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La giroflée (Erysimum en latin) offre une généreuse floraison printanière ou estivale qui se décline dans une belle palette de couleurs vives. La plus connue est la giroflée ravenelle, ou Erysimum cheiri, aux fleurs généralement jaunes, orangées ou rouges. On trouve aussi en culture la giroflée quarantaine, ou Matthiola incana, qui offre de grandes inflorescences aux tons souvent mauve, rose, violet ou blanc. Elle est parfois appelée Giroflée d’été. Les fleurs des giroflées sont des plantes extraordinairement florifères et parfumées !
C’est une plante facile de culture, qui apprécie le plein soleil et supporte des terrains pauvres, rocailleux… Elle est parfaite pour occuper les endroits du jardin où rien d’autre ne pousse ! Elle a surtout besoin d’un substrat drainant. La giroflée ravenelle, Erysimum cheiri, est idéale pour habiller les vieux murets en pierre. Très peu exigeante, et possédant une bonne rusticité, la giroflée est une plante plutôt facile. Elle nécessite peu d’entretien. Il est préférable de tailler la giroflée ravenelle après la floraison. Vous pouvez la multiplier par semis ou bouturage, bien qu’elle se ressème parfois d’elle-même. Enfin, les fleurs peuvent être utilisées pour réaliser de superbes bouquets !
Les giroflées sont des plantes vivaces, bisannuelles ou annuelles, à généreuse floraison printanière ou estivale. Le nom de Giroflée fait surtout référence à deux plantes : Erysimum cheiri et Matthiola incana, bien que les giroflées rassemblent au sens large englobent d’autres espèces proches. La plus répandue est la giroflée ravenelle, Erysimum cheiri, mais on trouve également souvent en culture la giroflée quarantaine, ou Matthiola incana. Ces deux plantes sont originaires d’Europe, et notamment de la région méditerranéenne. Mais elles se sont naturalisées ailleurs.
On peut trouver les giroflées à l’état sauvage en France. La giroflée ravenelle se rencontre sur de vieux murs en pierre, entre des rochers… La giroflée quarantaine pousse plutôt sur le littoral, sur des falaises, des rocailles ou des murets.
La giroflée ravenelle est une vivace à courte durée de vie, mais qui est souvent cultivée comme bisannuelle.
Les giroflées ont été nommées ainsi car leur parfum rappelle celui du clou de girofle. Elles ont également de nombreux synonymes et noms communs. Erysimum cheiri prend les noms de Giroflée ravenelle, Giroflée des murailles, violier jaune, bâton d’or… tandis que Matthiola incana est souvent appelée Giroflée quarantaine, Giroflée d’été, ou Giroflée des jardins… Elle doit son nom latin au médecin et botaniste italien Pietro Andrea Mattioli (1501 – 1577). Erysimum cheiri est parfois nommé Cheiranthus cheiri (synonymes).
Les Erysimum rassemblent plus de 200 espèces, tandis que les Matthiola en regroupent une cinquantaine. Le groupe des giroflées est donc très vaste, d’autant plus qu’il faut y rajouter les innombrables variétés horticoles obtenues par hybridation.
Ces plantes font partie de la famille des Brassicacées, des plantes parfois appelées Crucifères (ancien nom), en raison de leurs fleurs à quatre pétales disposés en croix. Cette famille est connue pour les nombreuses plantes potagères et utilitaires qu’elle rassemble : choux, radis, colza, moutarde, roquette… On y trouve aussi des plantes ornementales, comme les Iberis, les aubriètes ou les Alyssum…
Les giroflées sont des plantes au port dressé ; elles possèdent des tiges érigées qui portent des fleurs à leur sommet. Elles sont parfois semi-arbustives, et la base des tiges a tendance à devenir ligneuse (former du bois). Les giroflées mesurent entre 20 et 80 cm de hauteur. On trouve aussi de nombreuses variétés sélectionnées pour leur port compact (jusqu’à 40 cm de haut), comme celles de la série ‘Bedder’ chez les Erysimum cheiri, ou celles de la série ‘Midget’ chez les Matthiola incana. Ces giroflées naines sont particulièrement adaptées à une plantation en pot ou jardinière.
La giroflée ravenelle, Erysimum cheiri, fleurit tôt au printemps, entre mars et juin ; tandis qu’habituellement, Matthiola incana fleurit plutôt en été (bien que l’on trouve aussi quelques variétés précoces). Ainsi, la floraison des giroflées peut s’étaler de mars à septembre. Certaines variétés présentent l’avantage de fleurir dès la fin de l’hiver (Erysimum ‘Winter Joy’…). Il peut être intéressant d’associer différentes variétés pour profiter d’une longue période de floraison !
Les giroflées offrent une floraison très généreuse et abondante. Elles portent des inflorescences au sommet de leurs tiges dressées. Matthiola incana possède de grandes grappes de fleurs, plus ou moins allongées.
Les giroflées ont des fleurs assez typiques de la famille des Brassicacées. Elles mesurent entre 2 et 5 cm de diamètre, et sont constituées de quatre pétales libres disposés en croix. Ces pétales ont une forme assez large et plutôt arrondie. Ils sont entourés par quatre sépales, et au centre de la fleur, on trouve six étamines. Les fleurs de Matthiola incana sont parfois doubles.
Les fleurs de l’espèce botanique Erysimum cheiri (Giroflée ravenelle) sont jaune orangé. D’une manière générale, les variétés qui en sont issues prennent souvent des teintes chaudes : jaune, orange, bronze, rouge écarlate… tandis que la giroflée quarantaine se décline plutôt dans des tons mauve, lilas, rose, violet et blanc. À elles deux, elles couvrent une très large palette de couleurs ! On apprécie d’ailleurs les giroflées pour leurs floraisons vives et très lumineuses. Certaines variétés offrent une teinte qui évolue avec le temps ! Elles ont parfois de très belles nuances au sein d’une inflorescence, comme chez l’Erysimum ‘Winter Orchid’.
Si les fleurs de l’Erysimum cheiri ont un côté assez simple et naturel, et peuvent facilement s’intégrer dans un jardin de style champêtre, celles de Matthiola incana sont généralement plus complexes et sophistiquées, avec souvent des variétés à fleurs doubles, et aux fleurs regroupées en grosses grappes allongées. Elles s’intègreront plutôt dans un jardin romantique, jardin de cottage ou jardin à l’anglaise… dans un massif plus travaillé et sophistiqué.
La giroflée ravenelle est une bonne plante mellifère. Sa floraison printanière attire les insectes pollinisateurs.
Les giroflées ont l’avantage d’offrir des fleurs parfumées, et celles de Matthiola incana sont idéales pour composer des bouquets.
Les fleurs de la Giroflée du soir, Matthiola longipetala, ont la particularité de s’ouvrir en fin d’après-midi. Elles sont véritablement appréciées pour leur parfum, ce qui vaut à cette plante d’être parfois nommée « Giroflée odorante ».
Les feuilles de la giroflée sont assez ordinaires. Elles mesurent jusqu’à 20 cm de long, et ont une forme fine et allongée, lancéolée. Elles sont simples, avec un bord généralement entier, mais parfois denté. Elles sont disposées de façon alterne sur les tiges.
Les feuilles des giroflées sont souvent vertes, parfois un peu bleutées, mais peuvent aussi prendre de belles teintes grises ou blanchâtres (notamment chez Matthiola incana). On trouve des variétés à feuilles panachées, comme Erysimum linifolium ‘Variegatum’. Le feuillage de Matthiola incana est velu ; il porte des poils blancs. Chez d’autres espèces, comme Matthiola sinuata, le feuillage est vraiment laineux.
La giroflée a un système racinaire pivotant et relativement fragile, ce qui rend délicat son repiquage ou sa transplantation.
Après la floraison, la giroflée produit des siliques (fruits caractéristiques des Brassicacées), renfermant les graines. Ces siliques sont allongées et étroites, ressemblant un peu à de petites gousses de haricots.
Installez vos giroflées de préférence en plein soleil ! Elles tolèrent néanmoins les situations mi-ombragées, mais leur floraison a tendance à être plus généreuse lorsqu’elles sont au soleil.
Dans tous les cas, les giroflées ont besoin d’un substrat drainant, car l’excès d’humidité risquerait de favoriser l’apparition de maladies cryptogamiques. Elles supportent bien les terrains caillouteux, rocailleux. Si votre sol est lourd, et a tendance à retenir l’eau, il est préférable d’apporter des graviers ou du sable grossier afin d’améliorer le drainage. Vous pouvez aussi planter sur une butte ou un massif surélevé car cela facilitera l’écoulement de l’eau.
Les giroflées supportent très bien les terrains calcaires. Les Matthiola incana sont particulièrement adaptées aux jardins de bord de mer, et tolèrent les embruns.
Les giroflées ravenelles, Erysimum cheiri, se contentent très bien d’un sol pauvre et relativement sec, tandis que les giroflées quarantaine, Matthiola incana, préfèrent les substrats un peu plus riches et frais. Les premières sont des plantes frugales : elles peuvent pousser dans très peu de sol, elles arrivent à s’épanouir en s’installant par exemple simplement dans une fissure entre des pierres… Matthiola incana appréciera un sol un peu plus profond.
Les giroflées peuvent trouver leur place dans un massif, dans une rocaille, un jardin sec, méditerranéen, au pied d’un muret en pierre… voire dans un grand pot ou bac, pour les variétés les plus compactes. Elles sont également parfaites pour habiller les endroits du jardin les plus difficiles à cultiver. Elles ont la capacité de s’installer là où rien d’autre ne pousse !
Comme elles exhalent un agréable parfum, il est intéressant de les placer près d’un lieu fréquenté, le long d’un chemin, ou à proximité immédiate de la maison.
Parce qu’elle possède un système racinaire fragile, la giroflée n’aime pas être repiquée ou transplantée… Nous vous conseillons de bien choisir son emplacement pour éviter de la déranger par la suite !
Les variétés les plus hautes peuvent être installées au milieu ou dans le fond des massifs, tandis que les plus basses peuvent permettre de border un massif, à l’avant de celui-ci.
La giroflée ravenelle, Erysimum cheiri, peut être plantée en automne ou au printemps, tandis que la plantation de Matthiola incana s’effectue de préférence au printemps. Les giroflées peuvent aussi être semées directement en place au printemps, vers le mois de mai.
Respectez une distance de plantation d’environ 30 cm.
Pour la giroflée ravenelle, nous vous suggérons de pincer la tige lors de la plantation, afin d’encourager la plante à se ramifier.
Bien que la giroflée supporte assez bien la sécheresse, il est préférable de continuer à arroser dans les semaines qui suivent la plantation, le temps qu’elle s’installe et développe son système racinaire.
Vous pouvez planter les giroflées en pot, mais utilisez pour cela un substrat bien drainant (un mélange de terreau et sable grossier, par exemple).
La giroflée peut être semée directement en place au printemps. Les racines des giroflées étant fragiles, cette opération a l’avantage d’éviter un repiquage, qui risquerait d’abîmer leur système racinaire.
Continuez à arroser dans les semaines qui suivent le semis. Vous pourrez ensuite éclaircir, pour conserver un plant tous les 30 cm, en ne sélectionnant que les jeunes plantules les plus robustes.
Vous pouvez aussi semer les graines en pépinière au printemps, pour les installer repiquer ensuite en pleine terre.
Les giroflées n’ont pas vraiment besoin d’entretien. Elles ne nécessitent en général aucun arrosage, ni apport d’engrais. Cependant, si vous cultivez Matthiola incana, la giroflée quarantaine, vous pouvez effectuer quelques arrosages en cas de sécheresse prolongée, car elle a une préférence pour les sols plutôt frais.
Dans tous les cas, il est conseillé d’installer un paillage au pied des giroflées, afin de maintenir la fraîcheur du sol et d’empêcher les mauvaises herbes de pousser. Dans un massif classique, vous pouvez installer un paillage organique (feuilles mortes, BRF…) ; dans une rocaille ou un jardin méditerranéen, choisissez plutôt un paillage minéral (graviers, pouzzolane…)
La giroflée peut nécessiter une intervention pour la limiter si elle s’étend trop. Arrachez les jeunes pousses et les semis spontanés.
Nous vous conseillons de couper régulièrement les fleurs fanées, afin de prolonger la floraison. Cela favorise l’apparition de nouvelles fleurs et limite le développement de semis spontanés. Si vous souhaitez récupérer les graines, laissez quelques fleurs fanées en place.
Chez les Erysimum, il est préférable de tailler une fois la floraison terminée (souvent vers les mois de juillet – août, parfois plus tard). Cela permet de maintenir un port compact, trapu, ramifié, car sinon, la plante risquerait de se dégarnir de la base. Rabattez les tiges au niveau du sol.
Chez les Matthiola incana, les variétés les plus hautes ainsi que celles à grandes inflorescences, peuvent avoir besoin d’être tuteurées, car leurs tiges risquent de se courber sous le poids des fleurs.
N’hésitez pas à récolter les fleurs de la giroflée quarantaine pour faire des bouquets !
Bien qu’elle soit vivace, la giroflée a une courte durée de vie, et elle vieillit assez mal. Nous vous suggérons de renouveler vos plants régulièrement, en éliminant ceux qui deviennent peu esthétiques, et en produisant de nouveaux plants par semis ou bouturage.
Erysimum cheiri peut avoir tendance à se dégarnir de la base, c’est pourquoi il est conseillé rabattre les tiges après la floraison. Cela encourage la plante à se ramifier.
La giroflée quarantaine, Matthiola incana, est sensible à l’oïdium et au botrytis (pourriture grise), deux maladies cryptogamiques favorisées par un excès d’humidité. Limitez les arrosages et évitez de mouiller le feuillage lorsque vous arrosez.
La giroflée ravenelle peut être atteinte par le mildiou, une maladie causée par un champignon et favorisée par un temps plutôt chaud et humide. Elle est également sensible à la rouille, qui se caractérise par la présence de taches orangées sur les feuilles.
Concernant les ravageurs, les feuilles des giroflées attirent les limaces et escargots. Vous pouvez disposer de la cendre ou de la sciure autour de vos plants afin de faire barrière, fabriquer un piège à limaces, ou utiliser un anti-limaces de type Ferramol. Les giroflées peuvent aussi être attaquées par les altises, de petits insectes qui perforent les feuilles, ainsi que par les pucerons.
La giroflée ravenelle a tendance à se ressemer spontanément. Vous pouvez récolter les fruits secs à la fin de l’été ou en automne, pour récupérer les graines et les semer. Il est aussi possible d’acheter directement les graines de giroflées.
La giroflée ravenelle se sème de préférence en juin-juillet en pépinière, pour l’installer en pleine terre en automne (septembre-octobre). Elle fleurira au printemps suivant.
Pour Matthiola incana, vous pouvez effectuer le semis au début du printemps sous abri, ou directement en place vers le mois de mai.
Nous vous conseillons de stratifier les graines, en les plaçant au réfrigérateur, car elles ont besoin d’une période de froid afin de pouvoir germer (vernalisation).
Nous vous conseillons de repiquer les plants dès qu’ils possèdent quelques feuilles, sans trop attendre, et en veillant à ne pas abimer les racines particulièrement fragiles.
Vous pourrez installer vos jeunes plants en pleine terre en automne.
Le bouturage peut s’effectuer au printemps, ou alors en fin d’été, après la floraison.
Le substrat doit rester légèrement humide jusqu’à ce que la bouture commence à pousser.
Vous pouvez aussi utiliser de l’hormone de bouturage en y trempant la base de la tige avant de la planter dans le substrat.
Intégrez les giroflées dans un massif ou une bordure, en compagnie d’autres vivaces à floraison colorée. Les variétés comme ‘Bowles Mauve’, ainsi que les giroflées à fleurs blanches, sont parfaites pour accompagner les fleurs délicates des rosiers ! Ajoutez des géraniums vivaces, penstemons, graminées et gypsophiles… ! Les giroflées peuvent trouver leur place dans un jardin romantique ou un jardin de cottage, mais on privilégiera les variétés mauves, roses, ou blanches, de préférence parmi les giroflées quarantaine (Matthiola incana), plutôt que parmi les giroflées ravenelle. Intégrez-les avec des clématites, pois de senteur, jasmins, digitales, et avec quelques arbustes comme les spirées, rosiers, Hibiscus syriacus… La giroflée ravenelle, quant à elle, peut s’intégrer dans beaucoup de styles différents de jardin. N’hésitez pas à en disperser quelques pieds dans un massif de style naturaliste.
Les giroflées peuvent tout à fait être cultivées en bac ou jardinière, pour colorer une terrasse, un balcon ou le rebord d’une fenêtre ! Plantez-les avec des heuchères, jacinthes, Arabis caucasica, pâquerettes, ainsi qu’avec des pensées ou violettes.
Puisqu’elles apprécient le plein soleil et supportent bien la sécheresse, vous pouvez aussi les installer dans un jardin sec, ou jardin méditerranéen. Plantez-les en compagnie de plantes aromatiques et de plantes à port tapissant. Elles peuvent facilement accompagner des euphorbes (notamment Euphorbia characias), lavandes, santolines, sauges de Jérusalem, cistes et Achillées… Nous vous conseillons de privilégier les plantes à feuillage gris ou argenté et au port en coussin.
De la même façon, les giroflées trouveront également leur place dans une rocaille. Elles accompagnent à merveille les saxifrages, carex, phlox, Erigeron karvinskianus… Vous pouvez même placer vos giroflées directement entre les pierres d’un muret. Elles lui apporteront beaucoup de charme ! Elles peuvent y être installées avec d’autres plantes qui se contentent de très peu de substrat : sédums, campanules des murailles, joubarbes, Cymbalaria muralis… Profitez aussi de la généreuse floraison des aubriètes !
Puisque sa floraison est précoce, la giroflée ravenelle, Erysimum cheiri, se marie bien avec les bulbes de printemps, comme les tulipes, narcisses ou jacinthes. Ajoutez d’autres floraisons délicates, comme celles des Myosotis. Vous obtiendrez une superbe scène colorée pour sortir de l’hiver !
Avec les nombreuses variétés existantes, vous pouvez facilement créer de beaux mariages de couleurs. Il est par exemple assez simple de concevoir une scène aux tons chauds, en associant Erysimum cheiri avec des tulipes, narcisses, heuchères à feuillage orangé, carex à feuilles bronze ou dorées… Vous pouvez aussi mélanger différentes variétés de giroflées.
→ Découvrez d’autres idées d’association avec la giroflée, au jardin ou en pot, dans notre fiche conseil !
Les feuilles de ma giroflée semblent grignotées !
Les responsables sont les limaces et escargots. Pour les tenir à distance, vous pouvez disposer autour de vos plants de la cendre, du sable ou de la sciure. Vous pouvez aussi fabriquer un piège à limaces, ou utiliser des granulés anti-limaces, de type Ferramol.
Les feuilles de ma giroflée portent de petites tâches couleur rouille ! Que faire ?
Elle est atteinte par la maladie de la rouille, due à un champignon. Cette maladie n’est pas très dangereuse, mais elle est inesthétique, et affaiblit la plante. Elle est favorisée par l’humidité et par un environnement confiné. Supprimez les feuilles concernées, limitez les arrosages, et taillez si besoin les plantes à proximité afin de permettre à l’air de circuler. Vous pouvez traiter avec une décoction de prêle ou une solution à base de soufre.
Les feuilles sont criblées de petits trous arrondis !
Ce sont les altises, de petits insectes (coléoptères), qui perforent les feuilles des giroflées et des autres plantes de la même famille (Brassicaceae). Vous pouvez traiter avec du purin d’ortie, une infusion de tanaisie ou un insecticide à base de pyrèthre.
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