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Les asters sont des plantes vivaces qui illuminent les massifs en automne par leur floraison colorée ! C’est la fleur de fin d’été par excellence ! Il existe d’innombrables variétés, qui se déclinent dans de belles nuances de bleu, violet, blanc ou rose. Bien que les plus courants soient les asters d’automne, comme l’Aster novi-belgii (désormais Shymphyotrichum novi-belgii), on trouve aussi des variétés à floraison printanière ou estivale, comme l’Aster des Alpes (Aster alpinus). On craque pour leur floraison lumineuse et étoilée ! Avec leur côté vaporeux et léger, les variétés hautes apportent beaucoup de volume lorsqu’elles sont placées en fond de massif. À l’inverse, les asters nains, comme l’Aster dumosus (ou Symphyotrichum dumosum), agrémentent à merveille le premier plan des massifs !
Les Asters sont des vivaces d’automne très rustiques et peu exigeantes, ce qui les rend assez faciles à cultiver. Ils apprécient les terrains drainants et les expositions ensoleillées. Certains, comme l’Aster pringlei ‘Monte Cassino’, constituent une véritable solution pour les terrains secs et chauds, où les autres plantes ont du mal à pousser. Les asters s’étendent facilement grâce à leurs rhizomes et peuvent parfois se naturaliser. Il est assez simple de les multiplier par division. Les variétés les plus basses s’adaptent à une culture en pot ou se plairont en rocaille. Les asters sont des plantes assez polyvalentes… leur seul point faible est d’être sensibles à l’oïdium ! Mais il suffit pour cela de choisir des variétés résistantes, comme les Asters novae-angliae (Symphyotrichum novae-angliae).
Les Asters comptent près de 250 espèces, principalement vivaces, mais aussi annuelles ou bisannuelles. Il existe même des sous-arbrisseaux. Ils proviennent principalement d’Amérique du Nord. Quelques espèces sont originaires d’Asie et d’Europe. En France, on trouve surtout Aster amellus, Aster tripolium, Aster pyrenaeus, Aster linosyris (désormais nommé Galatella linosyris), ainsi que l’Aster alpinus dans les régions montagneuses. Certains sont protégés ! Les Asters les plus fréquemment cultivés sont Aster novae-angliae et Aster novi-belgii, deux espèces assez proches et difficiles à différencier. Ce sont des plantes tout à fait rustiques : ils supportent au moins jusqu’à – 20 °C !
Ils appartiennent à la famille des Astéracées. Avec plus de 20 000 espèces, c’est l’une des plus grandes familles du règne végétal. Elle rassemble de nombreuses plantes fréquemment cultivées dans les jardins, comme les marguerites, soucis ou dahlias, mais aussi les pâquerettes. Elle comprend aussi des plantes consommées comme légumes comme l’artichaut ou la laitue.
Le nom Aster vient du grec et signifie Étoile, en référence à la forme des fleurs. Suite aux récents changements dans la nomenclature botanique, de nombreux asters ont changé de nom pour s’appeler désormais Symphyotrichum ou Eurybia. C’est notamment le cas des “asters” d’Amérique du Nord. Ainsi, Aster nova-angliae est devenu Symphyotrichum nova-angliae, Aster novi-belgii se nomme Symphyotrichum novi-belgii, Aster dumosus s’appelle Symphyotricum dumosum pour ne citer qu’eux. L’Aster macrophyllus est, quant à lui, devenu un Eurybia macrophylla et l’Aster divaricatus se nomme désormais Eurybia divaricata. Bien que la majorité des pépiniéristes continuent de vendre ces asters sous l’ancienne dénomination, ne soyez pas étonné de voir ces curieux noms de genre apparaître sur les étiquettes.
Les asters peuvent pousser en touffe érigée ou prendre un port plutôt tapissant. Leur hauteur est très variable. Certains dépassent 1 mètre de haut. Les Asters novae-angliae comptent parmi les plus hauts (jusqu’à 1,50 m pour la variété ‘Violetta’). D’autres forment de petits coussins, n’excédant pas 30 cm de haut, comme Aster dumosus ‘Marjorie’. Il existe même une espèce grimpante : Aster carolinianus ! Les asters ont souvent des tiges ramifiées et très robustes, parfois presque ligneuses.
Les asters fleurissent généralement en automne, mais il existe aussi des variétés à floraison printanière (comme Aster alpinus) ou estivale (comme Aster sibiricus). Leur floraison est très colorée et abondante ! Ils offrent une superbe palette de bleu, mauve et rose. Légère et vaporeuse, elle apporte un effet « nuageux » comme chez les gypsophiles ! C’est particulièrement le cas chez Aster ‘Monte Cassino’, qui possède une multitude de petites fleurs blanches.
Les fleurs sont disposées en capitules, qui mesurent entre 1 et 8 cm de diamètre, et ressemblent à des fleurs de pâquerettes ou de marguerites. Ce que l’on pense être une seule fleur est en réalité une multitude de minuscules fleurs regroupées, de deux types : des fleurs jaunes tubulées au centre, et des fleurs ligulées (composées d’un long pétale coloré) sur l’extérieur. Les couleurs varient entre le rose, le violet, le bleu et le blanc, avec des pétales réunis autour d’un cœur jaune. Certains Asters offrent une floraison d’un rose éclatant !
La floraison peut être simple ou double. Ainsi, suivant les variétés, les pétales (ou plutôt, les fleurs ligulées situées sur l’extérieur du capitule) sont plus ou moins nombreux. Il y en a plusieurs rangées chez Aster dumosus ‘Starlight’, ce qui lui donne un côté assez sophistiqué, tandis que l’Aster cordifolius ‘Ideal’ en a beaucoup moins. Certaines variétés ne possèdent pas de fleurs ligulées : c’est justement ce qui donne un aspect si différent aux fleurs jaunes de l’Aster linosyris.
Utilisés en fleurs coupées, les asters apportent de la légèreté aux bouquets. Ils durent au moins une semaine en vase. Ce sont également de bonnes plantes mellifères, leurs fleurs attirent de nombreux insectes et papillons.
Les asters ont des feuilles simples et assez fines, à l’exception de celles des Aster macrophyllus et cordifolius, qui sont larges et en forme de cœur. Les feuilles sont caduques et disposées de façon alterne sur la tige. Elles sont généralement vertes, mais peuvent aussi prendre des teintes très sombres, par exemple pourpres chez Aster laterifolius ‘Lady in Black’.
Les asters possèdent des rhizomes grâce auxquels ils peuvent s’étendre largement. Certains peuvent même se naturaliser !
Après la floraison, les asters portent des fruits décoratifs, composés d’un akène relié à une aigrette de soies, qui leur permet de s’envoler avec le vent comme les fleurs de pissenlit ! Ils ont un côté très léger et délicat.
Ce sont les asters les plus répandus dans les jardins. Ils fleurissent en automne, un peu plus tôt que les Asters novae angliae. Ils sont aussi plus sensibles aux maladies, notamment à l’oïdium.
Couramment cultivés, ces asters offrent une floraison automnale, souvent violette. Ils ont l’avantage d’être assez peu sensibles aux maladies. Ils dépassent souvent 1 mètre de hauteur. Leur floraison est un peu plus dense que celle des Asters novi-belgii.
Il s’agit d’un aster de taille intermédiaire, à floraison estivale bleu – violet. Il est protégé en France. On l’appelle aussi « Œil du Christ ».
Originaire d’Amérique du Nord, cet Aster offre une floraison bleu – mauve en été. Il est assez compact et forme des coussins. Il s’adapte bien à une culture en pot ! Découvrez la variété ‘Jenny’, à fleurs roses.
L’Aster des Alpes a la particularité de fleurir au printemps. Avec son port étalé et assez bas, c’est une bonne plante de rocaille. Il a été primé Award of Garden Merit par la Royal Horticultural Society (RHS).
Découvrez les asters en vidéo avec Olivier :
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Choisir, planter et soigner les AstersPlantez vos asters de préférence en plein soleil ! Certaines variétés apprécient une situation légèrement ombragée. L’espèce la plus adaptée à l’ombre est Aster divaricatus (ou Eurybia divaricata) : n’hésitez pas à l’installer en sous-bois. La plupart se plairont en terrain drainant, mais qui reste frais en été. Ils n’aiment pas l’excès d’humidité en hiver, car un sol détrempé risquerait de faire pourrir les racines. Si votre terrain est lourd, apportez du compost pour l’alléger et le rendre plus riche.
Certains préfèrent les terrains drainants, plutôt secs, et ensoleillés. C’est généralement le cas des variétés compactes qui se plaisent en rocaille. Les plus adaptés pour cet usage sont l’Aster amellus, l’Aster alpinus et l’Aster tongolensis. À l’inverse, d’autres variétés ont une préférence pour les sols riches et frais, à mi-ombre. Ainsi, l’aster novae-angliae affectionne les sols frais, voire humides. Évitez les terrains trop sableux, qui se dessèchent rapidement. Ils apprécient les sols assez riches en humus. C’est pourquoi nous conseillons de faire des apports de matière organique. De manière générale, les asters supportent assez bien les terrains calcaires.
Installez les variétés les plus grandes, comme Aster tataricus ‘Jindai’ en fond de massif, tandis que les plus petites, comme Aster ‘Wartburgstern’ ou les Asters dumosus (ou Symphyotrichum dumosum) sont parfaites pour colorer le devant d’un massif ou une bordure !
Si vous souhaitez les cultiver en pot, choisissez les variétés les plus compactes. L’Aster dumosus est particulièrement adapté ! Découvrez la variété ‘Jenny’ à floraison rose vif. Les asters plantés en jardinière nécessiteront des arrosages plus réguliers qu’en pleine terre.
Nous vous conseillons de planter les asters à l’automne, même s’il est aussi possible de le faire au printemps.
Continuez à arroser les premières semaines, et si besoin au cours de l’été.
La distance de plantation est assez variable : d’une vingtaine de centimètres pour les variétés les plus compactes (ex. : Aster dumosus) à 40 ou 50 cm pour les plus grandes. En respectant une distance de plantation suffisante, vous obtiendrez des plantes plus vigoureuses et moins sensibles aux maladies, car une bonne circulation de l’air limite leur apparition.
→ En savoir plus dans notre fiche conseil : Cultiver un Aster en pot
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10 idées pour associer les AstersFaciles à cultiver, les asters sont des plantes qui nécessitent assez peu d’entretien. Il est préférable de tuteurer les variétés les plus hautes, comme les Aster cordifolius et Aster novae-angliae, pour éviter qu’elles ne se couchent avec le vent ou la pluie. Apportez aussi un peu de compost chaque année, au début du printemps. Nous vous suggérons de pailler, surtout pour l’été, afin que le sol reste frais. Quelques arrosages seront nécessaires en cas de sécheresse estivale. Lorsque vous arrosez, dirigez le jet vers le pied de la plante, en évitant d’éclabousser le feuillage, ce qui favoriserait l’apparition de maladies (oïdium). Si vous les cultivez en pot, arrosez régulièrement, car le substrat se dessèche plus vite qu’en pleine terre, et apportez de l’engrais liquide durant l’été. Il est important de diviser les asters au moins tous les quatre ans pour rajeunir et aérer les touffes. Vous pouvez supprimer les fleurs fanées au fur et à mesure pour prolonger la floraison, et éviter que vos asters ne se ressèment spontanément.
Les asters sont assez sensibles à l’oïdium, surtout Aster novi-belgii (Symphyotrichum novi-belgii). Nous vous conseillons d’effectuer un traitement préventif durant l’été, par exemple avec du soufre ou du purin de prêles. Cette maladie est favorisée par une plantation dense, une situation confinée (il faut que l’air circule) et ombragée. Pour l’éviter, installez vos asters en plein soleil et maintenez un sol frais durant l’été. Privilégiez aussi les asters novae-angliae, ils y sont bien moins sensibles.
Les Asters sont parfois atteints par la rouille, qui se traduit par des taches décolorées sur les feuilles et des pustules couleur rouille sur le revers de celles-ci. Ils sont également sensibles au mildiou. L’humidité favorise ces maladies, et pour y remédier la bouillie bordelaise et le purin de prêles sont assez efficaces. Nous vous suggérons aussi de retirer les parties abîmées pour limiter leur expansion. De manière générale, pour protéger vos asters des maladies, placez-les en terrain drainant, évitez de les planter de façon trop dense et d’arroser le feuillage. Un sol détrempé les rend plus sensibles aux maladies.
Les limaces et escargots apprécient de grignoter les jeunes feuilles d’asters. En prévention, vous pouvez placer de la cendre de bois ou de la sciure autour d’eux pour faire barrière. Parfois, les pucerons s’attaquent aussi aux asters.
Nous vous conseillons de tailler les asters au mois de juin en pinçant les extrémités (chelsea chop). Raccourcissez les tiges de moitié à l’aide d’un sécateur. Cela encourage une meilleure floraison, un port plus touffu et compact, tout en permettant une bonne circulation de l’air, ce qui limite ainsi les risques de maladies (oïdium). De même, au début de l’hiver, lorsque les tiges ont séché, il est préférable de les rabattre au niveau du sol. Si vous habitez une région au climat rigoureux, attendez la fin de l’hiver, car les tiges protégeront la plante du froid.
Les grands asters nécessitent souvent un tuteurage, découvrez notre vidéo pour savoir comment tuteurer facilement les asters.
Les asters se multiplient assez facilement. Nous vous conseillons plutôt de le faire par division, technique qui vous assurera d’obtenir rapidement de nouveaux plants identiques à la variété d’origine, contrairement au semis.
La division est la meilleure technique pour multiplier les asters. Faites-le tous les trois ans pour les Asters dumosus, novi-belgii, novae-angliae et x frikartii. Intervenez de préférence au printemps, autour du mois d’avril, bien que la division soit aussi possible à l’automne.
Diviser les asters permet de rajeunir les touffes et de les rendre plus vigoureuses. Cela vous aidera à contrôler leur expansion, pour éviter qu’elles n’envahissent l’espace au détriment d’autres plantes. De plus, cela aère les touffes et prévient l’apparition de l’oïdium en permettant une meilleure circulation de l’air.
Repérez les Asters à diviser, puis coupez les tiges sèches au ras du sol. Déterrez la touffe avec une bêche. Divisez ensuite la souche en plusieurs morceaux, de façon à ce que chacun ait assez de racines et plusieurs jeunes pousses. Replantez puis arrosez généreusement. Nous vous conseillons d’installer un paillage pour que le sol reste frais.
Découvrez nos conseils vidéo – Diviser un Aster :
Vous pouvez bouturer les tiges des asters au printemps.
Veillez à ce que le substrat reste frais, mais sans excès d’humidité, le temps que la bouture s’enracine. Attendez l’automne pour installer les jeunes plants en pleine terre.
Beaucoup de variétés d’asters se ressèment spontanément, au point de devenir presque invasifs. Vous obtiendrez vite une grande quantité de plants, mais vous pourrez vous en débarrasser assez facilement en les arrachant.
Semez vos asters au printemps, soit directement en pleine terre, soit sous abri pour les planter à l’automne à leur emplacement définitif. Les hybrides sont stériles.
Préparez des pots en les remplissant de terreau et tassez délicatement. Semez ensuite les graines puis recouvrez d’une fine couche de terreau. Arrosez et placez les pots sous abri. Le substrat doit rester humide jusqu’à la germination, qui se produira au bout d’une à deux semaines. À l’automne, vous pourrez installer vos semis en pleine terre.
→ En savoir plus sur la multiplication des asters avec les conseils d’Ingrid dans notre tuto.
Avec leur port aéré et leur floraison à la fois délicate et légère, les asters accompagnent à merveille les graminées (par exemple, stipa, miscanthus ou pennisetum). Les variétés les plus hautes créent un bel effet de prairie sauvage.
Les asters entrent facilement dans la composition de mixed-borders colorés, en compagnie d’autres vivaces et arbustes. Les variétés les plus basses permettent d’animer le devant des massifs, tandis que les plus hautes apporteront du volume en fond de massif. En bordure, vous pouvez utiliser Aster lateriflorus ‘Horizontalis’ qui forme une touffe basse et étalée qui se couvre à l’automne de petites fleurs blanches et pourpres. Plantez-les en compagnie de graminées, de géraniums vivaces ou d’achillées.
Les asters illuminent l’automne avec leur floraison colorée ! Profitez-en pour composer une superbe scène automnale aux tons chauds, avec des teintes qui oscillent entre le pourpre, le rose, l’orangé ou le rouge. Intégrez dans ce type de massif des graminées, des échinacées, quelques touffes de Sedum spectabile ou de verveine de Buenos-Aires.
Certains asters se plairont en rocaille. C’est le cas des Asters alpinus et amellus, adaptés aux situations sèches et ensoleillées. Vous pouvez les associer à des sédums, joubarbes ou à de petites graminées comme Stipa tenuifolia. À l’inverse, Aster divaricatus appréciera si vous l’installez en sous-bois, où il accompagnera fougères et hostas.
Pour plus d’inspiration, consultez notre fiche conseil : “10 idées pour associer les Asters”
Le feuillage de mes Asters se couvre d’un feutrage blanc ! Que faire ?
Ils sont atteints par l’Oïdium. Évitez les expositions sombres : plantez plutôt vos asters en plein soleil. Cette maladie est favorisée par une conjonction de chaleur et d’humidité stagnante. Pour y remédier, supprimez les feuilles concernées afin de limiter l’expansion de la maladie, et pulvérisez du soufre. Cette maladie touche fréquemment les Aster novi-belgii. Nous vous conseillons de privilégier plutôt les Aster novae-angliae, plus résistants. En prévention, traitez avec du soufre ou du purin de prêles. Lorsque vous arrosez, évitez le mouiller le feuillage.
Le feuillage de mes asters est marqué de taches brunes et jaunes
Vos asters sont touchés par le mildiou. Vous pouvez aussi observer un feutrage blanc sur la face inférieure des feuilles. La chaleur, l’humidité, et une trop forte densité de plantation favorisent cette maladie. Comme pour l’oïdium, les Aster novi-belgii sont les plus sensibles. Vous pouvez traiter avec de la bouillie bordelaise ou avec du bicarbonate de soude. En prévention, choisissez des variétés résistantes, assurez-vous d’avoir un sol frais et drainant, et respectez une distance de plantation suffisante.
Nous sommes début avril et mon aster ne semble pas repartir, est-il mort ?
Non, c’est tout à fait normal, car les asters sont des plantes qui sortent tardivement, souvent courant avril, voire au mois de mai. Patientez, vous le verrez bientôt démarrer sa croissance !
Mon aster se dégarnit au centre de la touffe
Comme les asters ont tendance à s’étaler avec leurs rhizomes, il arrive qu’au bout de quelques années le centre de la touffe se dégarnisse. Il faut alors les diviser. Nous conseillons de le faire au moins tous les trois ans, au printemps. Déterrez les touffes à l’aide d’une bêche puis séparez-les en plusieurs fragments, avec suffisamment de racines à chaque fois. Replantez-les puis arrosez.
maria , le 10 Novembre 2024
J'ai un aster de couleur bleu et de haute taille.
Au printemps une tige s'est cassé et je l'ai replantée au jardin, à côté du wc des chats.
Quand elle a fleuri les fleurs était d'un rose très vif et avec des pétales doubles.
Quelle peut-être l'explication ?
Réponse de Ingrid , le 15 Novembre 2024
Bonjour,
Ce changement est surprenant, mais tout à fait possible. Il pourrait s'agir d'une mutation spontanée, une réaction au stress du bouturage ou même d'une hybridation naturelle si d'autres asters étaient présents à proximité. Une autre possibilité est qu'une tige d’une variété différente ait été replantée par erreur. Quoi qu’il en soit, cette floraison rose vif est une belle surprise, et vous pourriez la multiplier pour profiter de cette particularité unique.