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Que serait nos jardins d’été et d’automne sans ces jolies petites marguerites blanches, bleues ou lilas ? Le Kalimeris est une jolie vivace à fleurs d’aster pourtant encore injustement méconnue. Il a un pourtant un énorme atout sur son petit cousin l’aster ; une floraison beaucoup plus longue, une grande robustesse et des facultés d’adaptations extraordinaires.
Que ce soit le Kalimeris incisa aux nombreux cultivars, Kalimeris incisa ‘Madiva’, ‘Alba’, ‘Blue Star’, ‘Nana Blue’ ou le Kalimeris pinnatifada Hortensis aux innombrables fleurs doubles, ils offrent une nuée de petites étoiles de juin à septembre, parfois même jusqu’au mois d’octobre, sans discontinuer.
La floraison du Kalimeris est d’une fraîcheur incomparable en été. Ses fleurs solaires sont des grands classiques des jardins naturalistes de soleil et des mixed-borders auxquels elles apportent beaucoup de finesse et de charme.
Très rustique (il résiste aisément aux températures en dessous de -15°C), facile de culture, jamais malade, rien n’atteint sa silhouette bien dressée, pas même le vent, la pluie ou la sécheresse. C’est une plante d’une vigueur extrême qui ne peut que réussir au jardin !
Il saura se montrer reconnaissant pour peu qu’il soit installé dans un sol ordinaire à fertile, frais et bien drainé, en plein soleil comme à l’ombre partielle.
Découvrez le Kalimeris, cette vivace d’été peu connue mais si facile à vivre et composez des scènes fraîches et longuement florifères !
Le Kalimeris parfois appelé « Aster japonais » ou « Aster d’été » est une vivace herbacée cousine des Asters et des marguerites, de la famille des Astéracées, originaire des bois et des prés d’Asie Orientale
On compte une dizaine d’espèces curieusement démodées, dont la plus répandue dans nos jardins est Kalimeris incisa qui a donné naissance à des obtentions intéressantes telles que ‘Blue Star’, ‘Charlotte’, ‘Madiva’, ‘Nana Blue’). D’autres plus confidentielles comme Kalimeris pinnatifada, Kalimeris mongolica et le Kalimeris yomena au feuillage panaché d’ivoire, sont également parfois proposées à la culture.
De croissance rapide, le Kalimeris est une plante traçante rhizomateuse qui s’étale progressivement sur plus d’1 à 2 mètres en une dizaine d’années, finissant par constituer de belles colonies florifères.
Il pousse en touffe buissonnante érigée, arrondie et produit chaque année de nouvelles tiges qui se ramifient. Si le port est compact, dense et toujours bien net, les tiges très ramifiées confèrent à la plante une allure légère et aérée.
Chez cette astéracée, la taille varie selon les espèces et variétés. Il atteint au minimum 40 cm de haut, mais dans de bonnes conditions, il peut s’élever jusque 1,20 m: Kalimeris incisa ‘Madiva’ qui est l’un des plus hauts Kalimeris. C’est une vivace longévive qui, bien installée, peut vivre de nombreuses années. Certaines formes de Kalimeris se ressèment spontanément.
De cette souche rhizomateuse émergent au printemps, dès le mois de mars, d’une rosette de feuilles basales, des tiges rigides. Ces tiges érigées et ramifiées dans leur partie haute, portent de nombreuses feuilles alternes, oblongues à rondes, parfois très fines et découpées chez Kalimeris pinnatifida, légèrement à profondément indentées.
Elles peuvent être glabres ou rugueuses au toucher. Longues de 3 à 15 cm, elles sont plus petites et plus découpées dans la partie inférieure des tiges et entières dans la partie supérieure. Vert clair à vert intense, elles sont vert foncé panaché de chartreuse et de crème chez le Kalimeris yomena.
Caduc, ce feuillage frais et vigoureux, typique des astéracées, ressemble à celui de ses proches parents, les marguerites, les Heleniums et les Echinacées. Les feuilles dégagent une légère odeur citronnée lorsqu’on les froisse.
Ces grandes tiges feuillées constituent un coussin mousseux, denté et verdoyant duquel surgissent une constellation de petites fleurs dès la fin du printemps. La floraison estivale du Kalimeris est d’une fraîcheur incomparable.
Plus encore que son petit cousin l’Aster, le Kalimeris offre une des floraisons les plus longues, qui commence en mai juin pour s’achever aux premières gelées. Semblables à celles des Asters, les inflorescences en capitule de 2 à 4 cm de diamètre évoquent la forme des marguerites. Elles sont réunies en corymbes. Le gros cœur jaune mordoré de ce petit pompon touffu s’entoure d’une rangée de fleurons, fins et longs, disposés sur une ou deux rangées ; Kalimeris pinnatifida var. hortensis porte des fleurs très doubles.
Blanches aux reflets subtilement violacés, bleu lavande pâle, bleu tendre, bleu lilas ou entièrement blanches, ces ligules prennent des teintes empreintes d’une luminosité et d’une fraîcheur uniques.
Cette floraison remarquablement généreuse et mellifère dure tout l’été, de 6 à 10 semaines : les fleurs se renouvellent sans interruption, attirant irrésistiblement les insectes pollinisateurs pendant les 5 mois de floraison.
Elles font d’excellentes fleurs à bouquet champêtre qui dureront une dizaine de jours en vase.
Si vous n’avez pas rabattu les tiges après floraison, les capitules desséchés suspendus à leurs tiges inflexibles, prolongeront à la morne saison ; leurs graines laissées en place feront tout l’hiver, le régal de certains oiseaux.
Le Kalimeris est une plante très rustique, au moins jusqu’à -20°C, qui peut être cultivée du Nord au Sud de la France. Très tolérant, il se plaira partout, en tous sols, à toutes expositions et sous tous les climats. Jamais malade, robuste, une fois bien installé, il ne craint ni le vent, ni la pluie, ni le soleil brûlant, ni la sécheresse ponctuelle.
Il fleurit les massifs naturalistes ensoleillés, illumine les talus secs et les mixed-borders. C’est une plante parfaite pour les jardins sans jardiniers, dans lesquels on le marie avec d’autres plantes faciles à vivre comme les Heleniums, les asters, achillées, les géraniums vivaces ou les campanules.
Le genre Kalimeris comprend une dizaine d’espèces dont la plus cultivée dans nos jardins est Kalimeris incisa duquel sont issus les nombreux cultivars ‘Madiva’ le plus haut des Kalimeris aux grandes fleurs blanches lavées de bleu, ‘Alba’, ‘Blue Star’ ou encore ‘Nana Blue’, un Kalimeris de petite taille qui ne dépasse pas les 40 cm, parfait pour les bordures d’allée ou la culture en pot.
Chez cette vivace encore trop méconnue et injustement peu répandue dans les jardins, les couleurs et les hauteurs se multiplient peu à peu dans des variations de bleus et de mauve, et de nouveaux cultivars tout aussi vigoureux que le type, font leur apparition.
On trouve aussi parfois, chez les pépiniéristes passionnés, des espèces plus confidentielles comme Kalimeris pinnatifada et son cultivar ‘hortensis’ aux fleurs très doubles, Kalimeris mongolica et le Kalimeris yomena au feuillage fortement panaché d’ivoire.
Très facile à cultiver, d’une belle rusticité (au-delà de -15°C), le Kalimeris pousse partout en France. Robuste, jamais malade et sans exigences, il est d’une adaptabilité hors du commun. Une fois bien enraciné, il prospère d’année en année, toujours plus florifère. Donnez-lui de l’espace car ses racines aiment se propager tranquillement.
C’est une vivace de bonne tenue, toutefois, choisissez-lui un endroit de préférence à l’abri du vent susceptible de faire coucher les touffes même si ses tiges bien dressées se tiennent la plupart du temps sans tuteurage.
Il pousse dans tout sol ordinaire à riche, bien drainé, et à tendance fraîche. S’il accepte tout type de sol pas trop sec, il prendra toute sa mesure dans une terre riche en matière organique qui lui permettra de bien fleurir.
Il aime une exposition ensoleillée mais fleurit aussi bien à la mi-ombre légère.
Il aime un sol bien drainé qui reste frais durant l’été, surtout les premières années. Le Kalimeris tolérera mieux la sécheresse passagère et la chaleur intense, une fois bien établi.
Extraordinairement polyvalent, avec son allure champêtre, il s’impose dans les jardins sauvages et sans entretien. Il s’intègre à tous les décors en s’épanouissant dans le rôle de plante de milieu, de fond de massif ou encore de plate-bande ou de bordure d’allée.
En compagnie d’autres vivaces comme lui faciles à vivre, il compose des scènes d’aspect naturel, empreintes d’une grande fraîcheur. Les plus hauts Kalimeris (‘Madiva’) ayant une légère tendance à se dénuder de la base, seront indispensables à l’arrière-plan des massifs d’été, auxquels ils apporteront beaucoup de hauteur et de légèreté.
Certaines variétés, de taille raisonnable (Kalimeris ‘Nana Blue’,) se prêtent également à la culture en pot.
Le Kalimeris peut se planter presque toute l’année, en dehors des périodes de gel et de forte chaleur, avec une préférence pour le printemps de février à avril ou l’automne de septembre à novembre.
En pleine terre :
Plantez en groupes de 5 à 6 plants qui formeront des nuées vaporeuses d’étoiles bleues ou blanches, en respectant une distance de 30 cm entre les pieds : il craint la concurrence des racines.
En pot ou jardinière :
Choisissez une variété à petit développement et un grand pot d’au moins 30 cm de diamètre et de profondeur.
Le Kalimeris nécessite vraiment peu de surveillance. Une fois bien enraciné dans un sol qui lui convient, il se passe de soins et d’arrosage.
Robuste et extraordinairement adaptable, il ne craint quasiment rien : ni les maladies, ni les intempéries, ni le gel, ni le vent violent, face auquel ses tiges ne plient pas, ni la sécheresse, ni la chaleur intense qu’il supporte ponctuellement.
L’été, arrosez la première année de plantation puis seulement en cas de sécheresse prolongée par la suite.
Ôtez les fleurs fanées pour favoriser l’apparition des suivantes tout l’été : coupez juste sous les fleurs.
Dès que les nouvelles tiges mesurent 30 à 40 cm, pincez-les en supprimant la tête, pour ramifier la plante et augmenter la floraison. De cette manière, la touffe s’étoffera, offrira plus de résistance aux intempéries et se passera peut-être du coup d’un tuteurage peu esthétique !
En fin de saison, laissez sur pied quelques tiges défleuries : très graphiques, elles animeront le massif en hiver.
Au printemps ou à l’automne, rabattez le reste des tiges desséchées au ras du sol.
Paillez en mai, pour garantir au pied une fraîcheur suffisante en été. Apportez du compost chaque année, à l’automne.
En vieillissant la plante peut présenter une floraison plus clairsemée et des signes de fatigue : il faut remplacer les Kalimeris régulièrement. Tous les 3 ou 4 ans, au printemps, avant qu’ils ne déclinent, divisez les souches les plus imposantes.
Le Kalimeris se multiplie facilement par division ou par bouturage au printemps.
La division des touffes, se fait au bout de 2 ou 3 ans, lorsque la plante est bien installée. Divisez en mars -avril.
Pour bouturer le kalimeris :
Le Kalimeris est la vivace la mieux adaptée aux décors de longue durée auxquels il apporte luminosité, fraîcheur et naturel. Sa floraison abondante et longue dans des harmonies de tons frais de blanc, de bleu ou mauve est indispensable dans un jardin d’esprit d’inspiration naturaliste, les jardins de cottage et les jardins de prairie contemporains.
Il est parfait pour illuminer les mixed-borders dans l’esprit des jardins de cottage ou pour composer des scènes d’aspect champêtre, des massifs romantiques et rafraîchissants au cœur de l’été avec d’autres vivaces demandant comme lui peu de soins et d’entretien. C’est une plante parfaite pour les jardins sans jardiniers !
Les fleurs s’harmonisent avec les roses et les pourpres et avec presque toutes les autres couleurs, à l’exception peut-être du lavande et du mauve qui, en comparaison, sont trop proches et risquent de paraître éteints.
Associez Kalimeris et Asters, ils formeront des nuées vaporeuses de petites fleurs étoilées et prolongeront les floraisons dans le jardin jusqu’à la fin de l’été et pendant l’automne, tant qu’il ne gèle pas.
Pour fleurir un coin ensoleillé à moindre effort, organisez autour du Kalimeris, un mélange opulent de vivaces d’été robustes et très rustiques qui poussent toutes seules, devenant chaque année plus opulentes et florifères ; comme les Marguerites, les Achillées, les Heleniums, les échinacées blanches et pourpres, Knautia Arvensis – Scabieuse Des Champs, les Coréopsis, les Echinops ou des Phlox Paniculata Lilac Times, des Sauges violettes, des sedums, de la Coquelourde des jardins, des Sanguisorbes, des Eupatoires.
Le Kalimeris accompagnera les couleurs de l’automne jusqu’aux portes de l’hiver avec les chrysanthèmes d’automne et les anémones du Japon. Pour un coup d’éclat qui ne dure que quelques semaines, le rouge intense d’un fusain fera ressortir les fleurs finement étoilées d’un Kalimeris à floraison estivale d’un joli bleu comme ‘Blue Star’.
Dans une composition plus romantique, il sera très joli associé en massif au pied des rosiers anciens, d’un Buddleia ou d’Euphorbia characias. Les petites marguerites bleu pâle seront charmantes au voisinage du feuillage gris bleuté très duveteux du Stachys bysantina.
Placé en bordure de massif, ce gros buisson mousseux et florifère soulignera la silhouette élancée et habillera les pieds des grandes estivales, telles que les Lavatères, Juliennes des Dames, roses trémières, les Lupins ou les Épilobes.
Pour donner une touche fraîche à une bordure estivale, installez le Kalimeris aux côtés d’un rosier couvre-sol (‘Larissa’), de géraniums vivaces tapissants à fleurs violet-pourpre.
Dans une belle scène naturaliste, les graminées aux inflorescences plumeuses telles que le Pennisetum, le Calamagrostis x acutiflora ‘Karl Foerster’ aux beaux épis rose-bronze ou le Panicum virgatum‘Warrior’ au feuillage rouge-brun en automne et à la fine floraison brun-rose en été et des vivaces au port léger comme le Gaura ou la Gypsophile apporteront de la rondeur, le flou et le mouvement qui manquent un peu aux Kalimeris un peu stricte.
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