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Avec leur feuillage graphique et persistant, bruissant au moindre souffle de vent, leurs cannes ou chaumes colorés robustes et rectilignes, les bambous structurent le jardin même en hiver, en y apportant une note extrêmement exotique, zen ou contemporaine toute l’année.
Du bambou en pot au bambou géant, en passant par le bambou nain, le terme bambou, s’il évoque aux amateurs de cuisine asiatique un restaurant à Paris, regroupe une immense diversité de genres, d’espèces plus ou moins envahissantes et de variétés de plantes. Oubliez le « Lucky Bambou » ou « bambou de la chance » (Dracaena sanderiana) des fleuristes et le Bambou sacré (Nandina domestica) : malgré leur nom commun, ils n’ont rien à voir avec le genre !
Qu’ils soient bambous traçants comme les Phyllostachys, peu traçants ou non traçants (cespiteux) comme les Fargesia, tous composent des scènes hautement exotiques.
Au jardin ils s’installent vite, dotés d’une croissance fulgurante ils forment rapidement de belles haies brise-vue ou brise-vent, des écrans végétaux anti-bruit, des forêts dépaysantes, des massifs légers mais structurants ou des couvre-sols foisonnants. Les bambous nains font également merveille en haie basse, en couvre-sol ou cultivés en pot sur une terrasse ou un balcon. En prime les bambous secs serviront de tuteurs à vos clématites ou dahlias.
Ils se plaisent au soleil non brûlant, comme à l’ombre, en tout sol restant frais.
Ne vous fiez pas à leur allure de plante tropicale : s’il y a quelques espèces frileuses (-10°C), la plupart des bambous se montrent capables de résister à des gelées parfois jusqu’à -25°C et s’acclimatent dans toutes les régions.
Envie d’un achat de bambous en ligne, découvrez notre gamme de bambous de toute taille et choisissez parmi notre collection exceptionnelle celui qui donnera à votre jardin ou votre terrasse tout l’esprit du Pays du Soleil Levant !
Les Bambous sont des sortes des graminées ligneuses de la famille des poacées, originaires des forêts tempérées et subtropicales d’Asie (de Chine et du Japon où ils sont très appréciés des Pandas), d’Afrique et d’Amérique centrale et du Sud où on les trouve jusqu’à 3000 m d’altitude. Les bambous se sont largement acclimatés dans nos jardins européens. Sous le terme de bambou se cache un grand nombre de genres, d’espèces et de variétés.
On dénombre 80 genres et plus de 1000 espèces de bambous. Leur hauteur varie en fonction des espèces. Les bambous se classent en trois catégories de taille, du bambou nain comme le Pleioblastus viridistriatus au géant comme le Phyllostachys vivax: les nains mesurent de 20 cm à 1,50 m de hauteur, les petits et moyens de 1,50 m à 10 m et les géants de 10 m et plus.
Ils se répartissent aussi selon leur type de croissance : les espèces traçantes comme les Phyllostachys, qui se multiplient à vive allure par leurs rhizomes au point de devenir vite envahissantes et dont l’expansion peut être contenue par une barrière anti-rhizomes et les bambous non-traçants dits « cespiteux » comme les Fargesia qui poussent en touffe compacte, et qui sont, à la différence des autres bambous, non envahissants. Le système racinaire des bambous est très dense mais superficiel
Les bambous non-traçants (les Fargesia) dotés de rhizomes cespiteux, se développent lentement autour et au centre de la touffe, ils grossissent lentement, s’étoffent mais ne s’étalent pas. Il existe aussi des espèces peu traçantes moins connues comme les semiarundinaria fastuosa au port colonnaire extraordinairement vertical.
Les bambous traçants forment rapidement un réseau inextricable de rhizomes souterrains qui poussent en ligne donnant naissance à de nouveaux chaumes. Ces rhizomes peuvent croître de plusieurs mètres en un an. Ce qui vaut au bambou la réputation d’être un colonisateur né. Les bambous très traçants sont capables de couvrir une surface de 20 mètres carrés en l’espace de 10 ans. Dans des conditions de culture optimales, certains bambous sont capables de grandir de plusieurs centimètres par jour, jusqu’à 1 m !
Les variétés couvre-sol et les variétés moyennes poussent relativement vite et atteignent leur taille adulte en quelques années. Les variétés géantes culminant à plus de 10 m de hauteur n’atteindront le plein développement qu’en 7 à 10 ans.
Les bambous affichent un port buissonnant à la fois dense et dressé plus ou moins érigé aux extrémités parfois retombantes. Les bambous cespiteux forment une touffe compacte et serrée s’évasant vers le haut. Des turions ou jeunes poussent se développent sur les rhizomes donnant naissance à des cannes fines et robustes que l’on appelle des chaumes. Certaines espèces disposes de jeunes pousses comestibles une fois bouillis.
Ces chaumes ou cannes, fines ou larges comme des poteaux, s’élèvent de moins de quelques centimètres à plus de 25 m de haut selon les espèces. De diamètre variable (de quelques millimètres à près de 20 cm de diamètre), chaque chaume est formé d’un empilement de tubes creux cloisonnés de distance en distance par des nœuds. Ces entre-nœuds plus ou moins renflés selon les espèces, donnent la flexibilité à la canne. Le tissu intérieur est beaucoup moins dur que la tige. Si les cannes sont parfaitement rectilignes chez la plupart des espèces, certains bambous produisent des chaumes tordus en partie basse comme le Phyllostachys zig-zag.
Les chaumes lisses ou cannelés se divisent en rameaux grêles portant des feuilles. Les jeunes chaumes sont parfois couverts d’une pruine blanche qui disparaît rapidement. Ils revêtent des aspects variés.
Leurs couleurs varient du vert moyen intense, au vert anis, au vert olive, au rose-jaune, au jaune vif ou au presque doré en passant par le noir, l’acajou ou même le bleu acier. Souvent, les chaumes changent de teinte progressivement avec le temps et le soleil, passant du vert au jaune soufre, gris, rose ou rouge. Ainsi, des cannes d’âge différent, présentant des teintes variées cohabitent dans une belle harmonie.
Certains chaumes prennent un aspect zébré ou bicolore et sont parcourus sur toute leur longueur par de subtiles rayures, parfois un anneau de couleur contrasté s’observe sous chaque nœud.
Elles sont parfois agrémentées de gaines caulinaires persistantes qui restent accrochées sur les cannes quelques mois avant de tomber, offrant de jolis effets contrastés, entre la couleur de la gaine, celle des chaumes et celle du feuillage.
Ces cannes résistantes aux vents forts, possèdent une certaine souplesse et se cassent rarement hormis chez le Phyllostachys vivax dont les fines parois sont fragiles . Une belle flexibilité qui vaut aux bambous d’être utilisés, une fois secs comme tuteurs, base de structure pour des constructions légères, fabrication de mobilier, de parquet, instruments de musique…
L’attrait majeur des bambous vient de leur feuillage ample au graphisme peu ordinaire, bruissant au moindre souffle de vent.
Ce feuillage persistant se répartit sur presque toute la hauteur des chaumes. Il est souvent densément ramifié vers le haut. Les branches, divisées elles-mêmes en ramifications, partent des nœuds. Les bambous conservent toujours une silhouette touffue mais légère. Les feuilles mesurant de 2 à 25 cm de long, plus ou moins étroites lancéolées effilées à leur extrémité, sont groupées en touffes denses le long des tiges secondaires. Leur couleur varie selon les espèces et variétés, de vert foncé, striées ou se marginant de beige ou de jaune aux premiers froids. Elles prennent parfois une couleur orangée avec l’âge. Les feuilles sèchent, tombent mais se renouvellent aussitôt.
La floraison des bambous présente peu d’intérêt. Elle est rare, irrégulière et imprévisible. Elle est mauvais signe et annonce bien souvent la mort de la plante : les chaumes se dessèchent et meurent après avoir fleuri.
Robustes, parfaitement rustiques (jusqu’à- 25 °C selon les espèces) et vraiment peu exigeants quant à l’exposition, ils se plaisent de préférence à mi-ombre mais supportent bien le soleil tant que la fraîcheur ne leur fait pas défaut.
Si les bambous prospèrent dans toute bonne terre de jardin, la qualité et le taux d’humidité du sol conditionnent néanmoins leur bon développement. Ils apprécient tous l’humidité en été, la chaleur et les sols fertiles et poussent vite si ces conditions sont réunies. Ils coloniseront rapidement tout sol humide qu’il soit acide ou neutre du moment qu’il est riche, léger, frais, sans excès de calcaire. Ils s’installeront moins vite en sol pauvre.
S’ils sont les stars incontestées des jardins d’inspiration asiatique, les bambous s’adaptent à de nombreux styles, du plus contemporain au plus exotique, du plus zen au plus sauvage.
Parfaits en touffes isolées, les bambous forment aussi de majestueux écrans végétaux coupe-vent ou brise-vue, de petites haies ou des couvre-sols. Plantés en masse, ils forment rapidement des forêts d’un exotisme élégant.
Les bambous traçants, imposants, offrent au jardin une dimension très architecturale. Les espèces non-traçantes (bambous cespiteux) se plantent facilement en petit jardin ou dans un grand pot sur le balcon ou la terrasse.
Le bambou est un increvable qui a résisté à la bombe d’Hiroshima.
Il n’y a pas un bambou mais des bambous. Les bambous offrent une immense diversité de genres, d’espèces et de variétés. Entre les architecturaux bambous traçants, comme les Phyllostachys, réputés pour leur croissance rapide et les bambous non traçants, dits « cespiteux » au caractère non invasif, pas facile de faire un choix !
Dans la famille des traçants, à côté du Phyllostachys, le plus connu du genre, on retrouve le Semiarundinaria, le Pleioblastus, le Sasa, le Chimonobambusa, le Shibatea.
Chez les bambous cespiteux (non traçants) on connait le célèbre, Fargesia, mais il y a aussi le Yushania, le Chusquea, le Thamnocalamus, Indocalamus, certes moins connus mais tout aussi intéressants.
Les bambous traçants n’ont qu’un défaut : dans une terre propice, ils se propagent à la vitesse de l’éclair et nécessitent la pose d’une barrière anti-rhizomes.
Consultez notre fiche conseil pour savoir comment installer une barrière anti-rhizome.
Sans entretien ou presque, les bambous sont pour la plupart très rustiques et portent de remarquables cannes colorées très graphiques (comme les superbes chaumes sombres du Phyllostachys nigra ou Bambou noir ou totalement jaune vif du Phyllostachys aureosulcata ‘Aureocaulis’) et un beau feuillage persistant vert parfois panaché d’or ou de beige.
Nous vous proposons une large sélection de bambous de toute taille, pour tous les jardins et même adaptés à la culture en pot, découvrez nos plus belles variétés des plus classiques ou plus insolites !
Parfaitement rustiques, les bambous résistent bien au froid, certains au moins jusqu’à -20°C parfois plus. Ils se plaisent partout en France. Abritez-les des vents froids et secs auxquels ils sont assez sensibles.
Ils apprécient l’ombre partielle mais tolèrent bien le soleil. Les bambous préfèrent un sol neutre ou acide sans excès de calcaire, plutôt riche, frais et bien drainé. Ils aiment une terre légèrement humide en été, mais détestent en revanche avoir les pieds dans l’eau en hiver : un sol détrempé entraînerait un pourrissement fatal.
Avant toute plantation, gardez à l’esprit que les bambous traçants deviennent rapidement envahissants. Réfléchissez donc bien à l’implantation et l’espace que vous souhaitez leur donner. Vous limiterez la prolifération de leurs rhizomes traçants, en délimitant leur espace dès la plantation avec une barrière anti-rhizomes en polypropylène plantée en terre verticalement autour du plant. Pour plus d’informations, découvrez nos explications détaillées dans ce pas-à-pas :
Les bambous traçants, comme les Phyllostachys, sont imposants, ils culminent à près de 10 mètres de haut. Prévoyez-leur un espace à leur mesure !
Heureusement, pour les petits espaces ou les larges pots, il existe les bambous cespiteux non traçants mais tout aussi ornementaux qui ne nécessitent pas d’être maîtrisés par une barrière anti-rhizome. Les bambous nains ne dépassent généralement pas 1,5 m se cultivent également parfaitement bien en pot. Au jardin, ils font merveille en haie basse et en couvre-sol.
En fonction de leur hauteur à maturité, ils composeront des haies denses et décoratives, des brise-vue ou brise-vent, des fonds de massif persistants que ce soit en pleine terre ou en grands bacs sur le balcon ou la terrasse. Ils peuvent aussi être cultivés en touffe isolée.
La plantation des bambous se fait idéalement à la fin de l’été et au cours de l’automne, de fin août à octobre. Vous pouvez aussi planter entre mars et avril dans les régions du Nord de la Loire ou entre septembre et novembre dans les régions situées au Sud. Dans tous les cas plantez les bambous au printemps après les dernières gelées ou en automne après les fortes chaleurs.
La plantation en pleine terre ou en pot est une étape cruciale car elle conditionne la reprise et le bon développement de vos bambous qui ne doivent jamais manquer d’eau. Les bambous s’élanceront plus ou moins rapidement vers le ciel selon les conditions de culture.
Dans un trou large et profond, installez la barrière anti-rhizomes qui permettra de maîtriser l’extension des variétés traçantes. Elle doit dépasser de 5 cm. Posez la motte au centre du trou. Rebouchez avec la terre de jardin extraite en y apportant un bon terreau de fond et du fumier. Les bambous ont besoin de beaucoup d’eau pour s’installer, arrosez copieusement à la plantation puis très régulièrement la première année suivant la plantation notamment l’été lorsque la terre est très sèche. Par la suite leurs feuilles sèches tombées au sol constitueront un paillage naturel au pied, mais durant les premières années n’hésitez pas à déposer un paillis de copeaux de bois ou d’écorces de pins.
Les bambous tolèrent très bien la culture en pot à condition de bien suivre les arrosages. Choisissez bien votre espèce (certains trop vigoureux auraient vite fait faire éclater le pot) et privilégiez des bambous non traçants ou à petit développement. Installez-les dans un pot de taille suffisante d’au minimum 50 cm de profondeur et dans mélange riche (terreau de plantation ou pour rosiers et terre franche) et bien drainant. Offrez-leur une place au soleil non brûlant et à l’abri des courants d’air. Les bambous en pot ne doivent jamais manquer d’eau ; surveillez les arrosages qui doivent être très réguliers, surtout en cas de sécheresse prolongée.
Une fois bien installés, les bambous ne réclament quasiment aucun entretien mais ils sont gourmands en eau. En été et en période de sécheresse, arrosez généreusement au pied et douchez le feuillage le soir. Pour bien s’enraciner et pousser, les jeunes sujets requièrent un arrosage régulier durant les deux premières années après la plantation.
Les sujets en pot nécessitent également une surveillance accrue des arrosages ; veillez à ne pas laisser la terre trop sécher entre deux arrosages, ils peuvent boire jusqu’à 5 litres par jour par fortes chaleurs. Les premières années, un paillis permettra de maintenir la terre humide en été. Néanmoins, au fil du temps, vous constaterez que les bambou se paillent d’eux-même, grâce à leurs feuilles sèches, qui se décomposent très lentement.
→ En savoir plus dans notre fiche conseil Comment bien arroser un bambou en pot ?
Les bambous apprécient une terre bien fertile : au début du printemps, vous pouvez apporter du compost riche ou un engrais spécial bambou riche en azote, deux fois par an pour les bambous cultivés en bac. Si les feuilles ont tendance à jaunir, cela peut révéler un excès de calcaire dans le sol : apportez de la terre de bruyère en surface.
La taille des bambous n’est pas nécessaire. Cependant, ils supportent très bien d’être taillés à la cisaille en fin d’été courant août-septembre, soit pour leur donner une forme selon vos envies soit limiter leur développement, soit pour éliminer les cannes sèches (une fois bien secs ils serviront de tuteurs). Tous les ans, coupez à la base les chaumes secs, les moins vigoureux et les plus gênants. Cette taille d’entretien permettra à la plante à développer un feuillage entièrement neuf et plus dense. Sachez toutefois qu’une fois taillées, les cannes ne repoussent plus.
L’hiver, n’hésitez pas à débarrassez les chaumes de la neige: même si les cannes sont d’une flexibilité remarquable, elles risquent de casser sous le poids.
Les bambous ne sont pas fragiles et sont résistants à la plupart des maladies et parasites. Ils peuvent toutefois se montrer plus vulnérables lorsqu’ils sont fragilisés par un excès d’eau et un manque d’éléments nutritifs.
Quand le temps est chaud et humide, les bambous cultivés en pot sont parfois sujets aux attaques de cochenilles farineuses qui se nourrissent de la sève et laissent des amas blancs farineux ou cotonneux sur la plante. Les feuilles finissent par jaunir puis tomber, entraînant dans le pire des cas, l’anéantissement de la plante. Des pulvérisations d’un mélange d’huile végétale (colza ou huile d’olive), d’alcool à 90° et de savon noir permettent de les étouffer. En cas d’invasion trop forte, coupez et brûlez les parties infestées. Les araignées rouges peuvent aussi provoquer le jaunissement et le dessèchement des feuilles qui finissent par tomber. Traitez avec un acaricide.
→ En savoir plus dans notre fiche conseil Les maladies et parasites du bambou
Les bambous se propageant rapidement, il est facile d’utiliser cette tendance naturelle pour s’offrir de nouveaux plants à moindre coût. La multiplication se pratique au printemps, en mars-avril par division des touffes et se réalise sur des touffes ayant déjà au moins trois ans. Intervenez lorsque le sol est suffisamment humide pour extraire plus facilement les éclats. La multiplication par bouture de rhizomes est également possible sur certaines espèces traçantes mais le succès est trop aléatoire pour être conseillé.
La division de touffe :
Une fois prélevés les grands bambous repartent de leur stade juvénile. Les nouveaux chaumes qui sortiront seront plus petits en taille et en section. Il faudra à nouveau attendre plusieurs années avant de retrouver les dimensions de la plante mère.
Avec leur feuillage élégant, parfois panaché de vert, de crème ou de jaune, leur silhouette graphique, les bambous bien qu’ils se suffisent souvent à eux-même, se prêtent à de multiples utilisations. Ils apportent toujours luminosité, souffle et verticalité à un décor.
Ils permettent de conserver un beau jardin même en hiver, le givre magnifiera leur silhouette élégante et leur feuillage persistant.
Vedettes incontestées des jardins d’inspiration asiatique, les bambous s’intègrent dans tous les jardins qu’ils soient contemporains, jardins zen, exotiques, sauvages ou naturels. Certains comme le Phyllostachys atrovaginata ‘Green Perfume’, particulièrement adaptés aux zones humides, apportent même de la verticalité aux scènes aquatiques dans un jardin d’eau en compagnie d’astilbes, carex, joncs des jardiniers, Barbes de bouc ou gunneras géantes.
Utilisés en touffes isolées pour structurer un massif d’arbustes, les bambous constituent aussi des écrans anti-bruit, brise-vent ou brise-vue pour masquer un vis-à-vis gênant, de petites haies libres ou taillées toujours vertes ou des couvre-sols sous les arbres très ornementaux. Ils apporteront une ombre rafraîchissante aux hortensias arbustifs. Leurs silhouettes légères offriront un joli contraste de forme avec les camélias, plus compacts.
Dans un massif plus arbustif, ils accompagnent le bambou sacré, le fusain ou un Loropetalum. Leurs chaumes servent de support naturel aux clématites.
Plantés en nombre, grâce à leur croissance galopante, ils créent rapidement des forêts à la végétation luxuriante très dépaysante aux allures follement exotiques.
Faciles à marier entre eux ou à associer à d’autres plantes asiatiques, comme des Herbes du Japon, des érables du Japon ou des Lauriers des montagnes, ils apprécient également la compagnie des hostas, des palmiers de Chine ou des Cornouiller à fleurs, des Fougères arborescentes. Les grandes graminées comme les pennisetums, les Herbes de la Pampa ou les miscanthus, habilleront la base de leurs chaumes. Cannas ou dahlias géants comme le Dahlia imperialis se hisseront pour fleurir leur feuillage.
Pommiès-Guillemette, le 5 Février 2018
Bonjour, j’ai plusieurs bambous dans mon jardin qui se portent très bien mais j’en ai deux mal placés car toujours confronté au vent Nord Ouest ( j’habite en Basse- Normandie et près de la mer)les feuilles sont totalement échevelées ou séchées. Bref ils sont moches. J’ai essayé de les déplanter mais je n’ai pas réussi. Avez- vous une astuce pour que cette corvée soit plus facile pour une petite femme sans force??
Merci d’avance
Skouri Hichem, le 24 Mai 2018
J ai achete des graines (1000 )de bambous pour faire un brise vent dans mon verger.
J ai un taux de germination nul
Avez vous des conseils à me donner .
D avance merci?
Réponse de Michael, le 6 Juin 2018
Bonjour,
Les graines de bambous demandent beaucoup de chaleur et une humidité régulière pour germer (la germination se fait sous 2-3 semaines au printemps). En revanche si elles trop vieilles ou ont été mal stockées, elles peuvent rapidement perdre leur pouvoir germinatif.
Mignard, le 21 Juin 2018
J ai des rhizome de bambous traçant qui poussent dans ma pelouse même en les enlevant il en reste qui poussent . Comment les supprimer pour les empecher d avancer
Réponse de Michael, le 28 Juin 2018
Bonjour,
La seule solution pour se débarrasser des rhizomes de bambous reste... l'huile de coude ! Je ne peux que vous conseiller de les trancher à l'aide d'une bêche bien coupante puis de la arracher à la main. Par la suite, l'idéal reste l'installation d'une barrière anti-rhizome ou bien, de creuser un petite tranchée que vous laisserez vide.
richard, le 26 Janvier 2020
je suis un amateur de bambou,"rouge, jaune, noir + un érable rouge et des Azalées rouge, voilette, jaune.
cela est magnifique
mais il me faut anti-rhysone
j'ai fait un AVC
a bientôt A. RICHARD
Réponse de Virginie D., le 12 Février 2020
Bonjour,
Effectivement, ces bambous sont traçants et nécessite une barrière anti-rhizome.
Cordialement Virginie
Mrani, le 2 Juin 2020
Bonjour
J ´ai le bambou géant tracent dans mon jardin,c est beau ,mais comment limitee les feuilles mortes qui tombent au long de la journée, je suis fatiguée de les ramasser tous les jours .
Réponse de Virginie, le 22 Juillet 2020
Bonjour,
Faciles de culture, les bambous requièrent peu d’entretien. Ils sont toutefois très gourmands en eau. Le paillage permet de conserver l’humidité en été et d’offrir une protection efficace contre le gel en hiver. Notre conseil : laissez en place ses feuilles sèches tombées au sol, elles constitueront un paillage naturel au pied de votre bambou.