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Avec sa floraison généreuse anticonformiste aux allures de marguerite, l’Helenium ou Hélénie est une vivace d’été et d’automne à grandes fleurs indispensable dans tous les jardins champêtres ou un peu sauvages.
Doté de capitules à cœur particulièrement développé et bombé, l’helenium rouge cuivré ‘Moerheim Beauty’, ‘Ruby Tuesday’, l’helenium rose ‘Tie Dye’, l’helenium automnale jaune canari, l’helenium puberulum et l’helenium bigelovii ou “Hélénie de Bigelove”, tous réchauffent le jardin de leur symphonie de teintes flamboyantes, parfois jusqu’à l’automne. Il y a un Helenium pour chaque jardinier !
Avec sa présence très forte, il met le feu au jardin et compose des scènes d’aspect sauvage et hautes en couleurs ! Ses fleurs solaires sont des grands classiques des mixed-borders et des massifs ensoleillés auxquels elles apportent pétulance et fantaisie.
C’est une vivace docile et rustique, facile à cultiver dans tous les jardins, au soleil, en sol frais et bien drainé. Facile à marier, très polyvalent, il forme en quelques années seulement de belles touffes d’une floribondité exceptionnelle dans des teintes chaleureuses bienvenues en fin d’été et en début d’automne.
Découvrez dans notre collection d’Heleniums, la variété qui manque à votre jardin et à vos bouquets !
L’helenium ou Hélénie, parfois appelé “marguerite d’automne” est une vivace de la famille des astéracées, comme sa cousine la marguerite et l’aster. Elle est originaire des prairies humides, marais et des bords des marécages d’Amérique du Nord.
Le genre Helenium comprend environ 40 espèces d’hélénies vivaces, annuelles ou bisannuelles. Elles ont donné naissance à plus de 70 hybrides et cultivars intéressantes variables en forme, en hauteur et en couleur comme ‘Moerheim Beauty’, la plus populaire de toutes les hélénies ou encore ‘Ruby Thuesday’.
La plupart des hybrides sont issus de l’Helenium autumnale. On rencontre aussi fréquemment dans nos jardins, l’Helenium hoopesii, l’helenium puberulum et l’Helenium bigelovii ou “Hélénie de Bigelove”.
Cette vivace présente un port en touffe dressé, assez compact, un peu désordonné, pouvant atteindre facilement 1,50 m de hauteur pour 50 cm de large, pour les variétés les plus imposantes.
S’il est doté d’une croissance rapide, l’helenium a besoin d’environ deux années pour bien s’étoffer, puis il croit au fil des ans, pour former des touffes denses et très florifères, pouvant même devenir envahissant. Bien installé, il peut vivre des années.
D’une touffe basale de feuilles rassemblées en rosette émergent au printemps, de grandes tiges graciles mais robustes, plus ou moins ramifiées dans leur partie haute. D’une tenue exceptionnelle, résistantes face au vent, elle se passent généralement de tuteurage.
L’Helenium présente une végétation vigoureuse dont l’intérêt réside essentiellement dans son abondance. Caduc, le feuillage ressemble à celui des marguerites et des Echinacées. Les tiges bien droites sont ponctuées de feuilles étroites de 10 à 30 cm de long de forme lancéolée, et légèrement dentées. Plus petites vers le sommet des tiges, elles sont disposées de manière alterne. Elles sont parfois très épaisses et varient du vert franc au vert sombre ou bleuté.
Conquérantes et radieuses, les fleurs de l’Helenium, cette proche parente du tournesol, sont d’une beauté résolument solaire. Les tons chauds de cette floraison annoncent les feux de l’automne.
On distingue les hélénies hâtives qui fleurissent de mai à juillet et les hélénies tardives ou “hélénies d’automne” dont la floraison s’étale d’août aux portes de l’hiver. De juin à novembre, selon les variétés, les hampes portent des inflorescences en grand capitule durable de 2 à 10 cm de diamètre évoquant la forme des marguerites, des Rudbeckias ou des Echinacées.
Tout l’été et jusqu’aux gelées, une myriade de fleurs éclot inlassablement, parfois réunies en corymbes de 3 ou 8 à l’extrémité des tiges.
Elles sont composées d’un cône hémisphérique bien bombé coloré de brun chocolat, de vieil or ou d’ambré, qui peut parfois se montrer très proéminent jusqu’à former un petit coussin arrondi qui se ponctue peu à peu d’étamines jaunes. Le cœur de ce pompon s’entoure d’une collerette de fins pétales ou ligules, parfois très rouleautés, disposés sur une ou deux rangées (Helenium ‘Double Trouble’. Etroitement serrés, ils sont légèrement découpés en 3 à 5 dents à leur extrémité et peuvent s’étaler presque horizontalement ou au contraire s’infléchir très sensiblement vers le bas à maturité comme chez l’Helenium hoopesii.
Ces corolles bien ouvertes revêtent des couleurs d’automne vibrantes particulièrement flamboyantes, prenant toutes les nuances chaudes, du rouge brique de l’Helenium Moerheim Beauty, au rouge rubis de l’ Helenium ‘Ruby Tuesday’ à l’orange vif à cuivré de l’ Helenium ‘Short’n ‘Sassy’ ou au jaune soleil de Helenium ‘Kugelsonne’. Certains fleurons multicolores ou bicolores se panachent de jaune, de rouge, d’orange et de cuivre.
Cette floraison remarquablement généreuse, qui dure de 6 à 10 semaines, colorée et mellifère s’échelonne tout l’été : les fleurs se renouvellent sans interruption jusqu’à l’automne au sein des massifs où se pressent abeilles et papillons.
Les fleurs fraîches, de longue tenue en vase, font de beaux bouquets d’été pétillants et ardents.
Très rustique, bien au-delà de -15°C, l’hélénie peut être cultivée en toutes régions. Jamais malade, l’Helenium se cultive facilement au soleil, dans toute bonne terre de jardin restant toujours un peu humide, même si elle se montrera plus exubérante dans un sol riche en matière organique. C’est une plante robuste de bonne tenue qui ne craint pas ponctuellement la chaleur intense et la sécheresse.
Il fleurit les massifs naturalistes, dynamise les talus, enchante les mixed-border à l’anglaise. Certaines variétés, se prêtent également à la culture en pot.
Les couleurs complexes et chaleureuses et les hauteurs (de 0,60 à 1,50 m) des Heleniums, abondent dans une infinité de variations de teintes chaudes allant du jaune au rouge rubis en passant par l’orange cuivré, et de nombreux cultivars sont désormais accessibles comme ‘Moerheim Beauty’, le plus populaire de tous les heleniums ou encore ‘Ruby Thuesday’.
On distingue les hélénies hâtives qui fleurissent tout l’été et les tardives ou « marguerites d’automne » qui commencent à fleurir en été pour s’épanouir à l’automne.
Très facile à cultiver, d’une belle rusticité (au-delà de -15°C), l’Helenium pousse un peu partout en France et s’adapte même très bien en bord de mer.
Une fois bien enraciné dans un endroit qui lui plait, il prospère d’année en année, toujours plus florifère, pouvant devenir même envahissant jusqu’à étouffer ses voisins. Il peut se ressemer spontanément. Il a un peu de mal à supporter la présence trop rapprochée d’autres plantes. Bien choisir son emplacement lors de la plantation est donc impératif: laissez-lui de l’air!
Choisissez un endroit bien ensoleillé à l’abri du vent, susceptible de faire plier les tiges des plus grands spécimens.
Cette belle vivace pousse dans des sols lourds, argileux et marécageux, elle est parfois utilisée pour drainer de façon naturelle un terrain trop humide. S’il accepte tout type de sol pas trop sec, il prendra toute sa mesure en sol profond et fertile. Le sol doit être surtout riche en matière organique, pour permettre à la plante de bien fleurir. En terrain pauvre, il s’accommodera mais ne sera jamais luxuriant.
Il aime un sol bien drainé qui reste frais durant l’été, surtout les premières années, il tolérera mieux la sécheresse passagère avec le temps. Les inondations hivernales lui sont fatales : il a besoin d’un sol filtrant, bien drainé.
Polyvalent, il s’intègre à tous les décors et s’utilise en massif ou en plate-bande. Les plus hautes hélénies (‘Kugelsonne’) formeront d’imposants buissons florifères à l’arrière des massifs. Les hélénies de dimensions plus réduites donneront du souffle aux bordures. Certaines variétés, de taille raisonnable, se prêtent également à la culture en pot.
L’helenium se plante idéalement au printemps en mars avril dans les régions froides ou à l’automne en septembre-octobre partout ailleurs, en dehors des périodes de gel et de sécheresse.
En pleine terre
Respectez une distance de 30 à 40 cm entre les plants et plantez en nombre: comptez 3-5 godets au m², vu le fort développement de cette vivace, cela suffit pour créer un effet saisissant dans un massif.
L’Hélénie est une gourmande, le sol doit être bien amendé : faites un bon apport de compost bien décomposé.
Plus encore qu’en pleine terre, l’Helenium aura besoin de beaucoup d’eau. Choisissez une variété à petit développement.
Lire aussi
L'automne est arrivé au jardinL’Helenium est une plante vivace peu exigeante du moment qu’elle ne manque ni de lumière, ni d’eau en été. Une fois bien installé, il réclame peu de soin pourvu que le sol soit filtrant et suffisamment nourrissant et frais en été.
Les premiers printemps et étés, offrez-lui de copieux arrosages. En période de sécheresse, arrosez quotidiennement mais sans l’inonder.
L’entretien des héléniums est simple :
Tous les 3 à 4 ans, au printemps ou à l’automne, divisez les souches les plus imposantes si la plante présente des signes de fatigue pour lui redonner de la vigueur.
Jamais malade, l’Helenium n’a que de rares ennemis : les gastéropodes, au démarrage de la végétation. Au printemps, protégez ses jeunes pousses de l’appétit des limaces et des escargots. Découvrez tous nos conseils dans notre fiche : “Limaces : 7 façons efficaces de lutter naturellement”
Il peut parfois être sujet à l’oïdium et aux taches foliaires (rouille) surtout lorsqu’il est planté trop à l’ombre, en situation un peu confinée ou dans un sol trop lourd et humide. Pour prévenir et lutter contre l’oïdium, suivez nos conseils : “L’oïdium ou maladie du blanc : prévention et traitement”
Pour multiplier l’Helenium, la division reste l’opération la moins fastidieuse. La bouture de racine est faisable mais assez délicate. Le semis est une méthode qui permet d’obtenir un grand nombre de pieds, ne le recommandons pour les espèces botaniques dont la couleur des fleurs reste fidèle.
La division des touffes, se fait au bout de 3 ou 4 ans, lorsque la plante est bien installée. Divisez en mars les hélénies tardives fleurissant à l’automne et en octobre les hélénies à floraison hâtive qui fleurissent en été.
L’Helenium est une vivace est très facile à cultiver à partir de graines. Les semis s’effectuent en pleine terre à l’automne ou en mai ou en terrine de janvier à mars avec les graines bien mûres récoltées à l’automne ou avec des graines achetées en sachets.
→ En savoir plus sur la multiplication des heleniums dans notre fiche tuto !
L’Helenium est particulièrement inspirant pour créer un jardin d’inspiration naturaliste, ou un mixed-border dans l’esprit des jardins de cottage avec d’autres vivaces à port dressé faciles à vivre. Ses fleurs originales et solaires éclaboussent en été et en automne, massifs et plates-bandes d’une luminosité ardente.
Il est incontournable pour composer des scènes d’aspect sauvage, foisonnantes et hautes en couleur au cœur de l’été.
Planté en nombre, plutôt qu’en isolé, il donne corps à un massif avec sa présence chromatique très forte, soit en y apportant du contraste, soit en version dégradée ou monochrome.
On associe aisément ses couleurs intenses avec les couleurs complémentaires (cramoisi/bleu) des asters et des sauges dans un esprit joyeux et frondeur.
Pour un mélange de tons explosifs, on le marie avec des Echinacées, des Pavots d’Orient, des Rudbeckia, des Marguerites, des Achillées, des Agastaches, des Hélianthus, des Coréopsis, des Echinops, des chrysanthèmes vivaces ou des Phlox.
Son port un brin désordonné offrira, dans un massif d’été exubérant, un contraste de forme avec des plantes aux contours plus définis comme les dahlias, les kniphofias, les cannas, les crocosmias. Les vivaces au port léger comme le Gaura, la Gypsophile , les graminées comme les Miscanthus apporteront le flou et le mouvement en contrepoint du port un peu raide de l’Helenium.
En bordure de massif, les helenium de taille modeste feront merveille aux côtés de Sauges, d’Hémérocalles, et des heuchères qui valoriseront beaucoup ses teintes chaudes.
Les feuillages gris ou bleuté des Artémises ou des Santolines, des hostas, des graminées (Fétuques bleues) seront parfaits pour calmer le feu.
Il pourra aussi être associé avec un fusain ou un érable du Japon au feuillage somptueux en automne.
→ Retrouvez d’autres idées d’association avec les Heleniums dans notre fiche conseil
Lucie Jolin , le 2 Août 2018
Est ce qu'il faut que je les coupe complètement au sol à chaque année lors de la fin de la floraison à l'automne? J'ai planté cette plante Hélénium avec une distance de 18 pouces entre chacune ou j'ai laissé le gazon. Vont t'il finir par ce rejoindre car mon but c'est de séparer avec le terrain du voisin et de nous créer une intimité sur notre patio terrestre? Serais ce mieux d'enlever le gazon entre les plans? que dois je utiliser comme tuteur j'ai essayer les clôtures métalliques mais se n'est pas parfait. Je veux de la hauteur et de la floraison le plus possible, est ce que le compost de crevette est l'idéal à chaque année? merci
Réponse de Pierre Lefebvre , le 7 Août 2018
Bonjour, Oui il faut les couper au sol à chaque fin de saison, il est préférable d'enlever le gazon, ils vont se rejoindre. Pas besoin d'apporter d'engrais ni de mettre un tuteur.
Cordialement
Pierre