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Ah les Aesculus… Ces charmants arbres et arbustes sont… Comment ça : quoi ? Ah oui, c’est vrai qu’on les appelle rarement par leur nom de genre… Mais si je vous dis « pavier » ou surtout « marronnier ». Ah voilà ! Cela vous parle déjà plus.
Le plus célèbre d’entre eux, le marronnier d’Inde, que l’on retrouve dans nos parcs et le long des avenues, est bien trop imposant pour s’offrir une place dans nos jardins malgré sa floraison spectaculaire. Pas de panique cependant, d’autres Aesculus bien plus compacts existent.
Comme le simple mais toujours efficace Pavier blanc ou Aesculus parviflora, qui forme un buisson plus large que haut avec un feuillage d’abord bronze puis vert foncé et enfin jaune en automne. Ou bien un sympathique marronnier nain Aesculus mutabilis ‘Induta’, un arbuste caduc à couronne arrondie qui ne dépassera jamais 2,50 m de hauteur, avec un feuillage palmé d’un beau vert tilleul servant d’écrin à une superbe floraison printanière en forme de chandelles rouges à rose saumoné. On peut citer encore un autre marronnier tout à fait étonnant : l’Aesculus neglecta ,qui lui est un petit arbre mais à croissance lente et qui ne dépassera pas dix mètres de haut, superbe au printemps avec ses jeunes feuilles bronze-cuivrées qui virent au vert clair en été, avant de prendre sa parure d’automne d’un rouge-orangé flamboyant.
En bref, ne vous arrêtez pas au marronnier d’Inde lorsqu’on vous parle d’Aesculus. Il en existe plusieurs espèces et variétés différentes qui peuvent être accueillies sans problème dans les plus petits jardins. Ils possèdent chacun leurs atouts : feuillage, forme et floraison.
Tous les marronniers doivent être plantés au soleil ou à la mi-ombre. Ces arbustes ou petits arbres aiment pousser dans n’importe quel sols pourvu qu’ils soient suffisamment riches, profonds et restant frais.
A noter que la floraison des Aesculus n’est pas là que pour faire jolie car les fleurs parfumées attirent de nombreux papillons et autres insectes butineurs.
Le genre Aesculus comprend une trentaine d’espèces d’arbres ou d’arbustes caducs dont une grande partie sont originaires d’Amérique du Nord : ce sont dans ce cas les paviers. Les autres espèces proviennent d’Europe et d’Asie tempérée : ce sont les marronniers. Autrefois, le genre était inclus dans la famille des Hippocastanacées mais, désormais et selon la classification issue de l’APG III, le genre est classé dans la famille des Sapindacées : rien à voir avec les sapins mais ce nom se rapporte au genre Sapindus, l’arbre à savon en Asie.
Le marronnier d’Inde, l’arbre dont on pense immédiatement lorsqu’on parle de marronniers, est un arbre imposant pouvant atteindre 40 mètres de haut et développant une cyme globuleuse sur un haut tronc. A côté de ce géant, on retrouve aussi des marronniers nains ou paviers souvent originaires d’Amérique du Nord ne dépassant pas parfois deux mètres de haut et au port très arrondi.
L’écorce est de couleur brun-gris et lisse (ex : Aesculus indica) ou au contraire fissurée (ex : Aesculus X carnea) en fonction des espèces. Les bourgeons sont brun-rougeâtres, parfois visqueux et protégés par deux couches d’écailles.
Le feuillage est caduc, opposé et longuement pétiolé. Les feuilles sont composées de 5 à 7 folioles pétiolées (munies d’un pétiole) ou sessiles (sans pétioles). Ces folioles sont, en fonction des espèces, oblongues (plus longues que larges et arrondies aux extrémités) à elliptiques (longueur double de la largeur et extrémités effilées), souvent dentelées au revers glabre et poilus au niveau des nervures. Les folioles centrales sont plus longues que les latérales, l’ensemble de la feuille faisant ainsi songer à une main. Au débourrement, les feuilles peuvent être de teinte rosée puis deviennent bien verte en été pour enfin prendre des teintes chaudes en automne : jaune, orange et même rouge en fonction des espèces et des variétés.
Les inflorescences particulières des Aesculus sont appelées : thyrses. Ces thyrses dressés et pyramidaux se développent au printemps (entre avril et juin). Sur un même pied, on peut retrouver des fleurs hermaphrodites mais aussi des fleurs mâles ou des fleurs femelles : c’est ce qu’on appelle la trimonécie. En réalité, les fleurs mâles possèdent des pièces florales femelles avortées et vice-versa. Les marronniers et les paviers sont entomogames, ils ont besoin des insectes pour être pollinisé. Voilà pourquoi les fleurs produites sont très parfumées et nectarifères.
Chaque fleur se compose d’un calice en forme de cloche à 5 dents inégales. La corolle est constituée de 4 à 6 pétales inégaux de couleur blanche, jaune, rose ou rouge et souvent tachetés pour deux d’entre eux : les taches jaunes des pétales deviennent rouges quand la fleur est pollinisée, cela indique à l’insecte butineur que cette fleur ne produira plus de nectar et qu’il est inutile de la visiter. Les insectes en effet voient la couleur jaune mais pas le rouge. Les étamines sont au nombre de 5 à 9 et plus ou moins longues selon l’espèce. Le reste de la fleur est constitué d’un pistil à 3 carpelles, soudés et surmontés d’un style aussi long que les étamines et d’un stigmate aigu ou bifide.
Les fruits issues de la fécondation sont en réalité des capsules sèches déhiscentes : les bogues correspondent à l’enveloppe du fruit, et proviennent de la transformation de la paroi des carpelles (remarque : la bogue des châtaigniers, quant à elle, est issue de la transformation des bractées de la fleur). Ces bogues sont différentes selon les espèces : parfois hérissées de pointes ou simplement lisses, et de forme ovale, ronde ou pyriforme (en forme de poire). Les bogues contiennent une graine (parfois deux mais c’est rare) : le marron. Déhiscentes, elles s’ouvrent en général par 3 fentes correspondant au nombre de carpelles. La dispersion est, vous l’aurez compris, barochore, c’est-à-dire que le fruit tombe par gravité juste au pied de la plante mère. Sauf si vous avez gardé l’habitude depuis l’enfance de remplir vos poches de marrons et… de les perdre un peu partout par la suite.
La croissance de ces arbres et arbustes est, sauf exception, assez rapide. Les arbres peuvent vivre entre 200 et 300 ans, tandis que les arbustes ont une durée de vie moyenne d’environ 50 ans. La maturité sexuelle chez le marronnier d’Inde se situe aux alentours de 15 à 20 ans.
Le marronnier d’Inde est très utilisé comme arbre d’alignement ou grand arbre de parc. Paradoxalement, il est assez sensible à la pollution urbaine, sans compter les maladies qui l’affecte. C’est un arbre assez haut, jusqu’à 30 m à cime étalée arrondie. La floraison, de mai à juin, est parfumée et de couleur blanc jaune puis rouge orangé.
Ce marronnier est un hybride entre Aesculus hippocastanum et Aesculus pavia, apparu au début du XXe siècle. C’est un arbre plus petit que le marronnier d’Inde, environ 9 m de haut, mais il supporte mieux la sécheresse que celui-ci. Le feuillage est de couleur vert moyen avec des bourgeons poisseux. La floraison est de couleur rose et arrive en mai-juin.
Ce petit marronnier ou plutôt pavier, est originaire de l’est des États-Unis et de culture facile. Il est assez rustique pour être cultivé partout chez nous. C’est un arbre de 7 m de haut ou un arbuste de 3 m selon la variété. Le feuillage est constitué de petites feuilles à 5 folioles d’un fabuleux rouge à l’automne. En juin, une flopée de fleurs tubulaires écarlates fait son apparition.
Le Pavier blanc est originaire du sud-est des États-Unis, de la Géorgie à la Floride. C’est un marronnier drageonnant qui forme un gros arbuste dense et arrondi pouvant atteindre 4 m de large sur 2,50 m de hauteur. Les feuilles caduques naissent teintées de bronze puis deviennent vert foncé avant de virer au jaune d’or à l’automne. En juin-juillet, de splendides épis dressés de 30 cm de haut à l’allure de chandelier et de couleur blanche avec des étamines rouge vif apparaissent. Elles attirent d’ailleurs de nombreux papillons. A noter, que les marrons sont petits à la peau brun clair et sont enfermés dans une bogue en forme de poire, non épineuse.
Cet arbre pousse sur les pentes de l’Himalaya et est une espèce menacée dans son milieu naturel. Il est parfaitement rustique et pousse facilement jusqu’à une hauteur de 20 m. Les fleurs estivales sont fines et d’un blanc rosé.
Ce petit arbre résiste particulièrement bien à la sécheresse. Sa taille relativement petite, jusqu’à 5 m, permet de le cultiver dans des petits jardins. Le feuillage est vert grisâtre et les fleurs sont parfumées et de couleur crème teintées de rose.
C’est un grand marronnier surnommé le marronnier jaune à cause de ses fleurs… jaunes. Il peut mesurer en culture jusqu’à 25 m de haut pour 15 m d’étalement.
L’Aesculus (x) mutabilis est un hybride entre l’Aesculus sylvatica, très compact, originaire des forêts appalachiennes des Etats-Unis, et l’Aesculus pavia. C’est un petit marronnier arbustif de 2 m de hauteur et de 2 m d’envergure, parfaitement rustique. Ses feuilles caduques sont de couleur vert tilleul à reflets bleutés et se colorent superbement de jaune ou d’orangé-rose en automne. Les petites fleurs, apparaissant de mai à juin, sont de couleur rose foncé à saumon, la couleur saumonée étant due à la présence de petites zones jaunes à leur extrémité.
L’Aesculus (x) neglecta est un hybride horticole récent qui possède les mêmes parents que l‘Aesculus hybride cité précédemment. Il est pourtant bien différent. Ce marronnier de taille moyenne forme un tronc surmonté d’une couronne arrondie pour atteindre en 10 ans, la taille de 6 m de hauteur pour 3 m de large. Les jeunes pousses, remarquablement colorées, se déploient en grandes feuilles palmées qui virent rapidement au vert clair. Dès la moitié du mois de septembre, cet arbuste recouvre son manteau automnal de couleur rouge-orangé. Les inflorescences, en forme de petites panicules dressées de 10 à 15 cm, éclosent entre mai et juin. Les fleurs sont de couleur jaune pâle, puis foncent en rose saumoné.
En règle général, les marronniers ou les paviers se plantent dans n’importe quel sol profond bien drainé et restant frais même en été.
Ils sont tous assez rustiques pour pouvoir pousser n’importe où en France et en Belgique mais ils redoutent les bords de mer à cause des embruns. Ils ont une préférence pour les zones avec des saisons bien marquées : hiver froid et été chaud.
Les marronniers se plantent au soleil ou à la mi-ombre. Seul les Paviers blancs peuvent prospérer à l’ombre totale.
Remarque : comme pour tous les arbres, prévoyez son développement et choisissez judicieusement votre marronnier en fonction de sa taille et de celle de votre jardin.
Les marronniers se plantent de préférence en automne (novembre) ou en hiver en dehors de périodes de gel. Une plantation au printemps pour les marronniers américains peut être envisagée.
Pensez à arroser régulièrement votre marronnier durant les premières années qui suivent son installation. Ces arbres ou arbustes redoutent la sécheresse du sol.
Taillez simplement les branches gênantes ou qui se croisent et les drageons éventuels sur certaines espèces (Pavier blanc notamment). Évitez de sectionner des branches d’un diamètre supérieur à 5 cm. Les marronniers réagissent mal aux tailles, souvent drastiques en milieu urbain. Ils forment de gros bourrelets cicatriciels mais l’intérieur du tronc ou de la branche pourrit facilement. Prudence donc… Le mieux est de choisir un emplacement suffisant pour accueillir un marronnier de taille adulte ou de choisir une espèce à développement plus petit.
Contrairement aux autres Aesculus qui ne contractent quasiment pas de maladies ou ne sont pratiquement pas attaqués par des ravageurs, l’Aesculus hippocastaneus ou Marronnier d’Inde est lui confronté à quelques soucis…
Cette maladie décime les marronniers de nos villes et est causée par une bactérie nommée Pseudomonas syringae. Cette pathologie se retrouve surtout sur les marronniers issus de pépinières (donc à faible brassage génétique), ceux ayant subit un stress (stress hydrique, pollution, chocs aux racines) ou ceux ayant souffert d’une taille inadaptée. Les symptômes sont multiples : débourrement ralenti, retard de croissance, présence de chancre suintant et enfin dessèchement du feuillage sur une partie de l’arbre ou la totalité. Pour l’instant divers traitements sont testés, sans réelles avancées mais l’idéal est d’offrir aux marronniers un environnement sain et des soins adéquats en amont. Ainsi, le risque de dépérissement sera minime.
La cochenille Pulvinaria regalis se retrouve souvent sur les marronniers, sans causer de réels dégâts. N’y faites pas attention !
Lors de printemps humides et frais, le marronnier d’Inde est parfois sensible à la maladie des taches rouges ou black-rot. En début d’été, des taches foliaires d’abord jaune puis brune auréolées de jaune apparaissent. Elles sont rapidement suivies du dessèchement et de la chute du feuillage.
Cette maladie est surtout problématique pour les jeunes arbres.
La Mineuse des feuilles du marronnier (Cameraria ohridella) est un lépidoptère (papillon) originaire des Balkans qui occasionne des dégâts importants sur les marronniers d’Inde, mais aussi parfois sur les Aesculus pavia. Les chenilles creusent des galeries dans les feuilles formant des taches brun roux aboutissant à la chute du feuillage au cours de l’été. La ponte est réalisé en 1 à 3 générations d’avril à la fin de l’automne. Les chenilles se développent puis se nymphosent à l’intérieur des feuilles durant l’hiver pour sortir « papillon » au printemps et recommencer le cycle. Le meilleur moyen de lutter contre ce papillon est de privilégier un jardin accueillant pour les oiseaux insectivores (mésanges notamment) et, dans les cas les plus graves, de ramasser et brûler les feuilles pour éliminer les chrysalides.
Lire aussi : La mineuse du marronnier : un ravageur à craindre ?
En octobre-novembre ou en mars, vous pouvez semer les « marrons » dans un substrat maintenu humide et assez léger : 40% terreau, 40% pouzzolane ou sable et 20 % terre franche. Une fois la germination démarrée, en début de printemps, la plantule va développer un pivot important avant de se ramifier. Votre jeune pousse devra être placée à la mi-ombre et à l’abri du vent. Ne laissez pas ce jeune marronnier trop longtemps en pot, l’idéal est de le planter en début d’automne qui suit à un endroit ensoleillé.
Pour reproduire les cultivars, on peut réaliser la multiplication à l’aide d’une greffe en écusson sur un Aesculus franc (porte-greffe). La technique est assez compliquée et n’est à réserver qu’aux professionnels.
Dans le cas des paviers la germination est assez longue mais heureusement, l’arbuste produit des drageons que l’on peut séparer de la plante-mère en novembre ou en mars. Il suffit pour cela de creuser autour de l’arbuste en dégageant un ou plusieurs drageons que vous sectionnerez à la bêche ou au sécateur.
L’Aesculus pavia ‘Koehnei‘ est un ravissant pavier qui se révèle surtout en automne lorsqu’il a l’occasion de nous offrir son feuillage d’un bel orange vif. Pour l’accompagner, rien de tel qu’un petit arbre originaire lui aussi du continent Nord-américain en la présence d’un Franklinia alatamaha. Cet arbre a disparu à l’état naturel mais persiste dans les parcs et les jardins grâce à des passionnés. Non content de nous offrir un feuillage rouge-orangé en automne, il s’offre même le luxe de nous éblouir par une floraison très tardive, parfois même jusqu’aux gelées, dont les fleurs ressemblent à celles d’un camélias à fleurs simples : blanches avec des étamines d’or. Au pieds de nos deux compères, un tapis de Cornus canadensis, l’un des rares représentants du genre qui soit une vivace, sera du plus bel effet. En automne, ces petits cornouillers miniatures ne passent pas inaperçus lorsque les bractées blanches ont laissé place aux fruits rouges et que le feuillage prend des teintes pourpres. Quelques touffes ça et là de Canches cespiteuses ‘Goldschleier’ apporteront de la légèreté avec leurs grandes inflorescences en panicules lâches où se mêlent l’or et l’argent. Et pour terminer… Si on tentait des bergénias ? Non, attendez, ne fuyez pas ! Il existe désormais de très belles variétés qui n’ont plus rien à voir avec les bergénias d’antan. Comme cette superbe variété nommée ‘Eden’s Dark Magic’ dont le feuillage luisant vert foncé mais liseré de pourpre prend, en automne, des teintes de pourpres et de bruns tout à fait spectaculaires.
Mais les Aesculus sont aussi plantés pour leur floraison spectaculaire comme ce petit arbre à croissance lente qu’est l’Aesculus neglecta ‘Autumn Fire’. Son nom, vous l’aurez compris, lui vient de son feuillage automnal orange feu mais il est tellement beau aussi au printemps lorsque ses jeunes feuilles débourrent dans des tons bronze-cuivrés. S’ensuit rapidement une floraison d’abord jaune pâle puis saumon au fil des jours. C’est véritablement un bijou à isoler… ou pas. Car bien accompagné, il sera encore plus beau ! Quelques arbustes au feuillage de couleur jaune doré répondront parfaitement au jeune feuillage et aux fleurs du marronnier : comme un Cornus alba ‘Aurea‘, un grand classique indémodable et toujours beau de janvier à décembre, ainsi qu’une poignée de Spirée japonaise ‘Magic Carpet’ en bordure. Une touche de bleu sera parfaite pour contraster avec tous ces précédents éléments. Comme notre exclusivité : l’Hydrangea macrophylla ‘The Original’ à fleurs bleues, un hortensia très robuste et très florifère. Un feuillage bleu vous tente ? Est-ce qu’un petit Picea pungens ‘Glauca Globosa‘ pourrait vous ravir ? Ce petit conifère est une merveille au printemps lorsqu’il prend ses teintes bleutées.
Je n'ai qu'un petit jardin. Puis-je planter un marronnier chez moi ?
Et bien oui ! De nombreuses espèces américaines et asiatiques ne dépassent pas les 3 m de haut pour les plus petits d'entre eux. Certains finissent par former des petits arbres comme l'Aesculus neglecta mais ils poussent lentement et restent de dimension modeste.
On m'a dit que les marronniers étaient souvent malades ? Est-ce que c'est vrai ?
En réalité, c'est surtout l'Aesculus hippocastanum, soit le marronnier d'Inde, qui souffre de nombreuses maladies et soucis de ravageurs. Tous les autres sont bien moins problématiques et sont des arbres et arbustes sans soucis.
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