.
Comme son nom l’indique, l’Asclepias tuberosa a des racines tubéreuses, ce qui la rend plus résistante à la sécheresse. L’Asclepias incarnata, elle, possède des racines blanches et épaisses, spécialement adaptées aux terrains humides, aux milieux pauvres en oxygène.
Après la floraison, les asclépiades produisent des fruits assez gros, qui mesurent entre 6 et 15 cm de longueur. Ils peuvent être allongés, oblongs, ou plus globuleux, et sont généralement effilés à l’extrémité, terminés en pointe. Ils ne sont pas lisses, mais couverts d’aspérités ou d’épines molles. Les fruits sont particulièrement longs et fins chez l’Asclepias tuberosa. Ceux de l’Asclepias syriaca sont très appréciés car ils ressemblent à des perruches, que l’on peut accrocher par exemple sur le bord d’un verre. Ils sont très décoratifs.
Lorsqu’ils sont mûrs, les fruits s’ouvrent et libèrent alors de petites graines brunes et plates. Ces graines portent de grandes aigrettes soyeuses, blanches, qui leur permettent de s’envoler ! C’est donc le vent qui dissémine les graines d’asclépiades. Les soies peuvent même être utilisées pour produire une fibre de très grande qualité, hydrophobe, résistante, isolante.
Lire aussi
14 fructifications insolitesLes asclépiades sont des plantes qui aiment la chaleur et le plein soleil, essentiels pour garantir une généreuse floraison. Choisissez un endroit bien dégagé, avec une excellente luminosité. Si vous habitez le sud de la France, vous pouvez vous permettre de les placer à mi-ombre.
Elles ont besoin d’un terrain drainant, où l’eau ne stagne pas mais s’infiltre rapidement. Les Asclepias syriaca et Asclepias tuberosa apprécient les terrains plutôt secs et pauvres. N’hésitez pas à apporter un peu de sable grossier avant de les planter. À l’inverse, quelques espèces comme l’Asclepias incarnata et l’Asclepias speciosa, se plaisent en terrain humide. Vous pouvez les installer en bordure d’un bassin. Dans l’ensemble, les asclépiades sont assez peu sensibles au pH. Par contre, il est préférable de les installer à un endroit protégé des vents forts.
Vous pouvez aussi cultiver les asclépiades en pot. Cela permet à la fois de pouvoir rentrer les plus frileuses sous abri, et de contenir l’expansion d’une espèce comme Asclepias syriaca.
Soyez prudents avec l’Asclepias syriaca, qui s’est déjà naturalisé dans plusieurs régions françaises. Vous pouvez le planter en pot, ou installer une barrière anti-rhizomes pour limiter son développement.
Il est préférable de bien choisir l’endroit où vous les installerez, car une fois en place, les asclépiades n’aiment pas être déplacées. Leur système racinaire, qui s’enfonce profondément dans le sol, risquerait d’être abimé par une transplantation.
Plantez les asclépiades de préférence au printemps, à partir du mois de mai, dès que les gelées ne sont plus à craindre.
Si vous installez plusieurs plantes, respectez entre 40 et 60 cm de distance entre elles, suivant la variété cultivée.
Continuez à arroser régulièrement, le temps que la plante s’installe et reprenne sa croissance.
Il est aussi possible de planter les asclépiades en pot ou bac. Pour cela, choisissez un contenant grand et profond (le système racinaire des asclépiades est bien développé). Placez-y une couche de drainage, puis un terreau léger, et installez la plante. Replacez la terre tout autour et arrosez.
Les asclépiades sont des plantes faciles, qui prospèrent (et parfois s’étendent) aisément. Leur entretien se limite à des gestes assez basiques.
Une fois installés, les Asclepias syriaca et tuberosa supportent assez bien la sécheresse. Vous pouvez néanmoins effectuer quelques arrosages en été pour soutenir la floraison. L’Asclepias incarnata a besoin d’un sol un peu plus frais que les autres espèces, et demandera donc des arrosages plus réguliers.
Pour l’Asclepias syriaca, vous pouvez laisser en place les inflorescences fanées pour permettre à la plante de produire des fruits originaux et décoratifs, en forme de perruches ; mais récoltez ces fruits avant leur complète maturité pour les empêcher de disséminer les graines – cette espèce pouvant devenir un peu envahissante. Pour les autres asclépiades, vous pouvez, au choix, laisser les inflorescences fanées pour obtenir des fruits et graines, ou les couper (ce qui soulage la plante et peut prolonger la floraison).
Nous vous conseillons de tailler les asclépiades en automne, vers le mois de novembre, en rabattant le feuillage près du sol.
Les asclépiades, si elles sont exposées aux vents, peuvent nécessiter un tuteurage afin d’empêcher que leurs tiges ne se couchent.
Si vous cultivez des espèces peu rustiques (comme Asclepias curassavica), pensez à les protéger en hiver en les rentrant sous abri. Si vos asclépiades restent dehors, même si elles sont relativement rustiques vous pouvez disposer un épais paillage autour de la souche pour la protéger.
L’asclépiade est parfois attaquée par les aleurodes, aussi appelés « mouches blanches ». Ces petits insectes se remarquent en s’envolant lorsque l’on fait bouger les feuilles de la plante. Ils affaiblissent cette dernière en consommant la sève. Vous pouvez traiter en utilisant du savon noir dilué dans de l’eau. Globalement, les Asclepias ne connaissent pas beaucoup d’ennemis (du moins en France, car en Amérique du Nord leurs feuilles sont consommées par les larves de monarques), car ils sont toxiques pour la plupart des animaux !
Pour multiplier les asclépiades, la meilleure technique semble être le semis. Il est aussi possible de diviser les touffes, de bouturer les tiges, ou, pour l’Asclepias syriaca, de bouturer les rhizomes.
Vous pouvez semer les asclépiades sous abri en fin d’hiver (février-mars), ou au début du printemps. Il est préférable de placer les graines 3 à 6 semaines au réfrigérateur avant le semis (stratification à froid).
Pensez à arroser régulièrement après le semis, et durant la première année de culture. Repiquez les jeunes plantules dès qu’elles atteignent une taille permettant leur manipulation.
Vous pouvez diviser les asclépiades en fin d’automne, une fois que la plante est entrée en dormance. Commencez par déterrer délicatement une touffe d’asclépiades, puis séparez-la en plusieurs fragments en utilisant une bêche. Replantez chacun à un nouvel emplacement, puis arrosez généreusement.
Parce que leurs fleurs sont appréciées des insectes pollinisateurs, vous pouvez intégrer les asclépiades dans un jardin favorable à la biodiversité, avec d’autres plantes mellifères. Choisissez par exemple des scabieuses, sauges, phacélie, Verbena bonariensis, népéta, lavande… Composez un massif très naturel, sauvage, en privilégiant les fleurs riches en nectar, appréciées par les insectes qui viennent les butiner. Dans ce type de jardin, il est intéressant de faire se succéder les floraisons sur une longue période, pour que les insectes puissent se nourrir tout au long de l’année.
Les espèces à fleurs rose tendre, comme Asclepias syriaca, s’intègrent très bien dans les jardins naturalistes. Elle offre une floraison douce, et a un style sauvage, qui s’intègre facilement dans un paysage. Plantez-la avec des plantes au port libre et aéré, comme Verbena bonariensis, Gaura lindheimeri, Veronicastrum, ou des Épilobes… Dans ce type de jardin, vous pouvez aussi choisir l’Asclepias incarnata, notamment si votre terrain est frais ou humide.
À l’inverse, les asclépiades à fleurs orangées, comme l’Asclepias tuberosa ou l’Asclepias curassavica, trouveront leur place dans un jardin de style exotique. Pour les accompagner, privilégiez les floraisons aux teintes vives, dynamiques et chaleureuses. Vous pouvez choisir des kniphofias, hémérocalles, crocosmias, ou des eucomis. Ajoutez quelques feuillages décoratifs, comme ceux des Phormium, de l’Imperata cylindrica ‘Red Baron’, ou des Ricins.
Végétalisez les bords d’un bassin ou d’un point d’eau grâce à l’Asclepias incarnata. Vous pouvez la planter avec des reines-des-prés, salicaires, épilobes, ligulaires, Cirsium rivulare, Eupatorium… Cette asclépiade a l’avantage d’offrir une floraison et un feuillage d’apparence très naturelle, ce qui permet d’aménager un espace plutôt sauvage, constitué d’une végétation qui semble spontanée, comme on en trouverait dans la nature au bord d’un cours d’eau.
→ Découvrez d’autres idées d’associations avec l’Asclépiade dans notre fiche conseil !
En Amérique du Nord, le superbe papillon monarque, qui effectue de grandes migrations en se déplaçant par millions d’individus, est dépendant des asclépiades pour son cycle biologique. En effet, ses larves se nourrissent presque exclusivement des feuilles d’asclépiades. Et s’il s’agit d’une plante toxique pour la plupart des animaux, les monarques, eux, sont capables de consommer les feuilles, d’assimiler les substances toxiques, ce qui les rend à leur tour indigestes pour leurs prédateurs ! Le papillon a su tirer profit de cette même toxicité qui protège la plante des herbivores.
Les aigrettes soyeuses attachées aux graines d’Asclepias syriaca peuvent être utilisées pour obtenir une fibre d’excellente qualité : hydrophobe, solide, résistante et isolante. Elle est cultivée au Canada pour ces qualités, ce qui fait que l’on nomme parfois cette plante « soyer du Québec ». On peut l’employer par exemple pour concevoir des vêtements chauds ou pour rembourrer des oreillers. Elle est également intéressante par sa capacité à absorber les hydrocarbures, mais pas l’eau, et peut donc servir à dépolluer suite à des déversements pétroliers accidentels.
De petits insectes blancs s’envolent lorsque je touche la plante. Pourquoi ?
Ce sont des aleurodes, de minuscules insectes qui s’installent sous les feuilles et prélèvent la sève, ce qui affaiblit et ralentit la croissance de la plante. Vous pouvez traiter en pulvérisant une solution à base de savon noir, ou installer des panneaux jaunes englués, afin de piéger les adultes qui viendront s’y poser.
L’Asclépiade peut-elle devenir envahissante dans mon jardin ?
Si la plupart des espèces restent en place, l’Asclepias syriaca, elle, a tendance à s’étendre avec le temps et peut devenir un peu envahissante au jardin. Pour éviter cela, il suffit de la cultiver en pot, ou d’installer une barrière anti-rhizomes. Vous pouvez aussi couper les fruits avant qu’ils n’arrivent à maturité et ne libèrent les graines.
baduel evelyne, le 15 Octobre 2020
Bonjour et merci pour vos fiches
Sauf erreur de ma part je ne trouve pas d’astuce
pour l'herbe a perruche pour faire séchés les perruches
et surtout quelles puissent rester comme telles car
cela ferait de jolie décor .
Désolé d'avoir déranger si ceci ne devait pas être
dans vos commentaires !
Cordialement
Evelyne
Réponse de Virginie D., le 19 Octobre 2020
Bonjour,
Les fruits finissent par sécher d'eux-mêmes, vous pouvez en faire un petit bouquet en vase mais je ne pense pas que vous puissiez les conserver longtemps avec leur forme caractéristique.
Cordialement Virginie