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Le genre Cedrus rassemble seulement 3 à 4 espèces que l’on nomme communément en fonction de leur lieu d’origine : cèdre de l’Atlas (Cedrus atlantica), de l’Himalaya (Cedrus deodara), du Liban (Cedrus libani) et de Chypre (Cedrus libani subsp. brevifolia syn.Cedrus brevifolia). Ces espèces de résineux réparties depuis le Maroc jusqu’à l’Himalaya offrent des silhouettes remarquables qui sont pyramidales puis qui évoluent, excepté chez le cèdre de l’Himalaya, vers un port tabulaire caractéristique suite au fléchissement de la flèche.
Dans la nature, le cèdre de l’Himalaya peut culminer à 75 m alors qu’il ne dépasse pas 15 à 20 m en culture, tout comme les autres cèdres atlantica et libani. Les formes à feuillage doré (Cedrus deodara ‘Aurea’, ‘Kelly Gold’) se limitent à 8-10 m de hauteur sur 3 de diamètre et les formes pleureuses (Cedrus atlantica ‘Glauca Pendula’, Cedrus deodara ‘Pendula’), entre 3 et 5 m de haut pour une extension de 10 à 15 m !
Il va sans dire que la plantation d’un cèdre demande réflexion car il serait dommage de devoir couper un spécimen aussi précieux que remarquable, après toutes les années nécessaires à son développement. Comme on l’a vu, il existe des cultivars à port étroit adaptés aux petits jardins. Songez aussi qu’il est possible de faire pratiquer une éclaircie du houppier par un grimpeur-élagueur apte à pratiquer une taille douce. Cet art de la taille évite de dénaturer la silhouette de l’arbre tout en facilitant la pénétration du vent, diminuant ainsi les risques d’arrachage de l’arbre.
Ces conifères sont peu exigeants en matière de sol et de climat. S’ils poussent plus vite en sol fertile, profond et frais, ils s’accommodent de conditions beaucoup moins favorables et de la sécheresse estivale une fois établis.
Les cèdres font partie de la famille des Pinacées tout comme les Pins et les Sapins. Même si plusieurs autres résineux bien différents comme le Chamaecyparis et Thuja portent aussi le nom de cèdre, le genre Cedrus ne se compose que de 2 à 4 espèces selon les classifications, présentes depuis le Maroc jusqu’aux contreforts de l’Himalaya dans des zones très localisées. Le cèdre de l’Atlas ou Cedrus atlantica (syn. Cedrus libani subsp. atlantica) signifie que cette espèce est la plus proche de l’Atlantique. Elle pousse sur les montagnes de l’Atlas, algériennes et marocaines, entre 1 500 et 2 500 m d’altitude, notamment sur les versants arrosés du nord et de l’ouest. La sécheresse des dernières années et surtout une déforestation galopante ont placé cette essence en danger d’extinction. C’est d’ailleurs une espèce découverte très tardivement vers 1838 lorsque la France crée le Service forestier en Algérie alors que le cèdre de l’Himalaya (Cedrus deodara) est lui connu et introduit une première fois en France au 16e siècle même si sa large diffusion ne démarre qu’au milieu du 19e siècle. Le cèdre du Liban, introduit en France par Bernard Jussieu vers 1734, a connu un succès rapide en tant qu’arbre d’ornement et il n’est pas rare de rencontrer des spécimens de 9 à 10 m de circonférence en Grande-Bretagne et France, avec des hauteurs dépassant 30 m. Natif des hauteurs proches du littoral de la Méditerranée orientale (Turquie, Syrie et Liban), il est malheureusement en danger d’extinction dans son aire naturelle où il est devenu plus rare que dans l’ensemble de nos parcs et avenues !
Le cèdre de l’Himalaya pousse sur les contreforts de la célèbre chaîne entre 1500 et 3300 m d’altitude, depuis l’Afghanistan, le Pakistan, l’Inde, le Cachemire, jusqu’au Népal. Ce grand arbre de forêts tempérées, qui selon l’altitude est tantôt associé à des résineux, tantôt à des feuillus, apprécient les climats doux et humides et se montrent parfois sensibles chez nous aux gelées printanières. Il peut culminer à 75 m dans son aire naturelle !
Le nom Kedros désignait chez les grecs anciens à la fois le genévrier et le cèdre. Au 18e s., cet arbre passe tour à tour dans les genres Larix (mélèze), Juniperus (genévrier) et Pinus (pin) d’après Carl von Linné avant que ne soit établi un genre à part, Cedrus, en 1841.
Ces arbres atteignent des âges honorables de plusieurs siècles voire de plusieurs milliers d’années comme en témoignent certains spécimens de cèdres du Liban. En Europe, leurs tailles ne dépassent guère 20 à 30 m de hauteur. Les branches ascendantes raides des jeunes cèdres de l’Atlas et du Liban s’étalent avec l’âge tandis que la flèche fléchit aboutissant à un port tabulaire très caractéristique. La croissance en hauteur de l’arbre effraye parfois mais il faut savoir patienter une trentaine d’années pour que sa silhouette s’aplatisse et éviter de couper la flèche. Cedrus libani ‘Nana’ bénéficie d’une croissance très lente et d’un port prostré qui convient aux rocailles tandis que la sous-espèce turque stenocoma est presque colonnaire.
Cedrus deodara conserve un port pyramidal aux branches légèrement pleureuses et montre des aiguilles plus souples et longues que les autres cèdres, mesurant de 3,5 à 5 cm. La couleur bleutée des aiguilles est typique du Cedrus atlantica forma glauca, appelé encore cèdre bleu. Cette forme très sollicitée dans nos jardins possède un port un peu plus souple que l’espèce type à aiguilles vert sombre. Le cèdre du Liban a des aiguilles de longueur intermédiaire qui mesurent 3 à 3,5 cm puis vient le cèdre de l’Atlas avec une longueur comprise entre 2 et 2,6 cm, suivi du cèdre de Chypre avec une moyenne de 1,2 cm, comme son nom latin l’indique brevifolia qui signifie « à feuilles courtes ». Les jeunes rameaux sont duveteux, hormis chez Cedrus libani qui a des pousses presque glabres. L’écorce d’abord grise et lisse chez les jeunes sujets, prend au fil des ans un aspect plus fissuré et écailleux.
Les feuilles persistantes sont disposées en rosettes de 10 à 60 aiguilles sur des rameaux nains et de manière isolée le long de pousses longues. Elles persistent 3 à 6 ans avant de chuter. L’arbre produit de la résine qui donne cette odeur si agréable qui empreigne aussi le bois réputé très dur et imputrescible. Il est utilisé pour parfumer et repousser les insectes dans les armoires.
Le cèdre commence à fructifier vers l’âge de 40 ans. Les chatons mâles forment de petites massues jaunâtres de 3 à 6 cm de long, aux extrémités des branches en début d’été qui répandent leur pollen à l’automne. Les conelets femelles paraissent au sommet de l’arbre à l’automne et mûrissent pendant 2 à 3 ans.
Les cônes des cèdres vert pourpre puis bruns ont une forme d’œuf assez lisse et se présentent dressés sur le rameau. Ils mesurent moins de 8 cm de long chez Cedrus atlantica, 10 cm avec un sommet arrondi chez Cedrus deodara, 9 à 15 cm avec un sommet plat ou concave chez Cedrus libani qui présente donc les plus gros cônes de. A maturité, les fines écailles s’écartent et se délitent avec le vent laissant échapper les graines triangulaires brunes de 5 à 10 mm.
Le bois de cèdre, apprécié pour sa résistance, sert à la construction navale, aux charpentes, en ébénisterie ainsi que dans l’artisanat et comme bois de chauffage. Il a servi à la construction de portes du temple de Salomon et possède une symbolique forte dans les trois religions monothéistes. L’huile essentielle extraite du bois et des aiguilles et sa résine possèdent des vertus médicinales antiseptiques, diurétiques et sudorifiques.
Il existe des peuplements forestiers remarquables de cèdre de l’Atlas dans le Lubéron, le Ventoux, l’Aigoual et le Lauragais.
La longueur des aiguilles ainsi que la forme et taille des cônes sont les principaux critères de détermination des 3 espèces reconnues.
Les cèdres sont des conifères résistants à la pollution urbaine, avec cependant une résistance moindre chez le cèdre du Liban, et assez rustiques, tolérant des gels à -15°C. On observe cependant un ordre de rusticité croissant qui est le suivant : deodara, atlantica puis libani. Ils poussent dans les zones 6 à 9 excepté le deodara limité aux zones 7 à 9 (mini de -16°C). Ce dernier serait également plus sensible aux gelées tardives.
Les cèdres apprécient les sols fertiles, profonds et frais, mais ils s’accommodent de conditions beaucoup moins favorables à la condition que le sol soit drainant, et tolèrent la sécheresse estivale une fois établis.
Choisissez un endroit très ensoleillé, bien dégagé, mais protégé des couloirs de vent, et surtout, anticipez le développement futur de cet arbre ! Il n’aime pas être déplacé car son système racinaire a besoin de s’ancrer fermement dans le sol pour lutter contre la sécheresse et le vent.
Plantez de préférence de septembre à novembre ou de février à juin, surtout dans les sols un peu lourds.
Cette plante est de culture facile si l’on plante de jeunes sujets. Choisissez un sujet bien fourni et à la silhouette équilibrée munie d’une flèche pour en faire un sujet de grande taille.
Sur les cèdres destinés à former de grands sujets, contentez-vous de tailler progressivement les branches basses à ras du tronc jusqu’à la hauteur souhaitée car les branches basses parfois gênantes à terme pour le passage ne s’élaguent pas toujours naturellement. Ôtez ensuite le bois morts et les menues branches qui poussent à l’intérieur du houppier afin de dégager les branches principales et créer des « fenêtres » afin de réduire la portance au vent. L’intervention d’un grimpeur-élagueur est souvent nécessaire sur de grands sujets pour alléger la ramure et éviter la casse de branches. Supprimez les branches dominées (les plus horizontales) qui mettent du temps à s’élaguer naturellement. En cas d’arrachage de branches lors d’une tempête, le bois de cèdre tolère de grosses coupes et cicatrise bien. L’opération de taille peut se faire toute l’année en dehors de la période de débourrement au printemps.
Les cèdres sont rarement malades mais ils peuvent subir une attaque sporadique de chenilles processionnaires comme chez le pin. Ce ravageur se repère aux gros nids soyeux formés dans la ramure et aux colonnes de chenilles velues noirâtres. Ces larves de papillon ont l’inconvénient, en plus de se nourrir des aiguilles de l’arbre, d’expulser des poils urticants à la moindre alerte.
Pour tout savoir, rendez-vous dans cette fiche : « Chenille processionnaire du Pin : dangers et moyens de lutte »
Le puceron noir et l’araignée rouge peuvent s’attaquer aux aiguilles. Chassez-les au jet d’eau.
La multiplication la plus courante est le semis en fin d’automne ou au printemps, chez les espèces botaniques et certaines formes à feuillage bleuté. La greffe est pratiquée chez les cultivars afin de conserver leur caractère mais cette opération constitue un travail de spécialiste. Le porte-greffe peut être l’une des 3 espèces quelle que soit la nature du greffon hormis Cedrus libani ‘Glauca’ qui exige Cedrus deodara comme porte-greffe.
Le taux de germination n’est seulement que de 30%. Les graines se conservent 2 ans maximum à l’obscurité et au sec.
Le cèdre forme un sujet isolé de toute beauté qui s’étend à la fois en hauteur et en largeur sur 5 à 10 m. Prévoyez un grand espace dégagé, un seul grand conifère est suffisant dans un jardin de moins de 2000 m. Le cèdre bleu offre une scène spectaculaire à l’automne, placé devant des feuillus comme des érables ou liquidambars. Sa silhouette et sa longévité en font aussi un bonsaï de grande valeur.
Cedrus deodara Aurea ou cèdre de l’Himalaya doré est un des plus plantés en raison de son faible encombrement (3 m de diamètre sur 8 à 10 m de hauteur à 20-25 ans) et la luminosité de ses pousses franchement jaunes virant au jaune verdâtre en été. ‘Kelly Gold’ au port un peu plus étroit et compact supportera mieux le soleil.
Attention au cèdre pleureur de l’Atlas qui peut dépasser 15 m de diamètre même s’il bénéficie d’une croissance très lente. Vous pouvez cependant diriger ses longues branches le long de supports solides et limiter son emprise par une taille raisonnée. Il constitue un sujet d’exception que l’on installera en isolé ou même, pourquoi pas, au bord d’une pièce d’eau qui reflètera son image dans un grand élan de romantisme. Dans ce cas, il jouera le même rôle ornemental qu’un saule pleureur, tout en ayant beaucoup moins d’exigences vis-à-vis du sol. En effet, le cèdre de l’Atlas est non seulement très rustique, mais s’avère capable de pousser dans des sols ingrats, pierreux, secs en été.
On peut aussi, dans un très grand jardin, planter plusieurs sujets tout le long d’une allée qui mène à une vaste demeure. Ce cheminement prendra alors une toute autre dimension, et un style à la fois élégant et romantique. Espacez suffisamment les arbres, de 7 à 10 m, pour qu’ils ne se gênent pas plus tard.
Les réelles qualités graphiques des cèdres nains (cedrus deodara ‘Golden Horizon’, Feelong Blue) ou mené en bonsaïs s’imposent naturellement dans la conception d’un jardin contemporain, qui préfère l’esthétisme des formes, des silhouettes et des textures à la valse des floraisons. Ces plantes bien vivantes, à la permanence rassurante, structurent durablement un massif, marquent les allées, bordent la terrasse, se substituant aisément à la présence forte du buis taillé ou du houx. Le tout est de jouer avec les volumes et les couleurs.
Jouez les contrastes audacieux en associant le cèdre bleu ou doré avec des azalées mollis aux couleurs vives printanières et automnales.
Vous pouvez insérer des pulmonaires ou des bulbes comme du cyclamen de Naples, des scilles ou jacinthes des bois au pied de grands cèdres qui créeront la surprise. N’hésitez pas à installer un massif de vivaces au premier plan pour animer la scène depuis la maison.
Bien que plus proche de chez nous, le cèdre de l’Atlas n’est découvert que vers 1830 alors que le cèdre du Liban est décrit et introduit sous François 1er, par Pierre Belon, entre 1546 et 1549, à la faveur d’un voyage diplomatique auprès de Soliman.
Découvrez notre gamme de Cèdres.
Notre fiche conseil : 10 conifères pour un jardin exposé au sud
VASSEUR, le 26 Octobre 2021
Mon cèdre atlanta bleu pendula a 25 ans. Il est haut de 5 mètres est d'une magnifique circonférence, en forme de parasol.
Cependant, je suis triste, car je déménage au printemps prochain et ne peux m'emmener.
Pourriez-vous me conseiller afin de faire des pousses ou greffes qui n'avorteront pas, s'il vous plaît ?!
MERCI infiniment pour votre attention, votre compréhension et votre sérieux !
Réponse de Virginie D., le 26 Octobre 2021
Bonjour,
Je suis désolée mais sauf erreur, je ne crois pas que le cèdre se bouture. Par contre, vous pouvez tenter le semis peut-être. Semez un max de graines car le taux de germination est relativement faible.
Lina, le 19 Janvier 2022
Bonsoir,
J’ai reçu un bébé glauca pendula au mois d’octobre (env. 30 cm) que j’ai rempotté avec du terreau. Il a perdu ses aiguilles sur une petite branche et les autres sont pplus ternes maintenant. Il etait dans une pièce tres peu eclairee, la j’ai déménagé mais j’habite le nord et on a pas beaucoup de soleil! Que faire ? J’ai trop peur de le perdre :(
Réponse de Ingrid, le 20 Janvier 2022
Bonjour. Il est en effet étonnant qu'il ait perdu des aiguilles sur une des branches. Il y beaucoup de facteur qui peuvent entrer en compte : sécheresse de la pièce, manque de luminosité, stress de la plante, etc... Peut-être que le souci est même antérieur à l'achat ? Difficile à dire sans le voir. Vous pouvez contacter nos conseillers par téléphone ou même encore mieux par mail en joignant une photo (en bas du site, cliquer sur "nous contacter"). Dans un premier temps, vérifiez que votre arbuste est encore en vie. Pour cela, suivez les conseils d'Olivier dans cette vidéo : reconnaître un arbre mort. Si votre arbuste est encore en vie : placez le si possible dans une pièce lumineuse, loin d'une source de chaleur, en attendant de le planter. Gardez son terreau frais et vaporisez les branches avec de l'eau pour éviter le dessèchement. Recours ultime : plantez-le en vérifiant qu'il n'y est pas de gelée dans les 2-3 jours et nuits suivants. Si vous le plantez, pensez à protéger le pied avec du paillage ou des feuilles mortes.
Lina, le 19 Janvier 2022
Bonsoir,
J’ai reçu un bébé glauca pendula au mois d’octobre (env. 30 cm) que j’ai rempotté yavec du terreau. Il a perdu ses aiguilles sur une petite branche et les autres sont pplus ternes maintenant. Il etait dans une pièce tres peu eclairee, la j’ai déménagé mais j’habite le nord et on a pas beaucoup de soleil! Que faire ? J’ai trop peur de le perdre :(
Réponse de Ingrid, le 10 Février 2022
Bonjour. La faible luminosité, couplé au fait d'être en intérieur peut être la cause de son état. Le mieux serait de le planter en extérieur, d'autant que c'est un arbre très résistant au froid. Plantez-le lorsque la météo n'annonce pas de gelées (surtout la nuit) durant 4 à 6 jours suivant la plantation. Mettez du paillage à son pied (feuilles mortes, foin, paille) afin de protéger ses racines du froid.
Si le temps n'est pas clément, conservez le dans une pièce non chauffé, lumineuse, près d'une fenêtre. Si les températures sont clémentes en journée, vous pouvez le sortir.
Leccia, le 18 Mai 2022
Bonjour ma propriétaire à la demande du voisin à accepter de faire tailler le cedre de mon jardin. Le voisin se plaignait des aiguilles sur sa terrasse. L,élagueur est venu à couper toutes les grosses branches et en a arrachées certaines du côté de chez le voisin.le tronc est à plus de 3m de la clôture seul le bout des branches dépassaient de la clôture. Resultat l,arbre est dégarni d un côté sur 5 m de haut. Il mesure au moins 15 m de haut.J,ai peur pour sa santé et sa robustesse que faire ?
Réponse de Ingrid, le 19 Mai 2022
Bonjour. Je comprends votre inquiétude. Normalement, seules les branches dépassant chez le voisin doivent être coupées, mais peut-être est-ce une demande de votre propriétaire ou du voisin de tailler si radicalement ? Ou tout simplement l'élaguer qui a jugé lui-même de la taille à réaliser ? L'arbre peut être en effet un peu déséquilibré. Si la taille n'est pas trop sévère, il va surement compenser au fil du temps pour s'équilibrer seul. Si vous avez une crainte, n'hésitez pas à en parler à votre propriétaire. En revanche, les plaies peuvent être une porte ouverte aux maladies. L'élagueur devrait penser à appliquer un cicatrisant tout de suite après la taille afin de limiter ce risque.
Monique, le 14 Octobre 2023
Bonjour, j'ai un très vieux et magnifique cèdre de l'Atlas. Il fait chaque année une quantité importante de chatons. Puis-je les utiliser comme couvre-sol, à la place d'écorce, au pied de mes fruitiers?
Merci de votre réponse.
Réponse de Ingrid, le 16 Octobre 2023
Bonjour,
L'utilisation de chatons de cèdre comme couvre-sol est une idée intéressante, surtout pour valoriser ce qui pourrait autrement être considéré comme un déchet de jardin. Les chatons peuvent effectivement servir de paillis organique et contribuer à retenir l'humidité du sol. Toutefois, il faudrait faire attention à l'acidité qu'ils pourraient apporter au sol, car cela pourrait ne pas convenir à certains types de fruitiers.
Si vous avez des doutes, il peut être judicieux de faire un test de pH du sol après l'application des chatons pour vous assurer qu'il reste dans une plage acceptable pour vos fruitiers.
Brigitte, le 1 Novembre 2023
Bonjour
Ma pelouse est recouverte de plein de chatons de notre cèdre . Qu en faire ? Les laisser sur place ? les porter à la déchèterie ?
Merci beaucoup pour vos conseils
Réponse de Ingrid, le 2 Novembre 2023
Bonjour. Si les chatons sont trop nombreux sur votre pelouse, je vous recommande de les ramasser et de les composter. Cela permettra d'enrichir votre tas de compost tout en vous débarrassant de ces déchets végétaux. Si la quantité de chatons est importante, vous pourriez envisager de les utiliser comme paillis autour de vos plantes. Cela aidera à retenir l'humidité du sol et à décourager la croissance des mauvaises herbes.
Une autre option consiste à les apporter à la déchèterie locale ou au site de compostage de votre région.