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L’Inula, ou Aunée, est une grande plante généralement vivace, au port érigé, et qui offre en plein été une floraison en capitules jaunes ! La forme des fleurs rappelle celles des marguerites ou des asters. L’espèce la plus connue est l’Inula helenium, ou Grande Aunée, une plante robuste et vigoureuse, qui peut atteindre 2 m de hauteur ! Mais on trouve aussi d’autres espèces qui restent plus petites, comme l’Inula ensifolia, une plante délicate, au feuillage fin et au port arrondi.
En plus de son intérêt ornemental, l’Inula helenium est particulièrement appréciée pour ses propriétés médicinales, notamment contre les affections respiratoires. C’est sa racine qui est utilisée, généralement sous forme d’infusion ou de décoction.
L’Inula s’intègre très bien dans les mixed-borders, en association avec d’autres vivaces. Elle apporte à la fois du volume et de la luminosité dans les massifs ! Elle trouve aussi sa place dans les jardins de style sauvage et naturel, ainsi que dans les jardins de plantes médicinales. Enfin, les espèces les plus petites peuvent être plantées en rocaille.
L’Inula helenium se plait dans une bonne terre de jardin, fertile et fraîche. Une fois installée, elle est assez facile à entretenir. Il suffit de l’arroser en période de sécheresse, pour que le sol reste relativement frais, et de rabattre les plants au niveau du sol en automne. Nous vous conseillons également de les diviser tous les trois à quatre ans, pour rajeunir les touffes.
Les Inula rassemblent 110 espèces de plantes généralement vivaces, mais qui peuvent aussi être annuelles ou bisannuelles. Elles proviennent d’Europe, d’Asie et d’Afrique. La majorité des espèces sont originaires d’Asie centrale, et certaines se rencontrent jusqu’en Himalaya. Étant cultivée depuis longtemps pour ses propriétés médicinales, l’Inula helenium s’est naturalisée dans plusieurs régions du monde, notamment en Amérique du Nord et Europe.
En France, dans la nature, on compte neuf espèces, dont Inula helenium. Les Inula peuvent se rencontrer dans des champs, prairies, bords de routes, friches ou lieux incultes… L’Inula helenium pousse plutôt sur des terrains frais et à mi-ombre (lisières de bois, haies, prairies humides…), tandis que d’autres espèces affectionnent les terrains pierreux et rocailleux, plus secs.
L’Inula est rattachée à la grande famille des Astéracées (près de 33 000 espèces), comme les pâquerettes, marguerites ou tournesols. La principale caractéristique de cette famille est la présence de fleurs réunies en capitules. Les fleurs sont minuscules, mais sont rassemblées en très grand nombre pour former un genre de disque, un capitule, ressemblant à une seule grande fleur.
Le genre Dittrichia est très proche des Inula, puisque deux espèces auparavant considérées comme des Inula ont changé de nom pour se nommer désormais Dittrichia (Dittrichia graveolens et Dittrichia viscosa).
Le nom Inula proviendrait du grec enàein : purger, purifier, par allusion aux propriétés médicinales de la plante. Le nom d’espèce Helenium fait référence à Hélène, la fille de Zeus dans la mythologie grecque, qui fut enlevée par Pâris, ce qui déclencha la Guerre de Troie. Selon la légende, la plante se mit à pousser à l’endroit où ses larmes tombèrent au sol… Ou, selon d’autres sources, Hélène était en train de cueillir cette plante au moment de son enlèvement.
L’Inula helenium est une imposante vivace à souche ligneuse. C’est une plante vigoureuse et robuste, bien rustique, et qui pousse rapidement. Elle a un port plutôt rigide, et possède de grandes tiges duveteuses, velues, et assez épaisses. Ces tiges sont ramifiées au sommet. On trouve cependant une espèce acaule : Inula rhizocephala, qui forme des rosettes à même le sol, et offre des fleurs qui apparaissent au centre de la rosette.
La taille des Inula est donc très variable suivant les espèces, puisqu’elles mesurent entre 25 cm et 2,5 m de hauteur. L’Inula ensifolia compte parmi les plus petites, tandis que les Inula helenium et Inula racemosa sont les plus grandes. L’Inula helenium peut atteindre 2 m de hauteur… D’où son nom commun de Grande aunée !
Les Inula fleurissent en plein été, généralement en juillet-août (mais, suivant les variétés, la floraison peut avoir lieu entre juin et octobre). Les Inulas portent alors, au sommet de leurs tiges dressées, de grands capitules jaune doré. On les apprécie pour leur belle teinte lumineuse. Ces capitules peuvent être solitaires ou rassemblés en corymbes.
Ce qui semble n’être qu’une seule fleur est en réalité une multitude de fleurs minuscules, rassemblées sur un même plan, exactement comme chez les marguerites, les pâquerettes ou les asters. Cette inflorescence particulière prend le nom de capitule. Il se compose de fleurs tubulées au centre et de fleurs ligulées en périphérie, sur l’extérieur. Les fleurs ligulées sont particulièrement longues et fines, étroites. Elles donnent au capitule un aspect plus ou moins « ébouriffé », désordonné. Elles rayonnent autour du centre de la fleur. Elles sont plus claires, d’un jaune plus vif, que les fleurs tubulées au centre du capitule. Ces dernières sont jaune foncé, parfois un peu marron-brun. Les ligules sont des fleurs femelles, tandis que les fleurs tubulées sont hermaphrodites (portant des étamines et pistil). Autour de la base du capitule, on peut voir des bractées, qui se chevauchent sur plusieurs rangées.
Les capitules de l’Inula helenium sont assez grands, puisqu’ils mesurent entre 5 et 8 cm de diamètre, tandis que chez l’Inula ensifolia, ils ne dépassent pas 3 cm de diamètre. L’Inula viscosa a également des fleurs assez petites, et plutôt réparties contre les tiges.
L’Inula est une bonne plante mellifère ; ses fleurs attirent les insectes qui viennent les polliniser.
L’Inula helenium forme une rosette basale de feuilles, très grandes, et possède également des feuilles caulinaires, situées sur la tige. Elles deviennent de plus en plus petites lorsqu’on remonte vers le haut de la tige. Les feuilles du bas sont pétiolées, tandis que les autres sont sessiles, embrassant la tige. Les feuilles caulinaires sont alternes, insérées les unes après les autres.
D’une manière générale, les feuilles d’Inula sont particulièrement grandes. Celles de l’Inula helenium peuvent atteindre 80 cm de longueur ! Elles sont de forme ovale, assez larges, et simples, non découpées. Le bord du limbe est denté. Le feuillage a un aspect plutôt grossier, massif et imposant, pas très fin, ainsi qu’une texture gaufrée et un peu rugueuse. Certaines espèces ont des feuilles bien plus petites : chez l’Inula ensifolia, elles ne dépassent pas 10 cm de longueur, et sont particulièrement fines, étroites, de forme linéaire. Elles ont un aspect délicat et graphique.
Les feuilles sont de couleur verte, et sont marquées par des nervures blanches. Inula candida possède des feuilles blanc-gris, duveteuses, à l’aspect très doux. L’espèce Inula viscosa, elle, a la particularité d’avoir un feuillage collant, visqueux.
Chez l’Inula helenium, les feuilles sont vertes à la face supérieure, mais plutôt blanchâtres au revers, car couvertes de poils, feutrées. La nervure centrale est saillante au revers des feuilles.
L’Inula helenium est une plante caduque : ses parties aériennes se fanent en automne, et se développent à nouveau au printemps. Il est conseillé de rabattre la plante au niveau du sol en automne.
L’Inula helenium est reconnue et cultivée depuis l’Antiquité pour sa racine aux propriétés médicinales. Celle-ci est épaisse, charnue, et ramifiée. Elle est aromatique, et peut être employée pour parfumer des desserts. Elle a un goût amer et une odeur camphrée. Elle est parfois utilisée dans la fabrication de l’absinthe.
Une fois que les fleurs d’Inula ont été fécondées, elles laissent la place à des akènes de couleur brun – roux (fruit sec qui ne s’ouvre pas à maturité, et qui contient une seule graine). Ces akènes sont surmontés par des aigrettes, qui leur permettent de s’envoler avec le vent, exactement comme chez les graines de pissenlit !
Les Inula ont tendance à se ressemer spontanément. Si vous voulez éviter cela, supprimez les fleurs fanées, avant que la plante ait eu le temps de produire des graines !
Vous pouvez aussi choisir de récolter les graines pour tenter le semis et reproduire ainsi vos plants.
Vous pouvez installer l’Inula au soleil ou à mi-ombre. L’exposition dépend aussi de votre situation géographique : si vous habitez dans le sud de la France, préférez un emplacement légèrement ombragé plutôt que le plein soleil, tandis que si vous habitez au nord de la Loire, vous pouvez sans problème planter en plein soleil.
L’Inula apprécie les terrains riches en matière organique, fertiles, et profonds. Elle aime également les substrats à tendance calcaire. Le terrain doit être relativement frais, mais drainant. Évitez les sols trop lourds et compacts, qui retiennent l’eau. Globalement, les Inula ne sont pas très exigeantes, elles peuvent s’adapter à différents types de sols.
L’Inula helenium s’intègre très bien dans les mixed-borders, en compagnie d’autres vivaces à floraison estivale. Même si une plantation en pot est possible, il est préférable d’installer l’Inula en pleine terre. Certaines espèces (les plus petites, comme Inula ensifolia par exemple) s’adaptent à une plantation en rocaille. De même, l’Inula viscosa se plait particulièrement dans les terrains secs et ensoleillés, et sera parfaite en rocaille ou dans un jardin sec.
L’aunée est une plante assez grande, donnez-lui suffisamment d’espace pour bien se développer. Si possible, préférez un emplacement abrité du vent. Sinon, les espèces les plus hautes pourraient avoir besoin un tuteurage.
Étant donné la hauteur de certaines espèces (Inula helenium, Inula racemosa ‘Sonnenspeer’…), nous vous suggérons de les installer plutôt dans le fond des massifs, en arrière-plan. Bien sûr, si vous cultivez plutôt de petites espèces comme Inula ensifolia, placez-les au contraire plutôt sur l’avant.
Vous pouvez planter l’Inula au printemps (avril-mai) ou en automne (septembre-octobre).
La distance de plantation est variable suivant les espèces, car elles ne prennent pas toutes les mêmes dimensions, mais, pour l’Inula helenium, nous vous conseillons de respecter au moins 80-90 cm de distance entre deux plants.
Vous pouvez aussi consulter nos conseils vidéo sur la plantation des vivaces :
L’Inula helenium apprécie les sols qui restent relativement frais. Pensez à effectuer quelques arrosages en cas de sécheresse. Nous vous suggérons d’installer un paillage, car cela maintiendra le sol frais plus longtemps, tout en l’enrichissant en matière organique. Le paillage a également pour effet de limiter la croissance des mauvaises herbes.
L’Inula helenium est une plante caduque : ses parties aériennes disparaissent pour l’hiver. Effectuez une taille sévère en automne, en rabattant la plante au niveau du sol. Elle redémarrera sa croissance au printemps.
Comme il s’agit d’une plante assez haute, l’Inula peut avoir besoin d’être tuteurée afin de maintenir ses tiges bien droites, surtout si elle est exposée aux vents.
Si vous souhaitez éviter les semis spontanés, supprimez les fleurs fanées.
Comme les Inula se plaisent dans les terrains fertiles, riches en matière organique, elles apprécieront si vous leur apportez chaque année, au début du printemps, un peu de compost bien décomposé.
Si vous souhaitez récolter les racines d’Inula (pour leur caractère médicinal et comestible), faites-le en automne, car c’est le moment où l’énergie de la plante redescend dans le système racinaire, avant que la plante ne se mette en dormance pour l’hiver. Choisissez un plant âgé de deux ou trois ans.
Globalement, l’Inula est peu sensible aux maladies et ravageurs. Elle peut néanmoins être atteinte par l’oïdium, une maladie cryptogamique qui se reconnait par l’apparition d’un feutrage blanc sur les feuilles. Si vous constatez cette maladie, nous vous conseillons de supprimer les feuilles concernées, puis de pulvériser une solution à base de soufre, ou une décoction de prêle.
On multiplie l’Inula principalement par division, mais il est aussi possible de la semer.
Vous pouvez diviser les touffes d’Inula au début du printemps ou en automne. Nous vous conseillons de le faire en moyenne tous les trois ans, car cela permet de rajeunir les plants et de leur redonner un peu de vigueur.
Commencez par déterrer le système racinaire, en creusant assez large pour ne pas l’abîmer. Si nécessaire, retirez le surplus de terre pour le rendre bien visible. Coupez les racines en plusieurs sections, en utilisant un couteau aiguisé (elles doivent mesurer au moins 5 cm de longueur). Replantez-les, soit directement en pleine terre, soit en pot dans un premier temps. Vous pouvez en profiter pour récupérer quelques racines, si vous souhaitez les employer pour leurs propriétés médicinales.
L’Inula produit des akènes que vous pouvez récolter, puis semer, au printemps ou en automne, sous châssis froid. Si les conditions de culture lui conviennent, elle peut également se ressemer d’elle-même au jardin.
Il faudra attendre la deuxième année pour les voir fleurir.
Il est aussi possible de semer les graines directement en pleine terre au printemps.
Les Inula sont parfaites pour intégrer les mixed-borders, notamment si vous choisissez les grandes espèces, comme Inula helenium ou Inula racemosa, particulièrement imposantes. Placez-les à l’arrière-plan des massifs, et associez-les à d’autres plantes vivaces à floraison estivale. Choisissez par exemple des achillées, Coréopsis, Anthemis tinctoria, campanules, échinacées, géraniums vivaces, Penstemon, Phlox paniculata… Sans oublier la légèreté du Gaura lindheimeri. Et, parmi toutes ces fleurs, n’hésitez pas à intégrer quelques graminées, comme les Pennisetum, Calamagrostis ou Stipa !
Composez un massif très coloré en associant les Inula à d’autres fleurs aux teintes jaune, orange, rouge… ! Profitez de la floraison majestueuse des hémérocalles, des épis originaux des kniphofias, ou des délicates fleurs de la Salvia microphylla. Vous pouvez aussi choisir les coréopsis, gaillardes, monardes, heleniums, dahlias, Achillea filipendulina… Vous obtiendrez un superbe massif aux teintes chaleureuses et vives, flamboyantes.
Parce qu’elles possèdent de nombreux bienfaits, vous pouvez profiter des Inula pour composer un jardin de plantes médicinales. Aménagez un jardin de simples, en y intégrant des sauges, des soucis, des achillées, de la mauve, de l’hysope, de la camomille, de l’agastache, de la verveine officinale… Profitez aussi de l’Arnica montana, dont les fleurs jaunes s’accorderont très bien à celles de l’Inula ! Vous pourrez facilement utiliser ce jardin pour récolter des plantes, les faire sécher et les employer en infusion. Intégrez également quelques plantes aromatiques : thym, mélisse, lavande, menthe, aneth… que vous pourrez utiliser en cuisine.
L’Inula peut aussi s’intégrer dans un jardin sauvage, de style champêtre. Composez un massif à l’aspect relativement désordonné, avec de grandes plantes au port libre et aéré. Choisissez une espèce comme Inula magnifica, et associez-la à des achillées, Verbena hastata, sauges, campanules, Veronicastrum virginicum… Sans oublier les graminées, irremplaçables pour apporter un air de « prairie sauvage ».
Les espèces les plus petites peuvent être intégrées dans des rocailles. Optez par exemple pour Inula ensifolia ou Inula candida, et placez-les avec des géraniums de rocaille, Delosperma cooperi, Campanula muralis, Dianthus deltoides, Sedums et joubarbes… Profitez aussi du superbe Convolvulus mauritanicus, qui offre une délicate floraison bleu tendre !
→ Découvrez d’autres belles idées d’association avec les Inulas dans notre fiche conseil !
L’Inula helenium est cultivée depuis très longtemps pour ses propriétés médicinales. C’est la racine qui est employée, principalement sous forme de décoction ou d’infusion. Elle est efficace contre la toux, et pour soulager les affections respiratoires (bronchite, toux…). Elle peut aussi être employée contre les problèmes digestifs, et pour renforcer le système immunitaire. De plus, elle est antiseptique, vermifuge, tonique et diurétique. Les racines sont riches en inuline (c’est d’ailleurs l’Inula qui donna son nom à ce type de sucre).
La racine d’Inula est également comestible, utilisée pour parfumer les desserts. On peut l’employer fraiche ou séchée. Elle a l’avantage de stimuler l’appétit et de favoriser la digestion. Elle a une saveur amère. Les jeunes feuilles peuvent aussi être consommées. Les racines se récoltent en automne, sur des plants âgés de deux ou trois ans.
Les feuilles de mon Inula se couvrent d’un feutrage blanc. Pourquoi ?
Elle est sans doute atteinte par l’oïdium, une maladie cryptogamique, causée par un champignon. On voit d’abord apparaitre un feutrage blanc sur les feuilles, puis celles-ci ont tendance à se déformer et à sécher. Nous vous conseillons de retirer et brûler les feuilles atteintes, afin de limiter son développement, puis de traiter en utilisant un fongicide, par exemple du soufre ou une décoction de prêle. De même, lorsque vous arrosez, dirigez le jet vers le pied de la plante, en faisant attention à ne pas mouiller le feuillage.
Maaike Desmarets, le 20 Août 2024
Bonjour,
Chaque année je supprime les capitules défleurie de mes Inula helenium pour éviter que mon jardin soit envahie pan cette belle plante.
Cet année (mi-aout) les capitule ont disparu naturellement. Ils ont été coupé nettement par un ravageur inconnus.
Est-ce que vous avez connaissance de ce phénomène?
Merci pour votre raiponce.
Maaike Desmarets
369 chemin Fontilles
82150 Montaigu de Quercy
Réponse de Sophie, le 26 Août 2024
Bonjour,
C'est intrigant de voir que vos capitules d'Inula helenium ont été coupés net par un ravageur inconnu. Ce phénomène n'est pas très courant, mais il pourrait être attribué à quelques coupables possibles.
Certains insectes, comme les coléoptères (charançons) ou les larves de certaines espèces, peuvent découper les tiges ou les capitules pour se nourrir. Ils préfèrent souvent les parties tendres des plantes, comme les boutons floraux ou les capitules. Il est aussi possible que des oiseaux aient été à l'œuvre. Certains oiseaux, comme les chardonnerets, sont connus pour grignoter les graines des capitules et pourraient les couper dans le processus. Des petits mammifères comme les campagnols ou les mulots pourraient aussi être responsables. Ils coupent souvent des parties de plantes pour se nourrir ou pour les utiliser dans la construction de leurs nids.
Bien que moins probable, des conditions météorologiques extrêmes ou des vents forts peuvent parfois endommager les capitules de manière nette, bien que cela ressemble rarement à une coupe aussi précise qu'un ravageur.
J'espère que ces pistes vous aideront à identifier le coupable ! N'hésitez pas à nous tenir au courant si vous faites une découverte.