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Le Coprosma est un petit arbuste persistant, frileux, qui possède un feuillage persistant, dont la couleur évolue au fil des saisons. Magnifiques, ses feuilles sont si luisantes qu’elles ont valu à l’arbuste son surnom de « Plante-miroir », tant elles reflètent la lumière. Une beauté étincelante qui a fait la réputation de variétés telles que Coprosma (x) repens ‘Fire Burst’, ‘Evening Glow’ à la parure multicolore, ‘Rainbow Surprise’, Coprosma (x) robusta ‘Pina Colada’ panaché de vert et d’orange, ou encore ‘Pacific Sunset’ au feuillage rouge brillant. Et si la plante fructifie, elle vous gratifiera de petites baies de couleur orange vermillon, très décoratives.
Il forme un petit buisson arrondi, extrêmement brillant, beau en toutes saisons. Il existe des Coprosmas très compacts ne dépassant pas 50 cm de hauteur en tous sens, parfaits en rocaille, couvre-sol ou en pot. Les plus grands (1,50 m de hauteur) seront de beaux sujets pour la création d’une haie persistante.
Frileux (-5°C environ) mais très résistant à la sécheresse et aux embruns, c’est un arbuste à réserver aux franges côtières épargnées par les fortes gelées. Partout ailleurs, il sera magnifique en grande potée sur la terrasse ou le balcon à abriter du gel en hiver. Il a une préférence pour les sols pauvres, très bien drainés, sans calcaire et demande peu de soins.
Découvrez sans attendre cet arbuste qui apporte au fil des saisons, lumière, originalité et couleur à votre jardin ou votre terrasse !
Le Coprosma est un petit arbuste persistant de la famille des rubiacées, tout comme le Gardénia. Le genre Coprosma est composé de 90 espèces originaires d’Océanie et plus précisément de Nouvelle-Zélande et de nombreux hybrides, arrivés récemment sur le marché horticole européen. L’arbuste présente un port particulièrement touffu, érigé et compact. En l’espace de 4 ou 5 ans, il forme un buisson atteignant environ 50 cm à environ 1,50 m de hauteur selon les variétés. Dans son milieu d’origine, cet arbuste peut mesurer jusqu’à 3 m de haut.
Le Coprosma se distingue par un beau feuillage luisant, aux coloris variés et changeants qui persiste en hiver éclairant le jardin tout au long de l’année. Les tiges souples et ramifiées portent de petites feuilles opposées, ovales à lancéolées, coriaces, brillantes sur le dessus, mates au revers. Elles sont marquées par une nervure médiane plus claire. Les colorations des feuilles diffèrent selon les cultivars allant du vert tendre, au brun chocolat retouché de vert vif ou de rose, en passant par le rouge, le bronze ou le pourpre. Certaines variétés arborent un feuillage multicolore à l’instar du Coprosma ‘Evening Glow’. À chaque changement de saison, leurs couleurs évoluent. Leur belle robe est plus claire en été, elle s’assombrit et s’empourpre sous l’effet du froid. L’ensemble forme un buisson étincelant où se mire la lumière, d’où son surnom de « plante-miroir ».
La floraison estivale est insignifiante. D’août à septembre, elle prend la forme de glomérules composés de petites fleurs tubulaires blanc-verdâtre aux étamines saillantes. Le Coprosma est une plante dioïque, c’est-à-dire que la fructification n’intervient qu’à condition d’avoir des pieds mâles et des pieds femelles côte à côte. Si c’est le cas, les fleurs sont alors suivies de baies globuleuses de couleur orange vermillon qui font le régal des oiseaux. Très décoratives, ces drupes écarlates restent en harmonie avec le feuillage souvent empourpré par l’automne.
De ses origines néo-zélandaises, le Coprosma a conservé une certaine frilosité et une préférence pour les climats cléments. Peu rustique, il commence à souffrir dès -3 ou -5 °C (parfois – 8 °C en pointe, dans un sol très bien drainé), et préfère les hivers doux. Les hybrides se montrent souvent plus résistants aux maladies comme au froid. Il ne se cultive en pleine terre que dans les jardins du littoral épargnés par les fortes gelées. Dans les régions aux hivers rigoureux, on le cultivera en pot sur la terrasse ou le balcon durant toute la belle saison avant de le remiser à l’abri pour l’hiver dans une pièce fraîche, lumineuse, peu ou pas chauffée.
Très tolérant aux embruns et à la sécheresse une fois bien installé, le Coprosma est une plante idéale pour les jardins côtiers. Il apprécie les expositions très ensoleillées ou légèrement ombragées dans le sud de notre pays et se plaît dans les sols légers, très drainants, pas trop secs à frais et dépourvus de calcaire. Il tolère les sols pauvres.
Avec sa végétation dense aux couleurs changeantes, selon les variétés, il peut être planté en bordure, en rocaille, en haie basse ou au premier plan d’une haie fleurie ou mixte bien protégée. Son petit développement s’adapte parfaitement à la culture en pot.
La plantation Coprosma se fait de préférence au printemps, d’avril à mai, en dehors des périodes de gel ou de sécheresse.
En pleine terre
Espacez les pieds de 1 m à 1,50 m pour les plus grandes variétés et de 0,50 à 0,60 m pour les Coprosmas nains. Le drainage doit être parfait. Dans une terre retenant l’eau, préférez une plantation sur une butte.
Culture en pot
Choisissez des variétés bien compactes comme ‘Mini Mac’.
Le Coprosma demande peu de soins et d’entretien. Veillez à ce qu’il ne manque pas d’eau durant ses premiers étés pour aider à la reprise. Une fois bien installé, il se passe d’arrosage en été dans la plupart de nos régions, excepté en cas de sécheresse prolongée. Les sujets en pot ont davantage de besoins eau ; arrosez une fois par semaine durant toute la belle saison.
En région froide, à l’arrivée des premiers froids, pensez à rentrer les pots dans une pièce lumineuse hors gel.
La taille n’est pas indispensable, elle consiste à rabattre les tiges mortes, abîmées par le froid hivernal ou défleuries entre avril et août. Elle permet de conserver une jolie forme buissonnante et compacte et, stimule la production de nouvelles pousses. Taillez à l’aide d’un sécateur, toujours avec parcimonie.
Le Coprosma se montre résistant. Il peut parfois subir les attaques de cochenilles, surtout s’il est cultivé en serre : pulvérisez de l’huile de colza pour étouffer les indésirables.
Vous pouvez multiplier le Coprosma par boutures de tiges semi-ligneuses en été.
Les Coprosmas sont parfaits pour apporter une belle touche colorée permanente, plus ou moins flashy selon les cultivars, à toute composition. Avec leur feuillage brillant et changeant, ils jouent admirablement avec la lumière, réveillant au fil des saisons les zones un peu ternes du jardin. Ils sont précieux dans un jardin de bord de mer.
En bordure d’un massif foisonnant, les variétés les moins hautes trouveront leur place aux côtés d’un mélange de vivaces hautes en couleur : Rudbeckia, Echinacea, Salvia greggii ‘Mirage Burgundy’, phormiums, hémérocalles ou dahlias, le tout ponctué de stipas pour la note délicate et sauvage. Les petites fleurs bleues des Sauges seront de bonnes compagnes.
Les sujets remarquables par leur port comme ‘Fire Burst’ pourront être installés dans un massif d’arbustes compacts composés de plantes à feuillage vert (Lonicera nitida), doré (origan doré, Chamaecyparis obtusa ‘Kamarachiba’, Berberis thunbergii ‘Aurea Nana’, Oranger du Mexique), ou pourpre comme celui des Berberis.
Ils peuvent se marier dans les haies basses à tout type d’arbustes. En automne, leur feuillage coloré s’accordera à merveille avec les arbres à perruques ou le Bambou Sacré, les érables du Japon et les Fusains aux teintes acajou. Ils accompagnent facilement d’autres plantes acidophiles comme le Cercidiphyllum japonicum (L’Arbre à caramel).
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