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Quel jardin n’embaume pas les effluves fleuris de Lilas au printemps ? Loin d’être désuet, le lilas est même indispensable dans nos jardins !
Le Lilas commun ou Syringa vulgaris et ses hybrides, plus compacts et remontants, opèrent depuis quelques années un retour sur le devant de la scène. Dénuée de prétention, la floraison printanière du Lilas incarne le charme tout simple et la fraîcheur des jardins anciens.
Lilas blanc, Lilas à feuilles de persil ou incontournable lilas à fleurs mauve (Syringa vulgaris ‘Capitaine Baltet’), cet arbuste à fleurs roi du printemps, apporte toujours une touche de nostalgie dans une haie fleurie, en isolé, dans un massif d’arbustes, sur une terrasse ou dans les bouquets.
Doté d’une bonne rusticité (souvent bien au-delà de -15°C), facile à cultiver et très vigoureux, il allie la simplicité à la robustesse des plantes anciennes. Cet arbre emblématique du mois de mai se plait dans tous les jardins d’esprit naturaliste comme dans les jardins de ville.
Comment planter un lilas, procéder au bouturage du lilas, effectuer la taille d’un lilas, voici tous nos conseils pour réussir le Lilas et vous assurer un beau printemps fleuri en trouvant le Lilas qu’il vous manque dans notre collection unique !
Arbuste ou arbrisseau caduc de la famille des oléacées, le Lilas ou Syringa est originaire du sud-est de l’Europe et de l’ouest de l’Asie (des Balkans jusqu’en Chine et au Japon) où il pousse dans les sous-bois, les buissons et les collines pierreuses.
Le genre Syringa comprend une vingtaine d’espèces dont la plus connue et la plus emblématique de nos jardins est Syringa vulgaris, le lilas commun qui comprend le plus grand nombre de variétés. Le botaniste français de la fin du XIXème siècle, Victor Lemoine, a en effet élargi considérablement cette famille en donnant naissance à plus de 64 cultivars de Syringa vulgaris.
Avec les variétés hybrides, on dénombre aujourd’hui plus de 2 000 cultivars. Car le genre ne se limite pas au lilas commun, on distingue notamment les lilas à petites feuilles comme le Lilas de Chine (S. x chinensis) et Syringa microphylla, ils sont de taille moyenne, avec de très nombreuses petites fleurs, les lilas tardifs à l’instar des cultivars de Syringa x prestoniae, le Lilas à fleurs de jacinthe (Syringa hyacinthiflora), un hybride vigoureux ou encore le Lilas de Perse (Syringa (x) persica) avec son feuillage curieusement découpé ressemblant à des feuilles de persil.
Autant d’espèces et de variétés à ne pas confondre avec le seringat (Philadelphus) doté lui aussi de fleurs blanches parfumées, ni avec le lilas des Indes (Lagerstroemia), tous deux issus de familles botaniquement différentes.
Le lilas forme un vigoureux arbuste, dense au port dressé dans son jeune âge, buissonnant arrondi ou parfois conique, souple et aéré ayant tendance à s’étaler avec le temps lui donnant un air alangui et délicieusement nonchalant.
Certains Syringa microphylla (‘Red Pixie’) possèdent un port presque pleureur avec des branches quasiment horizontales, presque arquées. Comme les seringats, le lilas forme spontanément un buisson ramifié composé de multiples tiges grêles et effilées portant chacun de nombreuses feuilles, ce qui confère au lilas un port dense.
Ancré sur de multiples troncs, il pousse vigoureusement et assez rapidement, sa vitesse de croissance augmente avec les années : il grandit d’environ 50 cm par an. La taille varie de 2 à 7 m à l’âge adulte pour une envergure de 2 à 3 m mais il ne dépasse pas généralement 2 à 4 m dans nos jardins. Les Lilas de Chine et les Syringa (x) persica ont un port particulièrement compact, s’élevant à maturité à 1,80 m maximum : à peine plus larges que hauts, ce sont des atouts précieux dans les petits jardins.
Parfois, chez certains, l’écorce se desquame avec l’âge.
Au printemps, les rameaux délicats s’habillent d’une belle végétation sans prétention.
Le feuillage diffère considérablement d’une espèce à l’autre. Les feuilles sont opposées et entières. Le Lilas commun possède des feuilles caduques ovales, longuement pétiolées, reconnaissables à leur forme en cœur. Le Syringa (x) persica ou « Lilas à feuilles de persil » se distingue du Lilas commun par son feuillage curieusement découpé en lobes longs et étroits. Tandis que le Syringa pinnatifolia, une espèce botanique chinoise, présente des feuilles pennées composées de 7 à 11 folioles lancéolées.
Longues de 3 à 15 cm, elles apparaissent au printemps sous une couleur vert clair à vert sombre. Chez le Lilas à fleurs de jacinthe, elles prennent une belle coloration automnale, virant au doré et au bronze. Elles sont pour la plupart satinées mais présentent parfois un revers velouté.
Au printemps, des épis de fleurs submergent ce beau feuillage d’un vert rafraîchissant recouvrant toute la plante de bouquets denses et odorants. Son abondante floraison printanière charmante de simplicité, embaume les jardins et les bouquets depuis plus d’un siècle. Les fleurs de lilas sont parmi les premières à nous gratifier de leur authentique parfum très fleuri et raffiné de lilas.
D’avril à mai, parfois jusqu’en juin, puis en septembre selon le climat et les espèces, elles apparaissent en boutons floraux, bien serrés les uns contre les autres. Ils éclosent progressivement, en très petites fleurs tubulaires simples, doubles ou semi-doubles, finissant par former de belles grappes réunies en panicules pyramidales ou coniques, plus ou moins grandes et éparses, aussi appelées thyrses. Groupées par 2 à l’extrémité des rameaux de l’année précédente, ces inflorescences sont longues de 4 à 30 cm.
Les fleurs du Lilas de perse apparaissent en thyrses plus éparses. Longues et fines, elles sont composées de 4 lobes plus étroits et retroussés que chez celles du lilas commun.
Si en persan, « lilac » signifie « mauve », sa couleur d’origine, les fleurons prennent des coloris variés blanc pur, lilas pâle, rose pur à rose-violet, bleu-mauve clair ou encore rouge rosé, bordeaux pourpré à rouge lie de vin. Certaines variétés (Lilas ‘Sensation’) présentent une floraison bicolore relativement rare chez les lilas.
La floraison dure 15 jours à 1 mois selon les régions et certains hybrides (lilas de la série Bloomerang®) sont dotés d’une floraison bien remontante, jusqu’aux premiers froids.
Très mellifère, elle attire bon nombre d’abeilles et de papillons.
Les grappes délicieusement parfumées constituent des bouquets printaniers frais mais éphémères; en vase, elles ont tendance à flétrir très vite en deux à trois jours.
Parfaitement rustique (-25°C), le lilas s’adapte à tous nos climats et est très facile à cultiver au soleil ou à mi-ombre en sol ordinaire bien drainé même très calcaire. Cet arbuste peu exigeant trouve sa place dans tous les jardins, plutôt utilisé en isolé, en massif d’arbustes ou en bosquet, laissé à sa forme naturelle, dans de grandes haies fleuries ou même sur une terrasse ou un balcon, installé dans un grand bac. Très drageonnant, le Lilas finit par s’étendre jusqu’à former un véritable petit bosquet au fil des ans. Longévif, il a une durée de vie de 20 à 40 ans.
Il existe une vingtaine d’espèces de lilas mais c’est le lilas commun ou Syringa vulgaris qui est le plus répandu dans nos jardins. Cette espèce décline le plus grand nombre de variétés avec des coloris variés allant du blanc pur au bleu-mauve clair en passant par le rose clair et le violet marginé de blanc.
Le genre compte aujourd’hui plus de 2 000 cultivars et hybrides. On distingue les lilas à fleurs simples et ceux à fleurs doubles, les lilas à petites feuilles comme le Lilas de Chine (S. x chinensis) et Syringa microphylla et les lilas tardifs ou remontants. On trouve aujourd’hui des lilas nains bien adaptés aux petits jardins comme à la culture en pot. Certains hybrides sont exceptionnels par leur parfum notamment ceux de la série Bloomerang qui offrent de surcroît une floraison remontante. Tous sont des arbustes à fleurs très rustiques et remarquablement faciles à vivre.
Très rustique (jusqu’à -29°C) une fois établi, le Lilas supporte le vent comme les fortes gelées en hiver et s’accommodera bien de la sécheresse estivale. Cet arbuste ne craint pas les grands froids, les appréciant même, un hiver assez rigoureux encouragera sa floraison. Cette belle rusticité lui garantit une longue vie dans toutes les régions. C’est un arbuste incontournable au nord de la Loire qui supporte aussi le climat méditerranéen à mi-ombre et en maintenant le sol frais et humide.
Le lilas ne fleurit bien qu’au soleil où il donne un maximum de fleurs mais tolérera une exposition partiellement ombragée, surtout dans les régions du sud de la France. Offrez-lui une exposition ensoleillée d’au moins 6 heures par jour. L’ombre amoindrit considérablement sa floraison.
S’il s’accommode de toute terre ordinaire, le lilas donnera le meilleur de lui-même dans un sol frais, bien drainé, profond, assez riche, supportant même une terre calcaire. Il est facile à cultiver en sol drainant car il redoute l’excès d’humidité et les emplacements où l’eau peut stagner en hiver.
Avec sa nature assez polyvalente, le lilas trouve sa place dans tous les jardins naturels même dans les petits espaces, formant de jolis points de focaux. Ses utilisations sont multiples. Sa nature très drageonnante lui permet de constituer rapidement des bosquets très florifères : laisser-lui suffisamment de place pour se développer.
Il peut être planté en lisière de bosquet, devant des arbres plus hauts, en groupe ou en isolé.
Il fleurit également les grandes bordures, les arrière-plans de massif, les grandes haies libres, mêlé à d’autres arbustes afin d’alterner les floraisons, avec différentes variétés de lilas, des Forsythias, et des buddleias. Sachez bien l’entourer car une fois sa floraison terminée, il retombe sagement dans l’anonymat, devenant quelconque. Plantez-le à proximité de la maison ou d’un lieu de passage, pour profiter pleinement de son parfum envoûtant.
Plantez le Lilas en automne, de septembre à novembre pour favoriser l’enracinement avant l’hiver ou au printemps, de mars à mai, lorsque tout risque de gel est écarté et à condition d’accentuer l’arrosage.
De caractère drageonnant, le Lilas a besoin de suffisamment d’espace pour se développer. Selon les variétés, laissez 1 à 3 mètres entre chaque plant de lilas ou de plantes voisines.
Pour créer une haie: espacez chaque pied de 1 à 2 m. Un sol riche et bien drainé, bien travaillé avec du compost et quelques poignées de fertilisant organique (type algues) favorisera la reprise et le développement de votre lilas.
Les lilas nains (Syringa meyeri ‘Flowerfesta White’, Syringa patula, Syringa microphylla, Syringa Bloomerang ‘Dark Purple’) font sensation dans un grand pot sur la terrasse où ils diffuseront leur délicat parfum fleuri au printemps.
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Lilas : comment bien le tailler ?Rustique souvent au-delà de -15°C, résistant à la sécheresse comme à la pollution atmosphérique, le Lilas est d’une robustesse à toute épreuve. Une fois bien en place, il demande très peu d’entretien pour fleurir abondamment d’année en année et pousser tout seul. Il est le compagnon indispensable des jardins sans jardiniers.
En dehors des deux premiers étés suivant la plantation, où vous suivrez les arrosages pour encourager l’enracinement surtout en cas de sécheresse durable, il est inutile d’arroser le lilas en pleine terre. Arrosez au moins deux fois par mois.
Paillez en été en climat sec, pour maintenir une certaine humidité à son pied.
Apportez du compost ou un sac de terreau au printemps par un griffage superficiel au pied de l’arbuste pour favoriser la croissance, bien que cela ne soit pas indispensable.
Supprimez les fleurs fanées immédiatement après floraison avant qu’elles ne fructifient pour favoriser l’apparition de nouvelles et éviter que l’arbuste ne s’épuise inutilement.
Supprimez régulièrement les drageons au sol pour éviter l’envahissement.
La taille d’entretien est recommandée chaque année afin maintenir un port équilibré et limiter son étalement. Mieux vaut ne pas tailler le lilas trop sévèrement mais privilégier un léger rafraîchissement annuel qui favorisera également la floraison.
→ Pour tout savoir sur la taille du lilas, découvrez notre fiche conseil : Lilas : comment bien le tailler ?«
Le Lilas est un arbuste à fleurs très résistant s’il est correctement installé. Il peut cependant être victime de certains ravageurs et maladies.
Il peut notamment souffrir fréquemment de l’oïdium qui laisse un duvet blanc inesthétique mais pas très inquiétant pour l’arbuste, sur les feuilles surtout en fin d’été et si le temps est chaud et humide. Supprimez les branches atteintes avec un sécateur désinfecté et pulvérisez un fongicide à base de souffre, du purin d’ortie ou traitez avec de la bouillie bordelaise.
Reconnaissables aux amas cotonneux qu’elles laissent sur les feuilles, les cochenilles farineuses peuvent attaquer le lilas l’été. Elles s’éliminent avec un coton imbibé d’alcool à 90°C, puis avec des pulvérisations d’huile de colza à renouveler deux ou trois fois à 15 jours d’intervalle.
Les otiorhynques, des petits coléoptères qui « poinçonnent » le bord des feuilles s’attaquent assez fréquemment au lilas. Ces insectes grignoteurs sortent la nuit : repérez-les et brûlez-les. Pulvérisez le matin des décoctions de tanaisie ou avec une solution de nématodes.
Dans certaines régions, il peut être victime du feu bactérien, redoutable maladie qui peut tuer l’arbuste en quelques semaines. La bactérie se propage rapidement par temps chaud et humide, entre 25 et 30°C. L’arbuste semble brûlé par le feu. Il n’y a pas de traitement curatif, il faut donc prévenir la maladie et empêcher sa propagation. Coupez et brûlez toutes les parties atteintes et pulvérisez en prévention au printemps de la bouille bordelaise ou une décoction de prêle. Si tout l’arbuste est atteint, coupez-le et brûlez-le.
Enfin sol détrempé, le lilas est très sensible aux maladies cryptogamiques comme le pourridié qui entraîne un pourrissement des racines, l’écorce se décolle, également laissant apparaître des plaques blanches. Aucun traitement n’étant efficace, assurez un drainage parfait dès la plantation.
→ En savoir plus sur les maladies et parasites du lilas dans notre fiche conseil.
La multiplication du Lilas peut se faire par boutures herbacées après floraison en juin-juillet ou semi-ligneuses (c’est-à-dire qui se transforment de bois tendre en bois dur) en août-septembre. L’opération est un peu délicate, le prélèvement des drageons reste la méthode la plus facile.
→ Pour tout savoir sur le bouturage du lilas, découvrez notre fiche conseil : Comment faire une bouture de lilas ?
Le lilas drageonne très facilement, le marcottage au printemps reste une méthode simple pour le multiplier tout en maîtrisant son expansion.
Le Lilas produit naturellement des drageons, c’est-à-dire de nouvelles pousses à partir de sa souche, cette méthode de multiplication est la plus simple. Opérez en fin d’automne sur des pieds âgés d’au moins 5 ans à partir de rejets bien développés. Ils mettront cependant de nombreuses années à fleurir !
Emblématique des vieux jardins, de ville ou de campagne, avec sa floraison parfumée alliant le charme et la simplicité, le Lilas est incontestablement le roi des scènes printanières. Tombé dans l’oubli dans les années 1960-1970, avec son allure nonchalante, cet arbuste intemporel revient en force dans nos jardins. Il apporte une touche de fraîcheur délicieusement surannée au jardin, dans un grand massif champêtre, une haie fleurie, en isolé, dans les coins délaissés, en bacs romantiques installés sur la terrasse ou au balcon ainsi que dans les bouquets.
Tous les lilas sont un enchantement avec leur floraison bleu mauve, rose ou blanche. Peu encombrant, résistant à la pollution, c’est un bon arbuste pour les jardins de ville et les petits espaces. C’est un indispensable dans un jardin blanc et dans un jardin romantique.
Dans une grande haie fleurie, il se mêle aux autres arbustes à fleurs, fleurissant après les Forsythias, en même temps que les amélanchiers et avant les buddleias. Il sera parfait en compagnie des andromèdes du Japon, Spirées à fleurs roses ou blanches, Amandier de Chine, cognassiers du Japon.
Jouez avec différents cultivars de lilas pour obtenir un véritable bosquet coloré.
Dans un grand tableau de printemps, il se marie idéalement avec les céanothes, les rhododendrons, les Arbres de Judée ou Cercis .
Les fleurs bleu poudré, rose pâle ou blanc des lilas se déploieront en un délicat nuage à côté des inflorescences compactes et du feuillage ample des hydrangeas, d’un magnolia, d’un calycanthus.
En fond d’un massif naturaliste, il voisinera avec des graminées comme les pennisetum dont le port souple et les inflorescences légères contrasteront avec son feuillage dense et sa silhouette désordonnée. A l’inverse, le port lâche du lilas aux panicules chargées de fleurs offre un contraste de forme avec la rigueur des conifères tels que les ifs.
Le lilas forme des arrière-plans magnifiques pour des rosiers précoces buissonnants.
On pourra draper les grands lilas d’un cultivar rose ou blanc de Clematis montana. Il peut aussi être utilisé en isolé, entouré d’un parterre de rosiers couvre-sol, de pivoines ou d’un céanothe rampant.
Les cultivars aux teintes pastel sont charmants dans un décor naturaliste entourés de campanules et narcisses des poètes.
Les Lilas d’un riche violet-prune se marient bien avec un feuillage pourpre des Prunus, des berbéris ou de lilas plus pâles.
Les plantes à fleurs jaunes qui s’épanouissent en même temps que les lilas créent un contraste jaune/bleu, magnifique avec leur profusion de grosses fleurs mauve ou violettes. Ils offrent une belle complémentarité tout spécialement avec des arbustes au feuillage vert-jaune comme les seringats ou à fleurs jaunes comme les genêts, les cytises et avec des vivaces jaunes à floraison précoce comme les euphorbes, les primevères, les iris germanica.
Le lilas tardifs qui offrent une floraison remontante à l’automne accompagneront celle des rosiers remontants, des grands asters et les gauras.
Camus Bernadette, le 16 Novembre 2020
Bonjour
Où trouver la video qui montre comment faire une bouture de bois sec ? Pour le lilas par exemple à faire en automne
Je l ai regardé et n arrive pas à le retrouver
Merci
Bien cordialement
BernadetteCAMUS
Réponse de Virginie D., le 16 Novembre 2020
Bonjour,
Le lilas se bouture après la floraison, en fin de printemps, vous avez la fiche comment le bouturer dans les articles connexes, en fin de fiche dédiée au lilas.
Sinon, la vidéo pour faire des boutures de bois sec : https://www.youtube.com/watch?v=5fE4KlQf_mQ&t=54s&ab_channel=PromessedeFleurs
Cordialement Virginie D