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Le Daphné également connu sous les noms de Bois-joli ou Bois-gentil est un arbuste rustique, à la délicate floraison étoilée, blanche ou rose, qui exhale un parfum exceptionnel.
Si le Daphné tient son nom de cette nymphe de la mythologie grecque changée en laurier, c’est que son parfum divin séduit jusqu’à l’envoûtement.
En effet, le Daphne odora, le plus parfumé de tous les Daphnés, dégage une fragrance très fleurie qui évoque, suivant les nez, l’œillet, le jasmin voire la jacinthe, le tout mêlé d’agrumes et épicé d’un soupçon de girofle. Une odeur délicieusement complexe qui se répand à plusieurs mètres alentour !
Encore trop peu connus, les Daphnés font pourtant partie, avec le Sarcococca et l’Hamamélis, des rares arbustes parfumés en hiver. Et si le Daphné mezereum fleurit précocement dès le mois de février, d’autres comme le Daphne, (x) transatlantica attendent le mois de juin.
Mais cette floraison généreuse n’est pas son seul atout ! Son feuillage brillant et coriace peut rester persistant à la faveur d’un hiver doux.
Relativement accommodant en sol léger, acide et bien drainé, le Daphné pousse à l’ombre des arbres, à l’abri de l’humidité stagnante, des vents froids et des fortes chaleurs.
De croissance très lente, c’est un arbuste peu encombrant, qui convient bien aux petits jardins et aux jardins de ville. Sa famille assez hétérogène comprend des variétés naines, idéales en rocailles fraîches et des espèces hautes qui montent jusqu’à 1,5 mètre de haut pour autant de large.
Sa taille modérée et sa silhouette compacte permettent de nombreuses utilisations : en massif, en haie, en plate-bande, en couvre-sol, et même en pot.
Si l’endroit idéal profiter de son parfum puissant se situe à proximité de la maison, il serait également parfait pour garnir les zones un peu délaissées et ombragées, là où peu de plantes fleurissent. Il pourra être associé à des plantes de l’ombre et de terre de bruyère mais aussi à des végétaux au feuillage plus contrasté : camélias, fougères, hamamélis, skimmias, aucubas ou azalées et avec des hellébores et des perce-neige, des crocus, des narcisses.
En hiver ou au printemps, le Daphné enchante le jardin, exhalant une odeur délicieuse. Découvrez cet arbuste surprenant !
Le Daphné, surnommé « Bois Joli » ou encore « Bois Gentil », est un cousin du « Garou » de nos montagnes. C’est un arbuste appartenant à la famille des Thyméléacées, originaire d’Europe, d’Afrique du Nord et d’Asie tempérée. Il pousse dans les bois et fourrés ou dans les zones montagneuses.
Une cinquantaine d’espèces d’arbustes à feuillage caduc, persistant ou semi-persistant composent le genre mais seulement quelques espèces sont cultivées en France, parmi elles : le Daphne mezereum, d’une excellente rusticité jusqu’à -30 ° C, le Daphne cneorum, une variété naine tout aussi rustique, le Daphne laureola, qui reste vert en toutes saisons, le Daphne x burkwoodii est une espèce haute, le Daphne alpina et, le plus connu, Daphne odora ou Daphné odorant qui est une espèce protégée en France. Ce dernier est aussi le plus parfumé des Daphnés notamment son célèbre cultivar ‘Aureomarginata’.
Sa famille assez hétérogène comprend des variétés rampantes et couvre-sol comme le Daphne cneorum qui ne dépasse pas 20 cm de haut à maturité tandis que les espèces hautes comme le Daphne x burkwoodii montent jusqu’à 1,5 mètre pour autant de large.
De croissance très lente, le Daphné est un arbuste peu encombrant, qui convient bien aux petits jardins. Il a une durée de vie assez courte pour un arbuste, de 15 à 30 ans selon les variétés.
Le port de ce petit arbuste diffère selon les espèces : ouvert aux rameaux dressés, buissonnant assez touffu et arrondi, parfois étalé ou encore prostré. La silhouette, plus ou moins ramifiée porte des rameaux épais et souples. Le Daphné met un peu de temps à s’installer : la plante développe très lentement ses racines dans le sol. Néanmoins, il ne fait pas partie de ces arbustes que l’on finit par l’oublier : son parfum puissant sait se faire rappeler à notre bon souvenir !
Remarquablement florifère, le Daphné fleurit, suivant les espèces et variétés, en hiver, au printemps ou en été. Certaines sont très précoces et voient leurs fleurs s’ouvrir dès le mois de février (Daphne mezereum var.’ rubra’, Daphne odora ‘Aureomarginata’) alors que d’autres attendent que le printemps s’installe, en avril-mai, pour se montrer.
Il se pare de délicates petites fleurs étoilées à quatre pétales charnus, pointus, recourbés vers l’extérieur. Elles évoquent un peu celles du jasmin. Roses dragée, blanches, jaunes, pourpres, rouges, lavande ou lilas, elles apparaissent avant les feuilles et se réunissent à l’extrémité des rameaux nus en grosses ombelles pouvant porter jusqu’à une trentaine de fleurs. Une plante bien établie produira jusqu’à 10 bouquets de fleurs sur chaque rameau.
La plupart des Daphnés sont très parfumés et répandent des effluves complexes, à la fois doux et agrestes. Ces senteurs puissantes empreintes d’exotisme rappellent à la fois l’œillet, le jasmin, la jacinthe, rehaussé d’une pointe épicée de girofle et de notes citronnées.
Selon les variétés, cette floraison exceptionnelle peut marquer un temps de repos en juillet-août, puis remonter plus ou moins discrètement en fin d’été vers septembre-octobre, offrant des fleurs à peu près 6 mois dans l’année. Cette floraison étalée embaume le jardin 20 m à la ronde et dure plusieurs semaines.
Le feuillage des Daphné est persistant, semi-persistant ou caduc suivant les espèces. Alternes, simples et coriaces, lisses à duveteuses, vert foncé ou vert brillant, ovales à lancéolées, ses feuilles sont longues de quelques centimètres pour les espèces naines ou atteignent près de 10 cm pour les espèces les plus hautes. Larges de 1 à 2,5 cm, elles sont groupées en rosettes à la cime des branches puis elles s’étalent sur toute la longueur des tiges de l’année. Pour certains cultivars, ce joli feuillage vert sombre sera panaché ou marginé de jaune. Pour d’autres, il sera très touffu et évoquera celui du laurier.
Les fruits rouges, vénéneux, se développent à la suite des fleurs sur les rameaux non feuillées de l’année précédente : ces baies décoratives rouge vif comme des groseilles, blanches, orange ou pourpre noir sont toxiques par ingestion. Pouvant être confondues avec des fruits, nous attirons votre attention sur ce fait si vous avez de jeunes enfants.
Cet hôte des sous-bois se plaît à la mi-ombre et préfère les lieux ombragés ou la lumière du soleil indirecte est filtrée par les arbres. Daphné laureola tolère l’ombre épaisse. Les Daphnés sont parfaits pour les jardins exposés au nord, nord-est. Un endroit protégé des gelées printanières et des vents froids est idéal.
Il s’installe un peu partout en France, sauf peut-être en climat méditerranéen : il redoute les trop fortes chaleurs et le soleil brûlant. Il se plaira très bien en climat doux et humide, comme celui de la Bretagne.
Bien que le Daphné fasse preuve, d’une manière générale, d’une bonne rusticité (il peut survivre à des gels de l’ordre de – 10 ° – 15 °C), mieux vaut le protéger des grands froids. Un gel intense peut faire tomber le feuillage jusqu’à l’apparition de nouvelles feuilles au printemps.
Moins capricieux que le Kalmia mais plus vulnérable qu’un Sarcococca, le Daphné n’est pas très compliqué à cultiver… pour peu qu’il soit installé dans un sol qui lui convient : léger et acide. Il fleurit alors durant de nombreuses années, sans demander d’entretien. Il affectionne les sols correctement drainés, frais et légers. Très sensible à l’excès d’eau, il craint l’humidité stagnante des terres lourdes, compactes, asphyxiantes. Une terre plutôt neutre ou légèrement acide, riche en humus mais sans excès lui convient très. Les espèces D. mezerum ou D. cneorum acceptent le calcaire tandis que D. odora est typique d’une terre de bruyère.
Retenez surtout que c’est un adepte de la modération : un sol pas trop humide mais pas trop sec non plus, du soleil mais légèrement voilé, une terre humifère mais non fertilisée à grands coups de fumier… Avec lui tout est question de dosage !
Il existe une cinquantaine de variétés de Daphnés à travers le monde mais seulement quelques espèces en France que l’on pourrait diviser entre les Daphnés nains au port bas et les espèces hautes.
Les espèces naines (10-50 cm de haut), compactes, sont parfaites en rocaille fraîche ou pour une culture en pot :
Elles sont parfaites en massif de bruyère ou en isolé, mais pour profiter de son parfum, il est judicieux de les placer près de la maison ou d’une allée.
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Les plus belles floraisons hivernalesLes Daphnés s’installent un peu partout en France, sauf peut-être en climat méditerranéen, car il redoute autant les trop fortes chaleurs que le soleil brûlant. Il aime les climats doux et humides, comme celui de la Bretagne. De croissance lente, le Daphné est un arbuste peu encombrant, qui convient bien aux petits jardins ou aux jardins de ville.
Le Daphné met du temps à s’installer. Il supporte très mal la transplantation et il sera préférable de lui choisir un emplacement définitif.
Il se cultive dans un coin plutôt ombragé du jardin : il s’épanouira à mi-ombre, à l’abri du soleil direct, aux pieds des arbres qui lui apporteront une fraîcheur bienfaisante. Il préfère une situation dégagée plutôt que l’abri d’un mur : il a aussi besoin d’air. Les Daphnés sont parfaits pour les jardins exposés au nord, nord-est.
Il n’est pas compliqué à cultiver quand on possède une terre légère et plutôt acide.
Plantez-le dans un terrain frais mais où l’eau ne stagne jamais et à l’abri des courants d’air froids. Il se plaît dans un sol humifère, plutôt neutre ou légèrement acide… Ce qu’il craint, ce sont les terres lourdes, compactes, asphyxiantes. Notez, au passage, que certaines espèces comme D. mezereum s’accommodent parfaitement d’un sol calcaire.
Le Daphné s’utilise aussi bien en massif, qu’en isolé ou en pot. Plantez les espèces hautes dans un emplacement boisé ou abrité, pour garnir une haie, les plantes basses en rocaille ou en bordure de plate-bande exposées à mi-ombre. Plantez-le près de la maison pour profiter de son parfum un maximum.
En pot, c’est un joli sujet décoratif toute l’année si vous choisissez des variétés compactes à feuillage persistant vert et luisant comme Daphne alpina, Daphne arbuscula ou Daphne jasminea.
Les Daphnés se plantent, de préférence en automne dans les régions aux hivers doux ou au printemps, dans le reste du pays, et en particulier dans le nord de la France.
Les Daphnés n’appréciant pas les transplantations, vous ne trouverez que de jeunes sujets en pépinière. La plantation est très simple mais nécessite néanmoins quelques précautions qui garantiront sa reprise :
Les Daphnés sont magnifiques en pot ! Il faut choisir des variétés à feuillage persistant et des formes très compactes comme Daphne alpina, Daphne arbuscula, Daphne jasminea, Daphne petrea. Prévoyez impérativement un mélange terreux riche, frais, très drainant, car il ne supporte pas l’humidité stagnante. Choisissez un grand contenant d’une trentaine de litres dès le départ car c’est un susceptible qui n’apprécie guère les rempotages. En pot, il ne supportera pas la sécheresse même momentanée. Le Daphné a besoin d’eau toute l’année s’il est cultivé en pot, en prenant soin de laisser sécher au moins 24 heures entre deux arrosages en été. En hiver, il supportera davantage le sec, espacez les arrosages toutes les trois semaines. Une fertilisation à partir de la deuxième année de culture est bienvenue.
→ En savoir plus sur la culture du Daphne en pot dans notre fiche conseil !
Une fois le Daphné bien installé, il ne requiert que peu de soins. Vous pouvez, pour entretenir la fertilité du substrat incorporer chaque année un peu de compost par griffage superficiel à son pied. Pensez ensuite à étaler une bonne couche de paillage organique afin de maintenir ses racines au frais durant les chaleurs estivales.
De croissance lente, sa taille est inutile. N’intervenez que pour supprimer d’éventuels rameaux morts ou pour limiter légèrement son encombrement. Mais attention, sachez qu’une taille sévère ne sera pas supportée et pourrait provoquer, dans le pire des cas, la mort de la plante tout entière.
Le Daphné présente une résistance moyenne aux maladies, il redoute notamment les maladies cryptogamiques causées par les champignons. Son principal ennemi : le Phytophthora, un champignon tellurique dont l’attaque peut le tuer de manière aussi soudaine que radicale.
Le Phytophthora, littéralement « destructeur de plantes » en grec, se développe dans des conditions d’humidité persistante favorisées lors d’arrosages trop fréquents, et associées à des températures autour de 15 – 16 ° C. La pourriture s’introduit au niveau du collet et des racines les empêchant de jouer leur rôle essentiel d’apporteur d’eau et d’éléments nutritifs. Alors, le feuillage se décolore, brunit ou rougit, puis se dessèche. La plante meurt rapidement. Il n’existe pas de méthode de lutte mais ces ennuis sont rares si les conseils de culture sont respectés : plantez en sol sain, évitez les excès d’eau dans le sol et améliorez le drainage. Si malgré ces précautions, l’attaque a eu lieu : arrachez les plantes atteintes et enlevez la terre qui entoure leurs racines. Ne replantez jamais des espèces sensibles au même endroit.
Par ailleurs, le Daphné peut parfois être victime du Marssonina daphnes, un virus qui provoque également la mort rapide de la plante : on le combat en vaporisant un fongicide au printemps.
Si votre arbuste fructifie, vous pouvez tenter le semis mais c’est une opération difficile à réussir que nous ne conseillons pas.
Le marcottage est la méthode la plus simple et la moins fastidieuse pour multiplier le Daphné mais, c’est très long. Au printemps, couchez un de ses rameaux en l’inclinant vers le sol, en enterrant une partie en vue de son enracinement. Tuteurez la partie aérienne. A la fin de l’été, vous pourrez séparer la marcotte du pied mère si elle a suffisamment de racines en sectionnant la tige à l’endroit où elle s’enfonce dans le sol.
La durée de vie du Daphné pouvant être raccourcie brutalement par une attaque de Phytophthora, pensez à faire régulièrement des boutures. Après floraison, en août-septembre, prélevez des rameaux semi-ligneux ou semi-aoûtés de 10 à 20 cm, (c’est-à-dire à partir de tiges qui ont poussé au printemps et commencent à partir de juillet-août leur transformation de bois tendre en bois dur). Plantez-les dans un substrat léger et drainant. Humidifiez régulièrement la bouture avec un pulvérisateur. Installez-les en godets dès qu’elle a formé des racines. Hivernez-les hors gel : une température constante d’au minimum 20 °C est indispensable à un enracinement en 8 à 10 semaines. Plantez en pleine terre au printemps suivant.
Plantez-le en compagnie de bulbes précoces et de plantes de mi-ombre comme les Fougères, les Bruyères, les Heuchères ou les Ophiopogons.
Le Daphne s’utilise aussi bien en massif, qu’en isolé ou en grande potée. Plantez les espèces hautes sous une ombre légère dans un emplacement boisé ou abrité, les plantes basses (Daphne alpina, Daphne arbuscula ou Daphne jasminea) en rocailles fraîches ou en bordure de plate-bande. Associé à des plantes couvre-sol peu envahissantes comme le Pachysandra terminalis, il bénéficiera d’une bonne protection contre la sécheresse. Plantez-le près de la maison pour profiter de son parfum un maximum. Il est parfait dans un massif de terre de bruyère, en compagnie d’autres Daphnés, de Camélias d’automne, d’Azalées caduques et d’Hortensias. Créez une scène tout en raffinement avec un petit Erable du Japon et des Fougères… ou très originale avec le Leptospermum ‘Karo Pearl’ et le Calycanthus ‘Venus’. Au pied, plantez des bruyères, et petits bulbes à floraison précoce (Aconit d’hiver, narcisses, crocus) pour créer un tapis harmonieux et fleuri.
Enfin, n’hésitez pas à transporter son merveilleux parfum jusque dans la maison : les rameaux fleuris sont également très beaux dans les bouquets printaniers, mêlés à ceux des Cognassiers du Japon ou des Prunus.
→ Découvrez d’autres idées d’association avec le Daphne dans notre fiche conseil !
Mon Daphné a l’air en forme mais ne pousse pas, est-ce normal ?
Oui c’est normal. Il fait partie de ces végétaux qui prennent leur temps pour s’installer… et qui poussent très lentement ensuite. Un petit inconvénient largement compensé pas son parfum et le fait qu’il ne requière aucune taille.
Mon Daphné a perdu ses feuilles après une grosse gelée que faire ?
Si la météo s’annonce plus clémente dans les jours à venir, arrosez-le (mais avec modération) et attendez : il devrait reprendre au printemps. À l’avenir, pour lui éviter ce stress inutile, pensez à le protéger si les températures prévues descendent en dessous de -5 °C, cela lui permettra de conserver son feuillage.
Les feuilles de mon Daphné odorant jaunissent, pourquoi ?
Il se peut fort qu’il soit atteint de chlorose… La terre est trop calcaire pour lui, mieux vaut le déplacer et le replanter… si c’est encore possible.
Mon Daphné perd ses feuilles après plantation est-ce grave ?
S’il ne perd que quelques feuilles basses, ce n’est pas grave. Si cela s’aggrave, il se peut fort que le sol soit trop lourd ou qu’il soit exposé à un soleil trop ardent. N’attendez pas trop et déplacez-le. Si le sol est très drainant et sec : arrosez.
Mon daphné est un peu déséquilibré visuellement. Puis-je le tailler ?
Une taille légère est envisageable, en particulier pour supprimer le bois mort ou pour lui redonner une jolie forme. Mais, attention, il est aussi sensible des pieds que des branches ! Et une taille sévère risque de provoquer le dépérissement brutal des rameaux, voire de la plante tout entière.