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Souvent confondus avec les pommiers du Japon, les Cognassiers du Japon ou Chaenomeles, sont de très beaux arbustes remarquables pour leur floraison précoce, en toute fin d’hiver sur les rameaux encore nus. Leurs fleurs délicates et éclatantes, roses, corail, rouges écarlates, orangées, il existe aussi des cognassiers du Japon blanc pur, parfois même teinté de vert, animent le jardin encore endormi par le froid et composent des tableaux hors du commun.
Cette profusion de fleurs laissent place en automne à des petits fruits semblables à des pommes ou des coings miniatures, très odorants une fois mûrs, délicieux en confitures.
Ces arbustes épineux très rustiques et résistants sont faciles à cultiver au soleil comme à la mi-ombre, dans un sol ordinaire, plutôt frais mais bien drainé à l’abri de l’humidité stagnante.
Polyvalents, ils s’utilisent aussi bien en massif qu’en isolé ou en haie défensive où leurs rameaux épineux s’avèrent redoutables, au verger, palissés contre un mur ou en pot taillés en bonsaï pour une note japonisante.
Peu encombrants, résistants à la pollution, ce sont de bons arbustes pour les jardins de ville auxquels ils apporteront une petite touche de gaieté et de graphisme.
Ces arbustes de printemps à floraison précoce si appréciés pour leur floribondité et leur silhouette insolite se plaisent dans tous les jardins naturels, dans les jardins anglais de style romantique ou plus contemporains. Graphiques, leurs branches tortueuses se révèlent très décoratives dans des compositions dépouillées de style Ikebana.
Du Chaenomeles japonica au Chaenomeles speciosa en passant par le Chaenomeles x superba, découvrez tous nos conseils pour cultiver, soigner et entretenir le cognassier du Japon.
Appartenant à la famille des rosacées, les Cognassiers du Japon ou Chaenomeles, sont des arbustes à feuillage caduc, le plus souvent épineux. A l’état sauvage, ces arbustes vigoureux poussent dans les forêts montagneuses et sur les bords des lacs d’Asie orientale, en Chine et au Japon. Parfaitement rustiques, ils s’acclimatent un peu partout.
Le genre Chaenomeles compte quatre espèces : C. japonica qui est l’espèce type originaire du Japon et trois espèces chinoises, C. cathayensis, C. speciosa et C. thibetica. On compte peu d’espèces, mais de nombreux cultivars ont été développés. Chaenomeles x superba est un excellent hybride du Chaenomeles japonica et du Chaenomeles speciosa dont il existe de nombreuses variétés.
On distingue deux catégories de Chaenomeles : les C. superba qui produisent des fleurs plus petites mais plus nombreuses, et présentent un port plus compact et un branchage un peu plus tortueux que les C. speciosa. On reconnait ces derniers à leurs grandes fleurs. Ils sont un peu plus tardifs que les C. superba et un peu plus grands aussi.
Toutes ces espèces et leurs divers hybrides portent communément le nom de « cognassier du Japon » malgré leurs différentes origines. On les appelle aussi « Cognassiers à fleurs » par opposition au cognassier à fruits (Cydonia oblonga) et ils sont parfois confondus avec les « pommiers du Japon » qui appartiennent quant à eux au genre Malus.
Leur silhouette plus ou moins étalée varie en fonction de l’espèce et offre une grande hétérogénéité de taille, allant de petits buissons de 1 m, précieux en couvre-sol aux arbustes comme C. cathayensis pouvant atteindre 3 m de haut pour presqu’autant de large. Si la plupart forment un buisson touffu, compact, arrondi et dressé, Chaenomeles japonica se distingue par son développement plus prostré.
De croissance assez rapide, ces arbustes atteignent les deux tiers de leur hauteur adulte en cinq ans et se densifient au fil des années.
Les Chaenomeles forment des arbustes au port buissonnant assez anarchique avec des branches couvertes de fines épines enchevêtrées mêlées à des pousses vigoureuses plus raides. Certains cultivars comme le Chaenomeles speciosa ‘Mango Storm’ ou Chaenomeles speciosa ‘Scarlet Storm’ sont dépourvus d’épines.
Les Cognassiers du Japon fleurissent dès le mois de février dans certaines régions. Ils se couvrent d’une multitude de bouquets de fleurs en coupe, remarquables parce qu’elles apparaissent avant les feuilles, sur les rameaux encore nus et lorsque le jardin est encore au repos et souvent dénudé.
De la fin de l’hiver et jusqu’en juin, elles constellent de leurs petites corolles éclatantes le bois nu jusqu’à l’apparition du jeune feuillage, éclosant par dizaine, groupées par 2 ou 5 sur les branches épineuses de l’année précédente.
Elles transforment littéralement ces arbustes au port un peu raide en leur conférant une dimension spectaculaire. Les boutons floraux ressemblant à de petits bonbons en sucre seront magnifiques pris sous le givre tardif.
Cette floraison dure environ 3 à 4 semaines.
Toutes en délicatesse, ces corolles un peu cireuses, se déclinent dans une infinie variété des coloris allant du rouge le plus vif au blanc pur en passant par toutes les nuances de rose et de saumon, allant du blanc rosé, rose pâle à rose pourpré en dégradé au revers plus foncé. Certaines sont légèrement parfumées.
Le Chaenomeles speciosa Eximia se couvre d’une multitude de fleurs rose carminé, ‘Hot Fire’ se démarque des autres cognassiers par sa floraison couleur rouge feu et le ‘Kinshiden’ porte des fleurs vertes teintées de blanc crème d’une élégance rare.
Orange corail, rose tendre saumoné, rose vif ou blanc selon les espèces, les fleurs présentent une corolle simple, semi-double ou double, de 3 à 6 cm de diamètre pour les plus grandes (Chaenomeles speciosa ‘Mango Storm’), composées parfois de nombreux pétales parfois délicatement chiffonnés qui se chevauchent chez certaines variétés, évoquant davantage ceux de certaines roses ou des camélias que celles des cognassiers. Souvent à peine entrouvertes, elles dévoilent un cœur d’étamines jaunes.
Ces rameaux épineux nus mais constellés de fleurs sont très graphiques en bouquet et précieux dans des compositions japonaises d’Ikebana. Ils font d’excellents bonsaïs très prisés des Japonais en raison de leur floraison aérienne et abondante.
A l’automne, cette floraison cède la place à de petits fruits décoratifs et très parfumés, à condition d’avoir plusieurs pieds plantés, semblables à des petites pommes ou à de petits coings, jaunes, verts parfois lavés de pourpre qui persistent longtemps sur l’arbuste après la chute des feuilles. Certains hybrides stériles ne produisent pas de fruits. De saveur aigrelette, ils sont cependant comestibles une fois cuits en gelée, en confitures, ils entrent également dans la confection de liqueurs. Ils restent toutefois moins goûteux que les coings classiques issus des cognassiers à fruits (Cydonia oblonga). Ils présentent surtout un intérêt olfactif. Leur odeur est si proche de l’ylang-ylang qu’on en tirait autrefois un parfum ; « l’essence de Cananga”.
A l’automne, le feuillage est l’autre atout des Cognassiers du Japon. Il naît sur les rameaux bruns nus en même temps ou peu après la floraison. Vert moyen à vert foncé luisant au printemps, les feuilles étroites à lancéolées, nervurées, longues de 2 à 12 cm, se parent en automne de nuances jaune d’or lavé parfois de carmin avant de tomber dès les premiers frimas.
Les Cognassiers du Japon sont des arbustes parfaitement rustiques, ils résistent jusqu’à – 25 °C et s’adaptent à toutes les régions car ils ne craignent ni le chaud, ni le froid.
Pour bien fleurir, ils demandent une exposition au soleil non brûlant, bien qu’ils s’adaptent aussi à la mi-ombre. Ils se plantent dans tout sol ordinaire pas trop calcaire, bien drainé, restant frais. Une fois établis, au bout de trois années de culture, ils supportent tout, la sécheresse comme la pollution atmosphérique, ils sont donc bien adaptés à l’atmosphère urbaine des jardins de ville.
La silhouette compacte, mais élégante fait des Cognassiers du Japon des arbustes plus polyvalents qu’il n’y parait. Ils trouvent leur place dans tous les jardins naturels même dans les petits espaces, formant de jolis points de focaux.
Ils apportent toujours au jardin une note contemporaine très graphique, qui se prête aux compositions japonisantes très appréciées par les amateurs de bonsaï. On peut les cultiver en groupe associés à d’autres arbustes sur un talus ou dans une haie bocagère, en haie vive ou encore en haie défensive avec leurs épines acérées. Ils font merveille aussi en bac ou palissés le long d’un mur. Les plus petits formeront un grand couvre-sol sur un talus, en compagnie de céanothe rampant par exemple.
On les associe aux floraisons précoces des Lilas, ou des Forsythias, à une profusion de bulbes de printemps comme les tulipes ou les narcisses ou à des plantes plus rampantes comme des géraniums vivaces ou à des euphorbes qui couvriront leur pied.
Leurs branches tortueuses et épineuses constellées de petites fleurs candides vermillon ou rose tendre sont très souvent représentées dans les paysages des estampes japonaises.
On connaît trois espèces de cognassiers du Japon mais il existe des centaines d’hybrides et de cultivars. L’authentique cognassier du Japon est le Chaenomeles japonica qui est épineux et porte des fleurs rouge ou orangé. Avec l’espèce type C. speciosa, il a donné naissance à de nombreux hybrides portant le nom de Chaenomeles x superba. Ils présentent un port plus globuleux et des tailles intermédiaires de 1 à 1,50 m. La troisième espèce est C. cathayensis, plus haute (5 m), elle porte aussi les plus gros fruits.
Leur taille va de l’arbuste nain au grand arbuste et la couleur des fleurs varie du rouge vif au blanc pur en passant par les roses ou saumon les plus délicats, ainsi que la présence ou non d’épines.
Pour une conduite en bonsaï, préférez les cultivars presque rampants et bien tortueux, pas trop grands donc faciles à contrôler comme ‘Falconet Charlet’ avec ses jolies fleurs doubles roses, ils développent de jolies branches ramifiées sans beaucoup d’efforts. Découvrez notre collection de Cognassiers du Japon, dont certains en exclusivité !
D’une belle rusticité, les Cognassiers du Japon résistent à des températures très basses de -20°C, ce qui garantit une parfaite résistance dans toutes les régions.
Peu exigeants, ils poussent partout en tout sol, même pauvre, acide ou calcaire, frais et bien drainé, en situation ensoleillée sans soleil brûlant ou mi-ombragée. Ils redoutent seulement les très sols lourds et détrempés.
Une fois bien établis, ils supportent tout: le soleil comme la sécheresse. Ils ne craignent ni le chaud, ni le froid ni même la pollution atmosphérique, ce qui en font de bons sujets pour les jardins ou les balcons citadins.
Ces épineux peuvent se cultiver aussi bien au centre ou en fond de massif qu’en groupe associés à d’autres arbustes comme en haie bocagère, en haie vive. Ils forment aussi des haies dissuasives jusqu’à 3 m de haut. Ils seront aussi parfaitement à leur place dans un verger, leur petits fruits sont comestibles une fois cuits.
On peut les palisser contre un mur, près de la maison pour dompter un peu leur tendance naturelle à l’enchevêtrement. Évitez toutefois de les installer en haies basses ou dans un passage ; leurs épines pénètrent profondément dans la peau.
Certains comme le Cognassier du Japon ‘Sargentii’ forment également de grands couvre-sol sur un talus ou de spectaculaires bonsaïs qui conservent la taille normale de leurs fleurs sur des arbustes miniaturisés.
Les variétés basses (‘Fire dance’) peuvent être plantées en pot et même conduites en bonsaï.
Vous pourrez ainsi profiter de leur floraison aux couleurs vivifiantes au printemps et de leurs petits fruits odorants sur la terrasse ou près des entrées en automne.
Les sujets achetés en pot peuvent se planter d’octobre à mars, en évitant les périodes de gel ou de fortes chaleurs. Une plantation à l’automne, de septembre à novembre favorisera toutefois le bon enracinent de l’arbuste avant l’hiver.
Dans les haies, espacez les Cognassiers du Japon de 80 cm à 1 m selon les variétés, ramenez cette distance plantation à 50 à 80 cm dans les massifs. On peut aussi les planter en groupe de 3 ou 5, en bosquets, au sortir de l’hiver, ils offriront un spectacle enchanteur.
Creusez une tranchée de 30 à 50 cm de profondeur et sur 20 à 30 cm de large. Espacez les arbustes de 1 m environ. Il n’est pas nécessaire de tuteurer.
Les branches des Cognassiers du Japon peuvent grimper à 3 m et se palissent aisément.
Rustiques, résistants à la sécheresse comme à la pollution atmosphérique, les Cognassiers du Japon sont de vigoureux arbustes sans entretien spécifique. Résistants à la sécheresse, une fois bien enracinés après 2-3 ans de culture, ils nécessitent peu d’arrosages.
Apportez au pied de l’arbuste un compost bien mûr chaque année au printemps et en automne.
S’ils ne demandent pas de tailles particulières, il est toutefois conseillé de raccourcir occasionnellement les rameaux enchevêtrés qui déséquilibrent le port de l’arbuste ou ceux trop longs qui pourraient devenir moins florifères. Avec le temps, ces arbustes ont tendance à former un entrelacs de branchages enchevêtrés un brin anarchique. En juin, après floraison, tous les 2-3 ans, faites une taille de rafraîchissement :
Sur les arbustes palissés, rabattez en mai, tous les ans, les rameaux de l’année précédente à 2-3 yeux de la branche principale.
Naturellement petits, certains Chaenomeles sont intéressants à travailler en bonsaï : les feuilles peuvent se miniaturiser mais les fleurs gardent leur taille ! Il faut pour cela réaliser des tailles de formation les premières années. Ils souffrent peu, d’une taille même sévère.
Retirer tous les drageons dès qu’ils apparaissent et effectuer des tailles courtes après la floraison. Elles provoqueront la formation d’un tronc noueux, mais soyez patients, il faudra au moins 5 ans pour obtenir un tronc large de 2 cm.
Les Cognassiers du Japon sont des arbustes à fleurs vigoureux qui présentent une assez bonne résistance aux maladies.
Le chancre, les pucerons et les cochenilles, repérables à la présence d’amas farineux peuvent toutefois les affaiblir. Contre ces dernières, au printemps, traitez les tiges avec des pulvérisations d’un mélange d’huile végétale (colza ou huile d’olive), d’alcool à 90° et de savon noir qui permettent de les étouffer, renouvelez si nécessaire toutes les 2-3 semaines. En cas d’invasion trop forte, coupez et brûlez les parties infestées.
Si le temps et doux et humide au printemps, le Cognassier du Japon peut se montrer sensible à la tavelure, un champignon qui noircit le feuillage et déforme les fruits, traitez préventivement au printemps et à l’automne, avec de la bouillie bordelaise. Si l’oïdium menace avec son duvet blanc : pulvérisez du purin d’ortie ou une décoction de prêle.
Malgré leur caractère robuste, les Cognassiers du Japon peuvent être victimes du feu bactérien, redoutable maladie qui s’attaque particulièrement à la famille des Rosacées et qui peut tuer l’arbuste en quelques semaines. Les feuilles présentent des tâches de rouille, les boutons floraux et les feuilles se dessèchent et noircissent comme si l’arbuste avait été brûlé par le feu. Seule solution : prévenir les attaques en mars-avril, en pulvérisant de la bouille bordelaise ou une décoction de prêle et empêcher la contamination qui peut s’étendre aux arbustes voisins en coupant 20 à 30 cm au-dessous des parties atteintes puis en les brûlant.
L’arbuste est peu également être touché par la moniliose du cognassier par temps humide. Les fleurs se dessèchent, tombent, les branches aussi et les fruits pourrissent sur l’arbre : traitez à la bouillie bordelaise en automne après la chute des feuilles.
→ Lire aussi notre fiche conseil Les maladies et parasites du Cognassier du Japon.
La multiplication du Cognassier du Japon peut se faire par semis après avoir fait stratifier les graines chez les espèces types ou par boutures semi-ligneuses ou par marcottage chez les hybrides. Nous conseillons davantage ces deux dernières méthodes plus rapides et simples, les jeunes plants ainsi multipliés fleurissent dès la première année, à la différence des Cognassiers issus de semis qui ne donneront des fleurs que 5 années plus tard.
→ Lire aussi : Comment bouturer le Cognassier du Japon ?
Dès la fin de l’hiver, leurs rameaux nus rehaussés par de petites fleurs éclatantes, roses, rouges ou blanches serviront de fond à une belle diversité de végétaux. Les Cognassiers du Japon se plaisent un peu partout au jardin, en fond d’un massif ou groupés en haies libres ou défensives, en potées printanières sur la terrasse ou au balcon ou encore palissés contre un mur.
Incontournables dans les scènes printanières, les Cognassiers du Japon trouvent leur place dans les jardins naturels, en sous-bois lumineux, entouré de bulbes de printemps dont la floraison coïncident avec leurs fleurs ; narcisses, scilles, jacinthes, tulipes botaniques, couronnes impériales.
En haie champêtre, ils peuvent être associés à d’autres arbustes à floraison printanière, Forsythias jaunes ou blanc (abeliophyllum distichum), Lilas, corêtes du Japon, Cerisier à fleurs, pommier d’ornement, Ribes x gordonianum ou Groseiller de Gordon.
Ils seront parfaits en haies défensives aux côtés d’aubépines, de berberis, de prunelliers ou d’autres arbustes à fruits décoratifs comme les argousiers, voire comestibles tels que les arbousiers.
Dans un massif, associez-les aux corylopsis ou faux noisetiers, à des camélias et à des vivaces basses telles que des heuchères, euphorbes ou des géraniums vivaces pour couvrir le pied des cognassiers. Les buddleias prendront le relais de la floraison.
Sur un talus, ils se marient avec un rosier buisson, un romarin ou un genévrier ou céanothe rampants. Palissés contre un mur, près de la maison en compagnie des arbustes parfumés comme le chèvrefeuille ou un jasmin d’hiver, ils créeront l’enchantement à chaque passage.
→ Découvrez d’autres belles idées d’associations avec le cognassier du Japon dans notre fiche conseil !
Jacques Wattel, le 1 Mars 2019
Bonjour,
Très bel article que j'ai eu quelques difficultés à noter : 5/5, ne sachant pas s'il convenait de pointer l'étoile du haut ou l'étoile du bas et ne pouvant corriger :-)
Cordialement
JW
Christophe Charbonnier, le 27 Avril 2019
Excellent article d'informations très bien fait avec des photos et des idées. Bravo pour votre passion. Je mets cet article dans mes favoris pour y revenir plus tard. Bonne saison à vous.
Yoris, le 3 Août 2019
Je cherchais le cognassier depuis un bout de temps et je viens d’en trouver la bonne espèce qui est “Crimson & Gold”. Cet article tombe pour moi au meilleur moment, car ma plante est encore dans son pot d’origine. Merci énormément pour toutes ces informations précieuses, espérant que je sois à la hauteur de ce que cette arbuste peut apporter comme beauté exceptionnelle de sa floraison unique..
Sophie E, le 22 Janvier 2022
Peut-on déplacer un cognassier déjà bien implanté?
Merci pour votre réponse.
Réponse de Ingrid, le 25 Janvier 2022
Tout dépends de ce que vous entendez par bien implanté. Une chose est sûre : plus un arbuste ou un arbre est vieux, moins il supportera d'être déplacé. N'hésitez pas à vous renseigner auprès d'un paysagiste en cas de doute ou auprès de nos conseillers téléphonique si vous avez besoin.