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Le cotoneaster est une petit arbuste ornemental facile de culture produisant une profusion de fleurs au printemps, et surtout des baies rouges ou orangées parsemées dans son feuillage très décoratif à l’automne ou sur les rameaux nus en hiver. Ses capacités d’adaptation exceptionnelles et sa polyvalence, font du Cotoneaster un arbuste incontournable dans tous les jardins sans jardinier ou d’esprit naturaliste.
Caduc ou Cotoneaster persistant, prostré ou érigé, taillé dans les haies tirées au cordeau, buissonnant et peuplé d’oiseaux dans les haies champêtres, cotoneaster couvre-sol pour garnir talus et rocailles, qu’ils soient Cotoneaster horizontalis ou Cotoneaster franchetii, tous apportent de la couleur à tous les recoins du jardin.
On peut aussi le cultiver dans de grands bacs sur une terrasse ou un grand balcon pour créer des brise-vue bien denses et persistants. Cet arbuste peu exigeant s’adapte à toutes les expositions, tous les climats et à tous les sols du moment qu’ils soient bien drainés. Sa culture est sans difficulté.
Il existe un cotonoeaster pour chaque utilisation, découvrez notre collection de cotonesters dont certains peu courants.
Le genre Cotoneaster est composé d’environ 200 espèces réparties entre les espèces arbustives et les espèces couvre-sols, le plus souvent à feuillage persistant (Cotoneaster lacteus et Cotoneaster franchetii), caduc pour quelques espèces (Cotoneaster horizontalis) ou semi-persistant (Cotoneaster suecicus). Seules quelques espèces sont couramment cultivées dans nos jardins. On trouve aussi chez les pépiniéristes les plus passionnés, des cotonéasters plus rares comme le petit et prostré cotoneaster adpressus ou le Cotoneaster lucidus.
Tous appartiennent à la famille des Rosacées et sont originaires des zones boisées ou rocheuses du Nord de l’Europe, d’Asie et du nord de l’Afrique.
Le Cotoneaster est un arbuste dressé ou totalement prostré, selon les espèces. Erigé et étalé, aux rameaux arqués pour Cotoneaster franchetii, plus buissonnant et horizontal avec des branches disposées en arrêtes de poissons pour Cotoneaster horizontalis, trapu et rampant pour Cotoneaster microphylla ou encore entièrement prostré chez Cotoneaster dammeri. Les rameaux sont plus ou moins ramifiés selon les espèces et variétés. Le branchage du Cotoneaster apiculatus, dégage une délicieuse odeur de cerise une fois coupé.
Sa croissance est moyenne à rapide même en sol difficile et sa hauteur varie de 15 cm et 4 m selon qu’il soit rampant, de taille moyenne ou de grande taille (2 à 5 m en tous sens). La taille et le port détermineront son utilisation.
Les formes les plus petites comme Cotoneaster horizontalis ou microphylla, sont très prisées des amateurs de bonsaïs.
Tous présentent une belle envergure avec une considérable emprise au sol, pouvant aller jusqu’à 4-5 m voir davantage car certaines espèces rampantes ont tendance à se marcotter naturellement, colonisant volontiers les talus ou les zones difficiles d’accès. Certains se sont naturalisés dans de nombreux pays comme l’Australie et en Californie où ils sont désormais considérés comme invasifs.
Le Cotoneaster forme de belles touffes buissonnantes bien denses intéressantes pour leur feuillage persistant à semi-persistant selon le climat ou caduc. Les feuilles épaisses et coriaces de 0,5 mm à 12 cm de longueur, alternes, entières, ovales ou elliptiques, sont vert moyen à foncé brillant ou mat dessus et souvent vert grisé et couvertes d’un feutrage dessous. Cotoneaster adpressus porte des feuilles ondulées. Certaines variétés comme Cotoneaster horizontalis Variegatus présentent un feuillage vert panaché de crème.
Vert clair au débourrement, elles foncent avec le temps et virent pour certaines au jaune, au rouge pourpré foncé ou au rouge orangé en automne, avant de tomber. Les formes caduques exhibent un feuillage plus coloré à l’automne.
Sur cette végétation dense apparaît la floraison, à la fin du printemps, de mai à juillet selon le climat. L’arbuste se poudre de nombreuses petites fleurs simples à 5 pétales, le plus souvent de blanches ou parfois roses, solitaires ou réunies en petits bouquets. Elles sont odorantes et très mellifères et attirent les butineurs. On apprécie l’utilité de cet arbuste pour la petite faune du jardin.
En septembre-octobre, cette floraison laisse place à une fructification des plus décoratives qui renforce le charme de cet arbuste. Des grappes de petits fruits charnus ronds ou ovoïdes de 1 à 10 mm de long, rouges, vermillon, orangés ou noirs pourpre foncé chez Cotoneaster lucidus constellent le feuillage. « Coral Beauty » porte des baies orange corail vif, Cotoneaster franchetii, des baies saumon, certains cultivars moins répandus, des drupes jaunes.
Cette profusion de fruits luisants persiste parfois une bonne partie de l’hiver sur les rameaux, faisant le régal des oiseaux et apportant de la couleur au jardin à la saison froide.
Ils ne sont pas comestibles et sont toxiques consommés en grande quantité.
Le Cotoneaster est un arbuste vraiment très accommodant qui s’adapte à toutes les expositions, tous les climats et à tous les sols.
C’est une plante robuste et rustique jusqu’à -25 °C qui peut être cultivée dans toutes les régions. Il résiste aux hivers très rudes et aux sécheresses ponctuelles une fois bien établi. Il prospèrera au soleil ou à mi-ombre en tout sol modérément fertile, bien drainé, même pierreux.
Le Cotoneaster est un arbuste incontournable dans un jardin, sans jardinier ou d’esprit naturaliste. Il est parfait dans une haie mixte, bocagère, champêtre ou taillée. Les espèces persistantes et érigées permettent de constituer rapidement un écran de verdure pour masquer un vis-à-vis gênant. Le cotoneaster rampant constitue un excellent couvre-sol.
Il peut également être palissé contre un mur ou encore conduit en bonsaï. Certaines petites formes peuvent être cultivées en bacs sur une terrasse et offriront une cascade de verdure.
On compte près de 200 espèces de Cotoneasters réparties entre les espèces arbustives et les espèces couvre-sols. Le choix est vaste pour tous les jardins ! Tous sont peu exigeants, rustiques et faciles à cultiver, produisant une profusion de fleurs, de baies décoratives colorées ou de feuillages flamboyants à l’automne.
Seules quelques espèces sont très couramment cultivées dans nos jardins : les Cotoneaster franchetii, Cotoneaster dammeri, Cotoneaster horizontalis et Cotoneaster lacteus, qui se déclinent en cultivars et hybrides intéressants qui se distingueront par leur hauteur à maturité, leur port et leur feuillage caduc ou persistant.
En fonction des espèces, leur port est très variable de dressé à légèrement retombant ou à entièrement prostré. Leur hauteur peut varier de quelques dizaines de centimètres à 4-5 m.
On choisira plutôt Cotoneaster franchetii et Cotoneaster lacteus pour former une haie de 2 à 3 m de haut, Cotoneaster horizontalis est une espèce rampante géante idéale pour une haie basse le long d’un mur, Cotoneaster dammeri constituera un excellent couvre-sol.
A côté de ces espèces courantes, nous proposons une gamme de cotoneasters plus rares, dont il serait dommage de se passer tels que le Cotoneaster adpressus, une petite espèce caduque au port prostré qui forme un couvre-sol remarquablement dense, Cotoneaster lucidus, qui permet de créer rapidement une haie fournie qui prendra de belles teintes jaunes à rouge-pourpre en automne.
Le Cotoneaster est un arbuste peu contraignant qui accepte de pousser dans presque n’importe quelles conditions et qui se contente de peu. Rustique jusqu’à -25 °C, il peut être cultivé dans toutes les régions, même celles aux hivers très rudes. Il tolère également très bien les sécheresses ponctuelles une fois bien installé. Seules, les grandes espèces persistantes demandent à être protégées des vents froids et desséchants dans les régions où les températures peuvent rester longtemps inférieures à -10°C.
Bien qu’il supporte une ombre tamisée et poussera bien même dans un recoin ombragé du jardin, pour une floraison et une fructification optimales, plantez le Cotoneaster en situation de préférence ensoleillée. Il pousse dans tout type de sol, même calcaire ou rocailleux. Il demande juste un sol bien drainé car il redoute les terres argileuses et gorgées d’eau en hiver.
Le cotoneaster se prête à toutes les utilisations, sa taille et son port déterminent son usage. Il convient à tous les styles de jardins.
Dans un jardin tout neuf, il permet de constituer rapidement un écran ou un coussin de verdure.
Persistants ou caducs, les cotonéasters rampants (Cotoneaster microphylla, Cotoneaster dammeri) et de taille moyenne constituent d’excellents couvre-sol et pourront végétaliser les talus, les zones difficiles. Leur aptitude à se marcotter naturellement en font une excellente solution pour stabiliser les talus. Ils seront parfaits aussi au pied d’une grande haie ou dans une rocaille. Leur végétation très dense limite l’apparition des mauvaises herbes.
Les formes dressées, de grande taille (Cotoneaster lacteus, cotonéaster franchetii) conviendront pour les haies libres ou taillées. Ces cotoneasters sont parfaits pour la création d’une haie persistante, éclairer un coin un peu ombragé du jardin ou encore pour former rapidement un écran visuel avec le voisinage.
Certains avec leur port retombant feront de très beaux arbustes isolés mené en arbre-tige ; Il faudra alors leur prévoir un emplacement suffisamment grand. Avec ses branches souples, le Cotoneaster horizontalis peut se palisser facilement contre un mur.
Les formes naines (Cotoneaster procumbens ‘Queen of Carpets’) trouveront leur place en pot sur une terrasse pour délimiter des espaces, par exemple ou pourront être traitées en bonsaïs.. On peut les associer à des conifères nains ou d’autres petits arbustes comme le genévrier rampant, à l’Euonymus ou encore le Forsythia.
Le cotoneaster se plante de préférence en automne de septembre à novembre pour favoriser l’enracinement. Une plantation au printemps en mars-avril, est possible pour tous les sujets achetés en conteneur. Dans tous les cas, plantez après les fortes gelées.
Le Cotoneaster n’est pas très exigeant, c’est pourquoi sa plantation est elle aussi très simple. Il lui faut un bon drainage, ses racines n’aiment pas l’humidité stagnante, d’une bonne vingtaine de centimètres au fond du trou de plantation.
En pleine terre
Densité de plantation
Un seul pied peut suffire à créer un bel effet, surtout pour les plus hautes variétés et s’il est mêlé à d’autres arbustes, cependant, les cotonéasters s’avèrent spectaculaires plantés par groupes de 3 de la même variété.
En haie, respectez un espace de 80 cm à 1 m environ entre chaque pied.
Les variétés plus basses et stolonifères sont parfaites pour garnir un talus où elles vont se propager au fil des années. Pour un talus bien étoffé tout l’hiver, privilégiez les espèces persistantes et une plantation en groupe (comptez 3 à 5 pieds au m2).
En pot
La plantation en pot est classique, dans un contenant d’une trentaine de litres rempli d’un mélange de terreau, de terre de jardin et de sable de rivière, avec une bonne couche de billes d’argile pour un drainage parfait. Arrosez régulièrement, sans excès.
Le cotoneaster est un arbuste facile qui n’exige pas d’entretien particulier.
Il n’a besoin d’eau qu’en cas de forte chaleur et surtout par temps sec durant l’année qui suit la plantation pour favoriser un bon enracinement. Une fois bien enraciné, il se montre résistant à la sécheresse. Quelques arrosages estivaux suffiront même en cas de sécheresse durable. Le cotonéaster en pot a des besoins en eau accrus : arrosez dès que la terre est sèche en surface.
La plupart des cotoneasters ne demandent pas une taille régulière mais gagnent à être rabattus de temps à autre. Ils ne craignent pas la taille et peuvent même être taillés sévèrement au début du printemps si besoin.
Ils se contentent d’une taille d’équilibre garder un port compact, une floraison et une fructification généreuses, un feuillage dense et provoque de nouveaux départs sur le tronc s’il est dégarni. On peut facilement les conduire en petits arbres-tige en taillant les branches basses. Certaines espèces rampantes ont une tendance naturelle à se marcotter et à coloniser sans limite n’importe quel espace. Mieux vaut par conséquent surveiller leur étalement.
Taillez légèrement les haies de cotonéaster, en fin d’été, en rabattant les tiges au plus près des fruits sans supprimer ceux-ci.
Les rameaux des sujets palissés sont taillés, chaque année après floraison ou en fin d’hiver à 4 yeux maximum du départ des rameaux.
→ Lire aussi le tutoriel d’Ingrid : Comment palisser un Cotoneaster ?
Le cotonéaster est un arbuste coriace, assez résistant aux maladies. Cependant comme toutes les plantes de la famille des rosacées, son principal ennemi est le feu bactérien, qui dessèche l’arbuste en quelques semaines et contre lequel il n’y a pas de remède. En cas d’attaque, il faudra éviter la propagation de la bactérie en éliminant les parties atteintes et en brûlant sa souche. La pourridié est également un risque de maladie notamment dans les sols très humides.
Il peut aussi subir au printemps et en été, quelques attaques de pucerons et de cochenilles, que vous éliminerez en effectuant quelques pulvérisations d’eau savonneuse. Plus rarement, il peut être attaqué par des chenilles défoliatrices, contre lesquelles il est plus difficile de lutter.
→ En savoir plus sur les maladies et parasites du Cotoneaster dans notre fiche conseil.
Le cotonéaster se multiplie facilement par bouturage, marcottage ou semis, la première méthode étant la plus rapide et la plus simple.
Les boutures semi-ligneuses se pratiquent en septembre chez les cotoneasters persistants (profitez de la période de taille). En mai-juin, par prélèvement de boutures herbacées chez les espèces à feuillage caduc.
→ En savoir plus sur la multiplication du Cotonéaster dans notre tutoriel !
Excellent arbuste à feuillage persistant ou caduc, le Cotonéaster forme de magnifiques haies champêtres, taillées ou brise-vue et des couvre-sol efficaces qui demandent peu d’entretien et rythment les saisons par leurs couleurs changeantes. Les fleurs de début d’été blanc rosâtre, les fruits colorés et luisants en automne et en hiver, les belles teintes que prend le feuillage à l’automne rendent le Cotonéaster indispensable dans tous les jardins. Polyvalent, cet arbuste s’adapte à toutes les utilisations dans un jardin naturaliste ou sauvage et s’associe facilement à des vivaces ou à d’autres arbustes caducs ou persistants, qui feront ressortir les coloris des feuilles.
Dans une situation ensoleillée, il sera facile de l’associer avec des Deutzia, des seringats, des rosiers botaniques, des corètes du Japon, des spirées, des potentilles et des plantes vivaces comme les ancolies, les géraniums ou les digitales. Entremêler son feuillage avec une plante grimpante comme une clématite ou un chèvrefeuille nain l’égaieront en été.
Il se détachera bien sur une toile de fond de plantes aux formes contrastantes comme les érables du Japon, les fusains, des Nandina, des houx à baies, des berbéris. Les bambous et les miscanthus formeront un bel arrière-plan persistant pour les fruits aux coloris vif du Cotoneaster tandis qu’un Cornus alba ‘Baton Rouge’ fera écho au coloris de ses baies si graphiques sur les rameaux nus. Il fait merveille dans une haie libre, associé à des viornes, des lilas ou des amélanchiers par exemple.
A l’automne, les rameaux du Cotoneaster chargés de fruits et les feuilles ambrées d’un Aronia offriront un mariage flamboyant.
Dans une grande haie persistante, planté en masse le long d’une allée, il s’associe à quantité d’autres arbustes aussi faciles à vivre, comme le laurier-tin, Pyracantha, arbousiers, laurier-sauce, viornes, Elaeagnus ebbingei et des Photinia.
Le Cotoneaster horizontalis ‘Variegatus’ pourra être marié à des arbustes à feuillages panachés comme celui des Aucubas, du Cornus alternifolia ‘Argentea’ et du Rhamnus alaternus Argenteovariegata.
En couvre-sol, sous de grands arbres caducs, il laissera des points de verdure persistants durant tout l’hiver lorsque les arbres n’auront plus de feuilles. Dans talus, le Cotonéaster rampant, peut être associé à des cornus rampants, au genévrier rampant ‘Blue Star’, au fusain ‘Emerald Gaiety’, au Berberis thunbergii Atropurpurea ‘Nana’ et au Forsythia intermedia Marée d’or’, un Céanothe Thyrsiflorus Repens.
On peut aussi le cultiver dans de grands bacs sur une terrasse ou un grand balcon associé à des conifères nains ou d’autres petits arbustes pour créer des brise-vue persistants.
Michel Brossard, le 29 Mars 2020
Bonjour
Mon cotonaester franchetii a 3 ans et il ne fait bas de boules rouges, Pourquoi?
Merci de votre réponse
Réponse de Virginie, le 25 Avril 2020
Bonjour,
Il s'agit peut-être d'un problème d'exposition. Pour une floraison et donc une fructification optimales, le Cotoneaster doit être planté en situation de préférence ensoleillée. En situation trop ombragée, il fleurit peu et ne produit pas de fruits.
Cordialement,
Virginie
christophe, le 2 Mai 2020
j 'ai donc planter 16 cotoneasters lacteus en mars et ils ne grandissent pas rapidement.
est ce normal.merci.
Réponse de Virginie D., le 16 Juin 2020
Bonjour,
Vous les avez plantés récemment, laissez-leur le temps de s'installer.
Cordialement Virginie