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L’Eléagnus, également appelé chalef, est un arbuste tout terrain, très apprécié pour former des haies taillées ou brise-vent. Il précieux pour son lumineux feuillage vert, argenté ou panaché, caduc ou persistant selon les espèces, et sa floraison discrète mais délicieusement parfumée suivie de baies comestibles.
Si le plus connu est l’Elaeagnus ebbingei ou Chalef de Ebbing dont sont issus de nombreux cultivars vert panaché de jaune (Elaeagnus ‘Limelight’, ‘Gilt Edge’ ‘elaeagnus x ebbingei ‘viveleg’) qui conservent leur feuillage en hiver, il existe d’autres variétés, notamment à feuillage argenté, toutes aussi intéressantes comme l’Elaeagnus angustifolia ou « l’Olivier de bohème » et Elaeagnus pungens Maculata.
Sa nature polyvalente et sa résistance à la pollution, le rendent incontournable dans tous les jardins, ceux des bords de mer comme les jardins des villes. Son adaptabilité hors du commun, sa croissance rapide et sa silhouette dense permettent de nombreuses utilisations, de la haie la plus classique au plus surprenant topiaire. Facile de culture et conciliant, l’Elaeagnus s’accommode de tout sol bien drainé, sableux, même secs et pauvres, sans calcaire, au soleil ou à mi-ombre. Il compte parmi les arbustes les plus résistants à la sécheresse et aux vents forts comme aux embruns.
Découvrez nos Elaeagnus ou chalef, résistants et rustiques, ils apporteront une vraie source de lumière à votre jardin.
L’Elaeagnus ou chalef est un petit arbre ou arbuste caduc ou persistant, parfois épineux, appartenant à la famille des Élaeagnacées. Le genre compte 45 espèces poussant spontanément le long des cours d’eau mais aussi sur les coteaux herbeux et dans les prairies sèches d’Asie, du sud de l’Europe et d’Amérique du Nord.
Parmi les plus couramment cultivées, on trouve ; l’Elaeagnus angustifolia appelé aussi « Olivier de bohème » dont le feuillage rappelle celui de l’olivier, l’Elaeagnus commutata, un grand et bel arbuste rare, au feuillage caduc gris-argent, l’Elaeagnus umbellata et multiflora (goumi), Elaeagnus pungens et le très répandu Elaeagnus ebbingei, un hybride persistant entre Elaeagnus macrophylla et pungens, et ses nombreux cultivars.
L’arbuste met environ un an à s’établir, puis montre une croissance moyenne à très rapide. La souche de certaines espèce s’étend par la production de drageons qui lui permettent ensuite, de s’étoffer en quelques années seulement. Il forme une touffe bien dense et ramifiée, à petit tronc, pouvant mesurer de 1 à 10 m de hauteur au maximum pour presqu’autant d’envergure.
L’Elaeagnus présente un port ample variable, dressé, arrondi ou légèrement retombant. Certains comme Elaeagnus angustifolia offrent un port pleureur avec des branches qui s’arquent légèrement avec le temps. Elaeagnus x reflexa, rarement cultivé, a la particularité d’être une liane persistante semi-grimpante munie d’ergots qui lui permettent de s’accrocher dans les arbres et rendent les haies impénétrables.
Le feuillage lumineux et toujours en mouvement est le principal attrait de l’Elaeagnus. La végétation caduque ou persistante est portée par des rameaux et des branches souvent légèrement épineux ou munis de fortes épines acérées décoratives en hiver. L’arbuste a la particularité d’être recouvert d’écailles argentées, ce qui lui confère un aspect brillant.
Dès le printemps, il révèle ses jeunes pousses, ses rameaux et ses pétioles recouverts, surtout sur le revers, d’écailles argentées ou brun bronzé caractéristiques. Cette ramure particulièrement décorative porte des feuilles coriaces, entières, alternes, longues de 2 à 10 cm, elliptiques à lancéolées, lustrées, mat ou duveteuses, souvent ondulées sur le bord. Le limbe est constellé de petits points stellaires et translucides à reflets métalliques sur le dessus, sorte de poussière d’étoiles. Au revers, elles sont elles aussi couvertes de nombreuses écailles brunes ou argentées.
Les feuilles prennent, selon les variétés, toutes les nuances de vert, de jaune ou de gris dont l’intensité varie au fil des saisons. Vert olive, très argentées au printemps, vert-grisâtre en été, évoquant celles d’un saule ou d’un olivier chez Elaeagnus angustifolia, vert amande à grisé, gris-argenté chez Elaeagnus commutata Zempin, ou encore vert foncé à reflets gris, les feuilles au revers plus clair, sont remarquablement panachées chez certaines espèces, vert taché de jaune foncé au centre pour Elaeagnus pungens Maculata. Toutes scintilleront joliment au moindre rayon de soleil.
Les cultivars de l’Elaeagnus ebbingei tels que ‘Limelight’, ‘Gilt Edge’ ou ‘Eleador’ se distinguent par leur luminosité et exhibent un joli feuillage brillant panaché de jaune d’or et de vert, d’autant plus remarquable, qu’il persiste durant les mois gris de l’hiver.
A condition de ne pas tailler sévèrement chaque année, cet arbuste fleurissant sur les pousses de l’année, vous aurez la chance de profiter de sa floraison discrète mais délicieusement parfumée. Selon les espèces et variétés, elle est printanière chez Elaeagnus angustifolia, estivale chez Elaeagnus commutata ‘Zempin’ ou automnale chez tous les éléagnus de Ebbing. Les boutons floraux sont, comme tout le reste de la plante, recouverts d’écailles aux reflets métalliques.
De mai à novembre, de petites fleurs blanc argenté ou blanc jaunâtre apparaissent, discrètement groupées en bouquets de 3 ou 4 à l’aisselle des feuilles. Ces innombrables petites corolles tubulaires parfois pendantes, terminées par 4 pétales étalés, mesurent de 1 à 10 cm de long.
Assez insignifiantes dissimulées sous le feuillage, elles exhalent cependant un exquis parfum, parfois très puissant, de jasmin, de fraise ou de miel perceptible à plusieurs mètres. Très mellifères et nectarifères, elles sont très visitées par les papillons et autres pollinisateurs.
Elles cèdent la place en automne, à de petits fruits écailleux eux aussi, de 1 à 3 cm de long, évoquant des petites olives jaunes, brun-orangé puis rouge à pruine argentée à maturité, très appréciées des oiseaux. Toutes les baies des différentes espèces d’Elaeagnus sont comestibles cueillies à maturité même si celles de l’Elaeagnus multiflora, communément appelé goumi, sont plus particulièrement savoureuses, acidulées et sucrées. Meilleures consommées cuites en confitures ou dans les pâtisseries, ces baies sont plutôt sèches et farineuses, mais très riches en vitamines et minéraux.
L’Elaeagnus est d’une adaptabilité hors du commun, peu contraignant et très facile à cultiver. Il résiste à presque tout : la sécheresse, la pollution, les embruns marins comme les vents forts. Il pousse partout en France, en raison de sa belle rusticité, de l’ordre de -15°C- 20 °C. Il apprécie indifféremment les expositions ensoleillées ou semi-ombragées (en climat chaud).
Il accepte tout type de sol bien drainé. Il tolère même les sols pauvres et ingrats. Il craint en revanche les sols lourds, calcaires et l’humidité stagnante, surtout en hiver.
L’Elaeagnus a sa place dans tous les jardins, en bord de mer ou en jardin sec. Sa taille modérée et sa silhouette dense permettent de nombreuses utilisations ; dans une haie mixte, taillée ou fleurie, en haie fruitière comme en brise-vent, on peut également le cultiver en isolé et en massif. Et même taillé en topiaire !
Elaeagnus signifie « olivier sacré » en grec ancien. Le terme vernaculaire « chalef » signifie « saule » en arabe, sans doute parce que les feuilles de certains Elaeagnus ressemblent à celles des saules avec lequel on pensait qu’ils étaient apparentés.
Lire aussi
Comment bien choisir son Eleagnus ?Il existe une cinquantaine d’espèces d’Elaeagnus à travers le monde mais seulement quelques-unes proposées à la vente en France que l’on pourrait diviser entre les Elaeagnus persistants comme le l’Elaeagnus ebbingei qui se décline en une dizaine de cultivars dont le célèbre ‘Limelight’, les caducs tels que l’Elaeagnus angustifolia.
Les Elaeagnus se distinguent aussi par leur taille allant des arbustes de haie ou de massif ne dépassant pas 3 m de hauteur aux petits arbres (10 m de haut au maximum).
Vous pouvez faire le choix de variétés à feuillage panaché (‘Gilt Edge’, ‘Limelight’, Maculata), parfaites pour illuminer les zones un peu ternes du jardin, d’autant qu’elles conservent leur feuillage en hiver ou celui d’un arbuste vêtu d’un feuillage argenté (angustifolia ou commutata) qui joue admirablement avec le vent et la lumière.
Tous sont rustiques, très adaptables, de croissance rapide et s’utilisent en haie, notamment Elaeagnus ebbengei et ses hybrides qui sont très populaires mais également en bord de mer, en isolé, en topiaire…
Ll’Elaeagnus s’installe un peu partout en France, les variétés caduques, dotées d’une bonne résistance aux froids sont capables d’endurer des gelées de l’ordre de -20C°. Certains espèces persistantes comme l’Elaeagnus ebbingei offrent une moins grande rusticité. Bien que capables de résister à de courtes gelées de l’ordre de -12°C, en sol parfaitement drainé, on les adoptera plutôt en climat doux. Les Elaeagnus persistants tolèrent parfaitement la sécheresse estivale une fois bien établis, les caducs sont plus résistants au froid, un peu moins à la sécheresse.
Son système racinaire drageonnant lui permet de fixer les sols et de résister aux vents violents. Il tolère bien les embruns, on le trouve fréquemment dans les jardins des bords de mer. C’est un arbuste peu encombrant qui convient bien aux petits jardins ou aux jardins de ville, d’autant qu’il résiste bien à la pollution.
Ll’Elaeagnus se plante indifféremment au soleil ou à mi-ombre, à l’abri du soleil direct en climat chaud où son feuillage (surtout pour les variétés panachées) pourra être brûlé par une exposition trop chaude. Sa résistance à la sécheresse permet une culture dans des sols ingrats, même caillouteux et pauvres, d’autant qu’il est capable d’enrichir la terre alentour, grâce à la présence de bactéries dans ses racines.
Indifférent quant à la nature du sol, il pousse donc dans toute bonne terre de jardin bien drainée : il craint seulement les sols lourds, compacts et gorgés d’eau, surtout en hiver et le calcaire. Un sol constamment humide peut le tuer de façon quasi certaine ! Exception faite de l’Elaeagnus commutata Zempin, une sélection horticole qui supporte tout : le calcaire, les sols sableux, secs ou humides !
De croissance rapide l’Elaeagnus, sera donc parfait pour former une haie rapidement. Décoratifs toute l’année,les variétés persistantes sont un excellent choix dans une haie libre ou taillée composée d’une ou plusieurs espèces. Avec ses épines acérées, il constitue également de belles haies défensives.
Les cultivars à feuillage panaché jaune et vert clair, comme ‘Gilt edge’ ou ‘Limelight’, conviendront mieux à la plantation en isolé au cœur d’un massif. La taille modeste de certaines variétés permet une culture en pot sur une terrasse ou un balcon pour profiter pleinement de leur parfum remarquable.
Plantez l’Eléagnus indifféremment au printemps en mars ou à l’automne en septembre, ce qui favorise l’enracinement avant l’hiver. Il peut toutefois être planté de février à mai, en évitant les périodes de gel ou de fortes chaleurs.
1) En pleine terre
En haie : espacez les plants de 0,80 à 1 m et plantez dans un sol léger, et drainant sans excès de calcaire.
2) Culture en pot
La culture en pot est possible, dans un contenant suffisamment profond d’au moins 30 cm de haut et 40 de diamètre. Il faut choisir des variétés à feuillage persistant et des formes très compactes comme Elaeagnus ebbingei Compacta, l’Elaeagnus ebbingei ‘Maryline abrela’. Plantez-le dans un mélange terreux riche, très drainant, car il ne supporte pas l’humidité stagnante. Faites un bon lit de billes d’argiles. Arrosez régulièrement. Rempotez tous les 3 ans.
→ En savoir plus dans notre fiche conseil : Cultiver un Eleagnus en pot
Lire aussi
Eleagnus : quand et comment le taillerUne fois bien installé, l’Elaeagnus ne requiert que peu de soins, c’est un arbuste résistant au froid comme aux fortes chaleurs. Il va s’endurcir au fil des années.
De mars à octobre, lors de la période de luxuriance végétative, arrosez davantage mais avec parcimonie : il ne supporte pas que l’eau stagne à son pied. Une fois bien établi, il se passera totalement d’arrosage, même en climat chaud. Les premières années, installez un paillis de feuilles mortes ou de fougères pour protéger le pied des fortes gelées.
Sur tous les Elaeagnus panachés, toute tige reverdissant doit être supprimée. Coupez les pousses vertes et les drageons verts (phénomène parfois constaté sur les variétés à feuillage panaché), sinon ils finiront par dominer.
Une taille régulière est conseillée. L’Elaeagnus pousse très vite et s’il présente l’avantage de former des haies rapidement, il faut le tailler souvent, au minimum deux fois par an pour qu’il conserve un port bien touffu, une belle allure et surtout la hauteur souhaitée. Il se taille facilement selon la forme et la hauteur que vous souhaitez lui donner, en haie taillée ou en topiaire. Lorsqu’il n’est pas taillé, l’Elaeagnus ebbingei se montre sarmenteux et a tendance à grimper s’il rencontre un support.
L’Elaeagnus ne craint pas la taille et peut même être rabattu sévèrement si besoin, mais vous vous priverez alors de sa floraison odorante. Intervenez en fin d’hiver pour ne pas compromettre la floraison.
Installé dans les conditions de culture adéquates, l’éléagnus est un arbuste coriace résistant aux ravageurs. Il ne connait que peu d’ennemis. En sol détrempé et mal drainé, il sera menacé par les maladies causées par des champignons dévastateurs comme la maladie du corail, reconnaissable à ses petites pustules orangés (comment l’éviter ?), qui entraînent un dépérissement, voire une défoliation totale de l’arbuste.
En sol trop calcaire ou trop humide, il peut souffrir de chlorose qui se manifeste par un jaunissement progressif des feuilles et à terme par le dépérissement de l’arbuste.
Une terre bien drainée et amendée régulièrement avec un apport de compost ou de tourbe permettra d’éviter ces attaques. Certaines branches peuvent sécher entièrement de façon subite, ce qui dénote un manque d’eau. Supprimer les branches sèches et arrosez sans excès toutefois.
Les psylles, un genre de pucerons suceurs peuvent éventuellement infester l’arbuste et l’affaiblir : jaunissement des feuilles, jeunes pousses engluées et déformées, présence de filaments cireux sont des signes indiquant leur présence. Faites des pulvérisations de savon noir dilué à 5%, comme pour les pucerons. Ils pourront être éradiqués également par des prédateurs naturels comme les coccinelles ou les syrphes.
→ En savoir plus sur les maladies et parasites de l’Eleagnus dans notre fiche conseil.
L’Elaeagnus peut être multiplié par semis, par séparation des drageons et par boutures. La manière la plus simple consiste à prélever des boutures semi-ligneuses en été. Les semis sont assez fastidieux et longs, la fructification n’intervient que 4 à 5 ans après le semis.
Bouture semi-ligneuse
Par séparation des drageons
Vous pouvez facilement multiplier l’Elaeagnus en divisant les rejets. En octobre, à l’aide d’une bêche, séparer les drageons enracinés que vous replanterez immédiatement en prenant soin de bien arroser.
Avec son feuillage lumineux qui joue admirablement avec le vent et la lumière, l’Elaeagnus ou Chalef réveille les zones un peu ternes du jardin. Sa très grande adaptabilité fait de lui une excellente plante de haie ou de massif. Son port buissonnant et l’éclat de ses feuilles panachées le rendent très décoratif.
Il est précieux dans un jardin de bord de mer ou un jardin sec. Très résistant à la pollution, il est parfait également pour les jardins citadins. Il se marie dans les haies à tout type d’arbustes comme les cotonéasters ou le Cistus laurifolius et en arrière-plan de massif pour les variétés les plus hautes, associées à des végétaux panachés et persistants, comme les cornouillers ou les aucubas.
Dans une haie mixte, il sera remarquable en compagnie d’autres très beaux arbustes comme l’Abelia x grandiflora, l’Arbutus unedo, les Amélanchiers, le Buddleia alternifolia Argentea. Pour accompagner la teinte lumineuse de son feuillage, associez-le dans un massif, à d’autres plantes colorées comme les lavandes, céanothe rampant, lavatères arbustives.
Les cultivars panachés de E. x ebbingei, à feuilles persistantes margées ou tâchées de jaune éclatant ou de vert contrastent avec des cultivars bleus de céanothe ou serviront de support de grimpante comme un Lonicera nitida ‘Lemon Beauty’.
Dans une haie libre et fleurie, ils seront remarquables aux côtés d’un Buddleia davidii ‘Masquerade’, dans une haie défensive avec un Pyracantha ‘Soleil d’or’.
Pour un bel effet, variez les espèces d’Eléagnus entre elles dans une haie en mélangeant à l’envie, persistants et caducs, et en choisissant pour les accompagner, des arbustes qui fleurissent à différents moments comme les keria japonica ou Corète du Japon, lauriers tin, weigelias, cotinus, deutzias, seringats ou encore forsythias.
Si tous les Eléagnus se marient très bien entre eux, ils s’associent à la perfection aux Escallonia, Olearia, Tamaris et Griselinia, à l’Euonymus Alatus – Fusain Ailé, à l’Amelanchier Spicata. Dans une haie brise-vent, accompagnez-le du photinia.
Si les Eléagnus caducs sont magnifiques au printemps, après floraison, ils reprennent une allure plutôt anodine, pensez donc à bien les entourer. Le Buddleia ‘Silver Anniversary’ sera le compagnon idéal pour prendre le relais de l’Elaeagnus commutata Zempin dans une harmonie gris-argenté, rehaussée par des rosiers anciens, des arbustes à fleurs bleues ou encore, des potentilles à fleurs jaunes.
Pourquoi mon éleagnus jaunit-il ?
Le chalef est une plante réputée résistante même en situations difficiles. Il existe un grand nombre de causes possibles. Toutefois, si les feuilles jaunissent et tombent progressivement, il souffre sans doute de chlorose ferrique provoquée par un excès de calcaire, d’humidité ou une carence minérale dans le sol. Traitez avec du fer chélaté et apportez du compost par griffage au pied de l’arbuste. Il peut également être victime d’une infestation de psylles, ces insectes ravageurs responsables du jaunissement et du dépérissement des feuilles. L'utilisation d'insectes auxiliaires comme les coccinelles et des pulvérisations d’eau savonneuse devraient en venir à bout.
Les feuilles de mon éleagnus sèchent, est-ce grave ?
En cas de fortes chaleurs et de sécheresse prolongée et surtout chez les jeunes sujets, certaines branches peuvent sécher entièrement de façon subite, ce qui dénote probablement un manque d'eau. Supprimer les branches sèches et arrosez régulièrement sans excès toutefois, cet arbuste craint l’humidité stagnante à son pied. Il devrait reprendre !
Pourquoi des pousses vertes apparaissent-elles sur mon éléagnus panaché ?
Il s’agit d’un phénomène assez caractéristique des végétaux à feuillage panaché sujets au verdissement de leurs jeunes rameaux C’est ce qu’on appelle un « retour au type ». Les tiges panachées reverdissant doivent être supprimées dès qu’elles apparaissent, sous peine de voir votre arbuste panaché devenir tout vert ! Ce phénomène de réversion apparaît lorsque la plante est trop fertilisée en azote ou placée dans un emplacement trop ensoleillé ou au contraire trop ombragé.
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