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Le Liquidambar est sans aucun doute l’un des plus beaux arbres d’ornement pour le jardin. On le retrouve souvent dans les espaces publics comme arbre d’alignement, mais cette majestueuse essence mérite aussi une place de choix au jardin où sa silhouette gracieuse pourra donner toute sa splendeur.
Son principal atout se situe dans son feuillage caduc qui garantit le spectacle à l’automne en virant à l’or, au cuivré et au rouge violacé, autant de nuances chaudes et épicées qui enflamment le jardin quand les jours raccourcissent. L’hiver dévoile son bois précieux, une belle écorce joliment ridée qui ne manque pas de charme, le printemps et l’été son feuillage couleur verte, parfois éclaboussé de jaune.
Si les plus grands sujets comme le Liquidambar styraciflua surnommé plus couramment « Copalme d’Amérique » sont capables d’atteindre 20 m de hauteur, on rencontre également des espèces comme le Liquidambar orientalis ou de nombreux cultivars de dimensions plus modestes qui ne dépassent guère 10 m. Si vous aimez le liquidambar mais que vous le trouvez trop grand et que l’espace est compté dans votre jardin, sachez qu’il existe un liquidambar nain, le Liquidambar styraciflua ‘Gum Ball’, une variété ne dépassant pas 3 m en tous sens qui conviendra bien mieux aux jardins de dimensions réduites.
Rustique, de culture facile, le Liquidambar se plaît au soleil et ne demande pas beaucoup d’attention une fois bien installé.
Avec son port pyramidal, il forme un point de mire remarquable en isolé sur une pelouse, dans un endroit bien dégagé, ou en alignement le long d’une grande allée.
Découvrez sans tarder le liquidambar, cet arbre au feuillage automnal éblouissant qui convient aux grands comme aux petits jardins.
Le Liquidambar, est un arbre caduc de la famille des hamamelidacées, comme les Hamamelis et les Parrotia. Le genre comprend quatre espèces d’arbres originaires des forêts tempérées et des bords de grands cours d’eau d’Amérique, de Turquie et d’Asie.
Le Liquidambar styraciflua, également appelé « Copalme d’Amérique » est l’espèce la plus connue. Elle se décline en de nombreux cultivars sélectionnés pour leur port, leur dimensions plus modestes, la forme et le coloris de leur feuillage à l’instar de ‘Gum ball’, une variété naine ne dépassant pas 3 m, de ‘Golden Sun’ au feuillage jaune clair au printemps puis vert en été ou encore d’‘Aurea’ au feuillage vert moucheté de jaune.
Le Liquidambar orientalis, « Liquidambar d’Orient » ou « Styrax du Levant », natif de Turquie, le Liquidambar acalycina ou « liquidambar de Chine », tous deux plus petits que leur cousin d’Amérique et le Liquidambar formosana originaire de Taïwan, aux feuillages tout aussi magnifiquement colorés en automne, complètent le genre.
Dans son habitat naturel, le Copalme peut atteindre jusqu’à 40 m de hauteur, mais sous nos contrées, il ne dépassera guère 20 m de hauteur en moyenne pour 3 à 5 m d’étalement. Il possède une croissance lente les premières années à assez rapide par la suite. Il forme relativement vite un sujet de belle prestance. Les nouvelles variétés offrent des dimensions plus modestes, dépassant rarement 10 m de hauteur pour 3-4 m de large au bout de 10 ans. Il affiche une très belle longévité d’environ 150 ans.
Elancé ou colonnaire, conique ou pyramidal, plus rarement en boule (‘Gum Ball’) ou arrondi, le port du Liquidambar diffère sensiblement selon les espèces et cultivars. Il prend le plus souvent cependant, une silhouette pyramidale parfois assez irrégulière qui s’arrondit avec l’âge.
Sur une puissante racine pivotante, ce très bel arbre développe un tronc très vertical à l’écorce liégeuse couleur gris foncé devenant brun-rouge et se fissurant avec l’âge. Les jeunes rameaux présentent des rides qui s’accentuent en des sortes d’excroissances liégeuses en vieillissant. Son bois est précieux et ressemble tant à celui du noyer qu’on a surnommé communément le liquidambar le « noyer satiné ». Son écore exhale une odeur de cannelle et laisse s’échapper une résine, styrax ou copalme appelée aussi parfois « Baume blanc du Pérou » qui a valu à l’arbre son nom liquidambar qui signifie « liquide », et « ambre », en référence à cette sève balsamique et aromatique de couleur ambrée qui s’écoule lorsqu’on incise son écorce.
Le Liquidambar est particulièrement apprécié pour son feuillage caduc élégant qui se pare de somptueuses teintes emplissant le jardin de coloris chauds et épicés quand les jours raccourcissent à l’automne. Le feuillage est composé de larges feuilles palmées, découpées en 3 à 7 lobes triangulaires ou arrondis (Liquidambar styraciflua ‘Rotundiloba’), plus ou moins échancrés qui rappellent les feuilles de l’érable à ceci près que celles du copalme sont disposées de façon alternée sur les rameaux et non opposée. Larges de 10 à 18 cm, à marge finement dentelée, elles sont pubescentes, hérissées de poils roux sur le revers du limbe.
Cet ample feuillage palmé dégage un parfum de térébenthine lorsqu’on le froisse.
Comme de nombreux arbres de la famille des hamamelidacées, le liquidambar revêt un feuillage magnifiquement coloré en automne. De couleur vert tendre à vert foncé brillant parfois vert vif moucheté et éclaboussé de jaune ou gris marginé de crème du printemps à l’été, les feuilles prennent des teintes flamboyantes, or, orangées, ocre jaune, cuivrées, rouge cramoisi à grenat et rose-violacé en automne plus ou moins prononcées selon les cultivars et les conditions de culture.
La floraison du Copalme est discrète. Au printemps, en avril, paraissent de petites fleurs vert-jaune apétales unisexuées. Le copalme est une espèce monoïque : les fleurs mâles et femelles cohabitent sur une même essence. Elles prennent la forme de chatons dressés en épis de 5 à 7,5 cm de long ou de glomérules épineux et pendants de 1 à 3 cm de diamètre selon qu’elles sont mâles ou femelles.
Seulement après 25 années de culture, les fleurs femelles hérissées de pointes vertes se muent en fruits, des capsules brunes et sphériques de 2,5 à 3,4 cm qui libèrent des petites graines ailées rappelant les samares des érables. Elles persistent longtemps en hiver rattachées aux rameaux par un long pédoncule.
D’une excellente rusticité, le liquidambar supporte les rigueurs de l’hiver jusqu’à -15-20 °C, parfois même au-delà. Il s’épanouit au soleil et révèle ses plus beaux coloris en sol non calcaire ( légèrement acide), profond, lourd (argileux), riche et frais. C’est un arbre accommodant qui supportera les sols temporairement immergés acceptant même les embruns et la pollution.
On l’installera aussi bien en isolé sur une grande pelouse dans un grand parc ou un jardin de belles dimensions, près d’un bassin qu’en alignement le long d’une grande allée ou en limite de propriété dans un jardin du bord de mer.
La résine, styrax ou copalme exsudée par le Liquidambar peut être brûlée comme l’encens et est très appréciée pour ses propriétés dermatologiques, anti-stress et sa faculté à combattre les affections respiratoires. Les Égyptiens l’utilisaient pour embaumer les momies, tandis que les Indiens la mâchaient en guise de chewing-gum ! Au XIXe siècle, lorsque le Liquidambar fut introduit en Europe, la résine de Copalme servait à la préparation comme de laits ou baumes de beauté. Cette gomme odorante sert aussi de fixateur de parfum et est très utilisée par les parfumeurs.
Enfin, le bois odorant et précieux du liquidambar était très prisé en ébénisterie.
On trouve aujourd’hui de nombreux cultivars du Liquidambar styraciflua, espèce la plus cultivée dans les jardins, sélectionnés pour leur port, le coloris de leur feuillage et leur développement plus réduit que celui de l’espèce type. Pour exemple, la taille impressionnante de cet arbre a été revisitée avec bonheur sous les traits plus compacts du cultivar ‘Gum Ball’, qui permet enfin au liquidambar d’entrer dans nos jardins de taille plus modeste.
Le liquidambar possède une bonne rusticité jusqu’à -15°-20°C, ce qui permet une plantation dans toutes les régions. Cependant, dans les régions aux longs hivers, offrez-lui une place bien abritée car les gelées tardives pourraient abîmer ses chatons. Originaires des zones humides et bien résistant aux embruns, il appréciera les climats pluvieux des bords de mer.
Il doit bénéficier d’un maximum de luminosité afin de donner de belles couleurs à l’automne.
Il s’installera facilement au soleil qui renforcera ses somptueuses colorations automnales. Il aime les sols lourds et frais. Il a besoin d’un sol de type argileux ou argilo-limoneux, riche, profond, drainant en hiver, frais, voire humide, car il réclame une certaine humidité dans le sol pour bien s’épanouir. Sa racine pourra supporter une immersion temporaire tout en détestant cependant les terres marécageuses !
Il préfère une terre plutôt acide, en tout cas non calcaire. S’il craint le calcaire, cet arbre se montre résistant à la pollution urbaine, il sera un bon candidat pour les jardins de ville.
Sa racine pivot supportant mal la transplantation, réfléchissez particulièrement à l’emplacement que vous lui donnerez avant toute plantation car une fois bien enraciné il poussera d’environ 40 à 50 cm par an. Offrez-lui un espace à sa mesure car à maturité les plus grands copalmes culmineront à 20-22 m de hauteur en moyenne pour 7 m d’envergure.
Pour profiter au mieux de sa remarquable parure automnale et sa merveilleuse silhouette élégante, réservez à cet arbre un emplacement bien dégagé au jardin.
Ses belles dimensions en font un magnifique sujet à installer en isolé sur une grande pelouse dans un vaste parc ou un grand jardin, comme arbre d’alignement pour border majestueusement une allée ou arborer une pièce d’eau dans laquelle il pourra se refléter.
Dans un jardin où l’espace est compté, pour étoffer un bosquet d’arbustes, ou encore une haie libre, préférez une variété de Copalme d’Amérique naine, comme le Liquidambar styraciflua ‘Gum Ball’ qui ne dépassera pas 3 m en tous sens.
Vous planterez le liquidambar ou Copalme de préférence à l’automne, de septembre à novembre afin de favoriser son enracinement avant l’hiver. Les sujets en conteneur, pourront être également plantés au printemps de février à avril évitant les périodes de gel ou de fortes chaleurs.
En sol très calcaire, nous vous conseillons d’ajouter de la terre de bruyère à la plantation. Une fois bien installé, ne déplacez plus le Liquidambar car sa racine supportera très mal d’être transplantée. Réservez-lui suffisamment d’espace au moins 5 à 8 m de distance de plantation avec un autre arbre, entre 3 et 5 m pour les cultivars au développement plus réduit. Vous pouvez aussi le planter en groupe de 3 ou 5, pour constituer un bosquet véritablement majestueux.
Pour planter votre Copalme :
Pour réussir la plantation, consultez notre vidéo pour bien planter un arbre.
Le Liquidambar demande très peu d’entretien et pousse sans soin particulier.
Durant les premières années, il réclame un arrosage régulier. En été, surveillez ses besoins en eau et arrosez copieusement par temps sec. Une fois bien installé, il se contentera de l’eau du ciel !
Un bon paillage en été aidera à maintenir le sol toujours frais et en hiver à protéger les jeunes arbres des fortes gelées.
A chaque printemps, amendez la terre avec bon engrais organique de type fumier ou compost.
La taille n’est pas nécessaire ni recommandée. En automne ou en fin d’hiver, vous pouvez intervenir uniquement pour supprimer le bois mort, sec ou abîmé. Entre la mi-août et la fin septembre, taillez légèrement les branches mal placées ou en surnombre.
Installé dans de bonnes conditions, le Liquidambar se montre insensible aux maladies.
Le Copalme peut se multiplier par semis (un processus très long, il faut attendre jusqu’à 2 ans avant la germination), par division de drageons, par bouturage (assez aléatoire) et par marcottage.
C’est sans doute la méthode de multiplication la plus simple. Certains copalmes ont tendance à émettre des rejets autour du pied-mère. A l’automne, séparez les drageons avec une bêche, en coupant la racine au plus près du tronc principal. Repiquez ces jeunes plants aussitôt dans sol frais.
Le marcottage du Liquidambar est simple et permet d’obtenir un nouveau plan identique au pied-mère, toutefois le développement racinaire est très lent.
Le Copalme d’Amérique nécessite un grand espace, c’est une essence qui se suffit à elle-même et sera remarquable en ponctuation majestueuse au milieu d’une pelouse dans un grand jardin. Il reste facile à associer cependant avec d’autres végétaux qui aiment les mêmes ambiances fraîches et les sols profonds. Résistant aussi bien à la pollution qu’aux embruns, sa présence s’impose dans un grand jardin de ville comme dans ceux du bord de mer où il pourra souligner une allée. Avec son feuillage coloré, il est indispensable pour constituer de magnifiques ambiances automnales.
Pour composer une symphonie de teintes épicées, rapprochez-le d’autres arbres et arbustes à feuillage coloré tels que le Ginkgo Biloba, les Acer ou érables du Japon, les Cornus, les bouleaux et des Hamamélis.
Vous constituerez un bosquet éblouissant à l’automne en l’associant à un Tulipier de Virginie (Liriodendron tulipifera), à l’Oxydendron arboreum, au Parrotia persica et au Gommier noir qui se parent également de somptueuses teintes automnales.
Cet arbre appréciant les terres acides pourra servir de toile de fond à un mélange d’arbustes de terre de bruyère comme les Rhododendrons nains, les hydrangeas, les azalées de Chine.
Pour profiter pleinement de sa splendeur, installez-le sur un fond de verdure permanent composé de conifères tels que le Pinus peuce ou Pin de Macédoine, le Taxodium distichum ou Cyprès chauve ou le Metasequoia glyptostroboides ‘Gold Rush’.
Au printemps et en été, accompagnez son feuillage vert vif de bulbes de printemps aux tonalités vert acide/blanc tels que les jonquilles, des Iris de Hollande, les anémones nemorosa, des tulipes botaniques et faites-y grimper une Clematis montana pour compléter cet enchantement printanier.
Tapissez son pied de quelques vivaces couvre-sol persistantes comme les bugles rampantes ou des heuchères aux somptueuses feuilles persistantes rouge brique ou rouge pourpre, la lampourde, un lierre panaché, des géraniums vivaces ou une violette odorante qui garderont ses racines au frais.
Les plus petits liquidambars cohabiteront facilement avec un noisetier pourpre, un érable du Japon nain, un Ginkgo Biloba ‘Blagon’, un Toona sinensis ‘Flamingo’ ou Acajou de Chine.
clémence, le 1 Février 2022
BONJOUR. COMMENT PUIS JE AVOIR LE CONTACT DE VIRGINIE ?
Réponse de Virginie D., le 7 Février 2022
Bonjour,
N'hésitez pas à poser vos questions sur le liquidambar en commentaire, un conseiller saura vous répondre.
Cordialement
Géraldine, le 15 Août 2022
Bonjour, je vais faire construire une maison sur un terrain où pousse un liquidambar. Il a été planté vers 1965. J'aimerais beaucoup le garder mais il risque d'être proche de la maison. Le fait qu'il ait une racine pivotante est je pense une bonne nouvelle. Selon vous, quelle distance minimale est nécessaire entre l'arbre et la maison (il y aurait 1,20 entre les 2 et ce n'est pas possible de faire autrement) ? Et est-ce que couper quelques branches qui risquent de gêner les travaux peut être nuisible pour l'arbre ? Merci beaucoup.
Réponse de Ingrid, le 16 Août 2022
Bonjour. La distance entre la maison et l'arbre semble très insuffisante. De plus, les fondations peuvent mettre à mal certaines radicelles de l'arbre. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre article : "Haies, arbustes, arbres : Quelles distances de plantation ?"
Est-il impossible pour vous de décaler la maison ?
Attention, en cas d'abattage de l'arbre, il vous faudra peut-être une autorisation vu son âge, renseignez-vous auprès de votre mairie.
Géraldine, le 18 Août 2022
Vu la forme et les dimensions du terrain, il n'est pas possible de décaler la maison. J'espérais que ça soit possible car il arrive que des maisons soient construites autour d'arbres ou en tout cas vraiment pas loin. Merci pour votre réponse. Je vais consulter le lien.
Mulliez, le 1 Octobre 2023
Bonjour,
les racines d’un liquidambar peuvent-elles endommager les réseaux enfouis, eau, gaz, … Quelle distance respecter entre l’arbre et les réseaux ?
Merci de votre réponse
Réponse de Ingrid, le 2 Octobre 2023
Bonjour. Oui, les racines des arbres peuvent effectivement causer des dommages aux conduites et aux réseaux souterrains, surtout si ceux-ci sont déjà fragiles ou anciens.
Pour le liquidambar en particulier, il est généralement recommandé de le planter à une distance minimale de 5 à 6 mètres des réseaux ou des constructions, pour réduire les risques d'interférence avec les systèmes souterrains.
Steph de St Pabu ( 29), le 10 Octobre 2023
Bonjour,
J ai effectué un semis de liquidambar il y a 6/7 ans. Me voilà avec 2 magnifiques petits arbres ( 1,90m et 70 cm pour le moment...)MAIS les 2 à feuillage diffèrent. Peut être que les arbres mères étaient différents ( je ne me rappelle plus hélas)? Ma question est donc: la multiplication par semis donnera t elle les mêmes caractéristiques que le plant d'origine ou des caractéristiques différentes comme un semis de pepin de pomme par exemple? Merci bien pour votre réponse.
Réponse de Ingrid, le 12 Octobre 2023
Bonjour,
La multiplication par semis d'un liquidambar ne garantit pas toujours d'obtenir des arbres avec les mêmes caractéristiques que le plant d'origine. Chaque graine est le résultat de la combinaison génétique de deux parents et peut donc présenter des variations. C'est similaire au semis de pépin de pomme que vous avez mentionné. C'est la raison pour laquelle vous observez des différences dans le feuillage de vos deux arbres. Si vous souhaitez des arbres identiques au plant d'origine, il est préférable d'opter pour la multiplication végétative, comme le bouturage ou le greffage.
Cordialement