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Monstera : cultiver et entretenir

Monstera : cultiver et entretenir

Sommaire

Rédigé le 31 Mars 2025  par Olivier 10 min.

Le Monstera en quelques mots

  • Le Monstera est une plante tropicale grimpante appréciée pour son feuillage spectaculaire.
  • Facile d’entretien, il prospère en lumière indirecte et dans un substrat drainant.
  • Un tuteur en mousse peut l’aider à se développer verticalement.
  • Le faux philodendron s’intègre dans tous les styles d’intérieur, du bohème au moderne.
Difficulté

Le mot de notre expert

Majestueux et graphiques, les Monstera sont des plantes tropicales de la famille des Araceae, prisées pour leur feuillage spectaculaire. Originaires des forêts d’Amérique centrale et du Sud, ces plantes grimpantes s’accrochent aux troncs d’arbres grâce à leurs racines aériennes, évoluant sous la canopée dans un environnement humide et lumineux. Leur nom, issu du latin monstrum, ferait référence aux perforations et découpes étonnantes de leurs feuilles, un phénomène naturel appelé fenestration. Parmi les espèces les plus populaires, on retrouve le Monstera deliciosa, aux larges feuilles découpées, et le Monstera adansonii, au feuillage finement ajouré.

Faciles d’entretien, les Monstera prospèrent en intérieur sous une lumière indirecte et dans un substrat bien drainant. L’arrosage doit être modéré, en laissant sécher la surface du sol entre deux apports d’eau afin d’éviter la pourriture des racines. Pour favoriser leur croissance, un tuteur en mousse peut être installé pour guider leur port grimpant. Un nettoyage régulier du feuillage permet d’optimiser la photosynthèse et de préserver l’éclat des feuilles.

En décoration, le Monstera s’impose comme un incontournable du style jungle urbaine, mais il s’intègre aussi parfaitement dans des intérieurs scandinaves, modernes ou industriels. Avec ses feuilles imposantes et son élégance naturelle, cette plante intemporelle continue de séduire amateurs de botanique et passionnés de décoration d’intérieur.

Le Monstera est une plante d'intérieur classique.

Le Monstera est une plante d’intérieur classique, mais toujours appréciée.

Botanique et description

Fiche d'identité

  • Nom latin Monstera deliciosa
  • Family Aracées
  • Nom commun Monstera, Faux-Philodendron
  • Floraison printemps
  • Hauteur jusqu'à 3 m de haut
  • Exposition mi-ombre ou lumineux, sans soleil direct
  • Type de sol riche, bien drainé
  • Rusticité gélif

Les Monstera sont des plantes tropicales appartenant à la famille des Araceae, une grande famille qui regroupe de nombreuses plantes d’intérieur prisées pour leur feuillage ornemental, comme le philodendron, l’alocasia, le spathiphyllum ou l’anthurium. Le nom du genre Monstera vient du latin monstrum, et pourrait faire référence aux perforations et découpes spectaculaires de leurs feuilles, qui donnent à ces plantes un aspect aussi étrange qu’impressionnant. En français, on appelle souvent le Monstera deliciosa, l’espèce la plus cultivée, “faux philodendrons”, “plantes-gruyères” ou tout simplement “Monstera”.

Dans leur habitat naturel, ces plantes grimpent le long des troncs d’arbres dans les forêts tropicales d’Amérique centrale et du Sud, profitant de l’humidité ambiante et de la lumière filtrée par la canopée. Leur adaptation à ces conditions leur permet de prospérer en intérieur, où elles sont devenues des incontournables de la décoration végétale. Leur popularité s’explique par leur feuillage spectaculaire, leur croissance vigoureuse et leur relative facilité d’entretien, ce qui en fait des plantes accessibles à tous.

Parmi les espèces et variétés les plus couramment cultivées, on retrouve le classique Monstera deliciosa, emblématique avec ses larges feuilles profondément découpées, ainsi que le Monstera adansonii, apprécié pour son feuillage perforé plus délicat. Le Monstera obliqua, beaucoup plus rare, est souvent confondu avec l’adansonii, mais il se distingue par des perforations encore plus prononcées et un feuillage plus fin. Le Monstera ‘Thai Constellation’, une variété panachée de deliciosa, est très recherchée pour ses marbrures blanches et crème, issues d’une mutation stabilisée en laboratoire. On retrouve également des espèces moins connues, mais tout aussi intéressantes, comme l’Amydrium medium ‘Silver’, qui arbore un feuillage argenté unique et une croissance élancée, apportant une touche exotique et originale aux intérieurs.

Monstera à feuillage panaché

Les variétés panachées comme ce Monstera deliciosa ‘Variegata’ sont très recherchées.

Morphologie végétale

Les Monstera sont des plantes tropicales au port grimpant ou retombant, selon la manière dont elles sont cultivées. Dans leur milieu naturel, elles s’accrochent aux troncs d’arbres grâce à leurs racines aériennes, leur permettant d’exploiter la lumière disponible tout en restant ancrées dans le sol. En intérieur, elles conservent cette habitude et développent de longues racines qui peuvent être dirigées vers un support ou laissées libres, conférant à la plante un aspect sauvage et luxuriant.

Leur système racinaire est à la fois souterrain et aérien. Tandis que les racines souterraines assurent l’ancrage et l’absorption des nutriments, les racines aériennes jouent un rôle essentiel dans la capture de l’humidité et le soutien de la plante lorsqu’elle grimpe. Chez le Monstera deliciosa, ces racines sont particulièrement épaisses et coriaces, tandis que chez le Monstera adansonii, elles sont plus fines et nombreuses, s’entremêlant facilement autour d’un tuteur.

Les Monstera ne possèdent pas de tronc lignifié à proprement parler. Leur structure repose sur une tige épaisse et charnue qui s’allonge au fil du temps, émettant des nœuds d’où partent les feuilles et les racines. Cette tige peut se ramifier, surtout lorsque la plante est taillée, mais elle tend généralement à pousser en une seule direction, s’enroulant sur elle-même ou s’étendant vers la lumière.

Le feuillage est sans doute l’élément le plus emblématique des Monstera. Il évolue avec l’âge de la plante, passant de feuilles entières à des feuilles découpées ou perforées. Chez le Monstera deliciosa, les jeunes feuilles sont d’abord pleines, puis se parent progressivement de découpes profondes et de perforations, phénomène appelé fenestration, qui permettrait à la plante de mieux résister aux vents tropicaux et de maximiser la lumière traversant la canopée. Le Monstera obliqua, quant à lui, pousse des feuilles si ajourées qu’elles semblent plus constituées de trous que de matière.

Bien que leur floraison soit rare en intérieur, les Monstera produisent dans la nature une inflorescence typique des Araceae : un spadice enveloppé par une spathe. Chez le Monstera deliciosa, cette inflorescence peut donner naissance à un fruit comestible à la saveur douce, rappelant un mélange entre la banane et l’ananas. Toutefois, la maturité de ce fruit prend plusieurs mois et il doit être consommé uniquement lorsqu’il est complètement mûr, car les parties encore vertes contiennent des cristaux d’oxalate de calcium irritants pour les muqueuses.

Le feuillage d'un Monstera adansonii

Le Monstera andansonii est moins connu que Monstera deliciosa, mais nécessite les mêmes soins.

Quand et comment planter un monstera en pot ?

Le bon moment pour planter ou rempoter un Monstera

La meilleure période pour planter un Monstera ou le rempoter est au printemps ou en début d’été, lorsque la plante entre en phase de croissance active. Cela lui permet de s’adapter rapidement à son nouveau substrat et de développer de nouvelles racines avant l’hiver.

Le choix du substrat : aéré et drainant avant tout

Un Monstera prospère dans un substrat qui retient l’humidité sans pour autant rester détrempé. L’idéal est un mélange bien aéré, riche en matière organique et drainant. Un bon mix peut être composé de terreau universel additionné de perlite ou de pouzzolane pour alléger la texture, et d’un peu d’écorce de pin pour favoriser l’aération des racines. Mais, un terreau spécial plantes d’intérieur de qualité fera amplement l’affaire.

À noter : pour un Monstera ‘Thai Constellation’, plus sensible à la pourriture des racines, un substrat encore plus drainant, proche d’un mélange pour orchidées, est recommandé.

L’emplacement idéal : lumière, température et humidité

Le Monstera apprécie une exposition lumineuse indirecte, proche d’une fenêtre bien éclairée, mais sans soleil direct qui risquerait de brûler ses feuilles. Il peut tolérer une lumière plus tamisée, mais cela ralentira sa croissance et limitera l’apparition des fenestrations.

Côté température, il se sent bien entre 18 et 28°C et redoute le froid. En dessous de 10°C, sa croissance ralentit fortement, et en dessous de 5°C, il risque des dommages irréversibles. Il aime une humidité ambiante élevée (idéalement au-dessus de 60 %), ce qui peut être obtenu avec un humidificateur ou en plaçant un plateau d’eau et de billes d’argile à proximité.

Le choix du pot : matériau et taille adaptés

Le Monstera a besoin d’un pot avec des trous de drainage, sans quoi ses racines risquent de pourrir. Le matériau peut varier selon les préférences : Les pots en terre cuite sont une bonne solution pour éviter l’excès d’humidité grâce à sa porosité, mais le substrat sèche plus rapidement.

Le diamètre du pot doit être de 2 à 5 cm plus large que la motte de racines pour éviter un excès de substrat qui pourrait rester trop humide. Un pot trop grand retient trop d’eau, tandis qu’un pot trop petit risque d’entraver la croissance.

Comment planter un Monstera en pot : étape par étape

  1. Préparer le pot : placer une couche de drainage au fond (billes d’argile ou gravier) pour éviter l’accumulation d’eau.
  2. Remplir partiellement le pot : ajouter une couche de substrat bien aéré.
  3. Installer la plante : sortir le Monstera de son pot d’origine en desserrant légèrement les racines si elles sont trop compactes.
  4. Positionner correctement : placer la motte au centre du pot en veillant à ce que le collet (base de la tige) reste au même niveau que dans l’ancien pot.
  5. Remplir et tasser légèrement : ajouter du substrat autour des racines sans trop tasser pour conserver une bonne aération.
  6. Arroser abondamment : un premier arrosage permet de bien humidifier le substrat et d’éliminer les poches d’air.

Le rempotage : quand et comment le faire ?

Un Monstera doit être rempoté tous les 2 à 3 ans, ou lorsqu’il devient trop à l’étroit et que ses racines commencent à sortir des trous de drainage. Lors du rempotage, on peut en profiter pour tailler légèrement les racines abîmées et remplacer le substrat épuisé. Si la plante est très grande, un surfaçage (remplacement de la couche supérieure du substrat) peut suffire.

Le palissage : guider la croissance avec un tuteur

Le Monstera étant une plante grimpante, il peut être palissé pour encourager un port plus vertical et éviter qu’il ne s’affaisse sous son propre poids. Un tuteur en mousse ou en fibre de coco est idéal, car il permet aux racines aériennes de s’y accrocher.

Pour bien installer un tuteur :

  • Le placer au moment du rempotage pour éviter d’abîmer les racines.
  • Attacher les tiges progressivement avec des liens souples ou du raphia, sans trop serrer.
  • Humidifier le tuteur de temps en temps pour encourager les racines aériennes à s’y fixer.

Rempotage d'un jeune Monstera

Comment entretenir un monstera ?

Arrosage : trouver le bon équilibre

Le Monstera apprécie un substrat légèrement humide, mais redoute l’excès d’eau. En général, il faut arroser lorsque les premiers centimètres de terre sont secs. La fréquence varie en fonction des saisons :

  • Printemps et été : environ une fois par semaine, voire plus si l’air est sec ou si la plante est en pleine croissance.
  • Automne et hiver : espacer les arrosages (toutes les 2 à 3 semaines) pour éviter que les racines ne pourrissent.

L’idéal est d’utiliser de l’eau non calcaire à température ambiante. Un excès d’eau peut se traduire par des feuilles jaunissantes, tandis qu’un manque d’eau entraîne des feuilles qui s’enroulent sur elles-mêmes.

Arrosage d'un Monstera adansonii

Fertilisation 

Le Monstera est une plante gourmande en nutriments, surtout lorsqu’il est en pleine croissance. Pour l’aider à développer de belles feuilles et à bien grandir, il est conseillé d’ajouter un engrais liquide riche en azote (NPK 8-4-4 par exemple) toutes les 2 à 3 semaines au printemps et en été.

On peut aussi opter pour des solutions plus naturelles :

  • Compost liquide ou thé de compost
  • Apport de marc de café (modéré) pour un léger boost en azote

En automne et en hiver, il est préférable de réduire ou stopper la fertilisation, car la plante ralentit naturellement son métabolisme.

Quand et pourquoi tailler un Monstera ?

Le Monstera ne nécessite pas forcément de taille, mais quelques gestes peuvent être utiles :

  • Éliminer les feuilles jaunies ou abîmées pour garder la plante en bonne santé.
  • Tailler les tiges trop longues pour limiter son expansion ou lui donner une forme plus compacte.
  • Pincer les jeunes pousses pour encourager la ramification et obtenir un Monstera plus dense.

Une taille au début du printemps est idéale, avant que la plante n’entre en croissance active. Les sections coupées peuvent être utilisées pour le bouturage et ainsi multiplier la plante.

Précautions à prendre : éviter les erreurs courantes

  • Les racines aériennes ne doivent pas être coupées complètement, car elles aident la plante à se nourrir et à se stabiliser. Elles peuvent être redirigées vers le substrat ou humidifiées pour éviter qu’elles ne sèchent.
  • Attention aux courants d’air et aux températures basses : un Monstera exposé à des températures inférieures à 10°C peut souffrir de taches noires sur les feuilles et d’un ralentissement brutal de sa croissance.
  • Entretien du feuillage : les grandes feuilles accumulent facilement la poussière, ce qui réduit leur capacité à capter la lumière. Un nettoyage régulier avec un chiffon humide permet de garder une plante en pleine forme.

Parasites et maladies éventuels chez le Faux-philodendron

Les parasites les plus courants

  • Les cochenilles farineuses : ces petits insectes blancs et cotonneux se logent sur les tiges et sous les feuilles, se nourrissant de la sève et affaiblissant la plante. On les reconnaît à leur aspect duveteux et aux feuilles qui jaunissent. Solution : nettoyer avec un chiffon imbibé d’alcool à 70° ou appliquer du savon noir dilué.

  • Les thrips : ces minuscules insectes noirs ou translucides provoquent des taches décolorées et argentées sur les feuilles. Très envahissants, ils se développent en milieu chaud et sec. Solution : pulvériser un mélange d’eau savonneuse et d’huile végétale.

  • Les araignées rouges : ces acariens microscopiques apparaissent surtout en cas d’air sec. On remarque de fines toiles et des feuilles qui prennent une teinte jaune/marron. Solution : augmenter l’humidité ambiante en vaporisant la plante, rincer les feuilles et traiter avec du savon noir ou de l’huile de neem.

  • Les pucerons : bien que rares sur les Monstera, ils peuvent apparaître sur les jeunes pousses. Ils affaiblissent la plante et favorisent le développement de la fumagine (un champignon noirâtre). Solution : pulvérisation d’eau savonneuse.

Les maladies et problèmes physiologiques

  • Pourriture des racines : elle survient en cas d’arrosage excessif ou de substrat mal drainé. Les racines deviennent noires et molles, et la plante flétrit malgré un sol humide. Solution : couper les racines atteintes, rempoter dans un substrat sec et aéré, espacer les arrosages.

  • Taches brunes sur les feuilles : souvent causées par un air trop sec ou des coups de soleil. Si elles sont molles et s’étendent, cela peut indiquer une infection fongique due à une humidité excessive. Solution : adapter l’arrosage et éviter les projections d’eau sur le feuillage.

  • Jaunissement des feuilles : peut être dû à un excès d’eau, un manque de lumière ou une carence en nutriments. Solution : ajuster les arrosages, déplacer la plante vers une meilleure source lumineuse, et fertiliser si nécessaire.

  • Feuilles qui s’enroulent : Signe de stress hydrique, soit par manque d’eau, soit par excès. Solution : vérifier l’humidité du sol et ajuster l’arrosage.

Comment multiplier votre monstera ?

Le bouturage de tige 

C’est la technique la plus courante et la plus rapide pour multiplier un Monstera, notamment Monstera deliciosa et Monstera adansonii.

  • Choisir une tige saine : la bouture doit comporter au moins un nœud (point d’attache des feuilles et racines aériennes), car c’est de là que partiront les nouvelles racines.
  • Couper proprement : juste sous un nœud, faire une coupe nette à l’aide d’un sécateur propre et bien aiguisé.
  • Mettre en eau ou en substrat :
    • En eau : placer la bouture dans un récipient d’eau, en veillant à ce que le nœud soit immergé, mais pas les feuilles. Changer l’eau tous les 2-3 jours.
    • En terre : planter la bouture directement dans un mélange de terreau, perlite et écorces de pin, en gardant le substrat légèrement humide.
  • Attendre l’apparition des racines :
    • En eau, les premières racines apparaissent en 2 à 6 semaines.
    • En terre, la reprise est plus lente, mais la plante s’adapte directement à son environnement.
  • Rempoter la bouture : une fois les racines bien développées (au moins 5 cm), repiquer la bouture dans un pot avec un substrat adapté.

Le marcottage aérien 

Le marcottage aérien est une excellente méthode si on veut assurer la reprise avant la séparation de la bouture. Il fonctionne très bien pour les grandes tiges de Monstera deliciosa.

  • Choisir un nœud avec une racine aérienne.
  • Entourer ce nœud avec de la sphaigne humide et l’envelopper dans un film plastique pour conserver l’humidité.
  • Attendre que des racines se développent (cela prend plusieurs semaines).
  • Une fois les racines bien formées, couper sous le nœud et rempoter la nouvelle plante.

Conseils pour favoriser la réussite

  • Maintenir une bonne humidité : on peut placer la bouture sous une cloche ou dans une mini-serre.
  • Exposition lumineuse modérée : surtout pas de soleil direct, mais une bonne luminosité pour stimuler la croissance.
  • Patience ! Certaines boutures prennent plus de temps à s’enraciner, notamment en hiver où la croissance ralentit.

Comment bien mettre en valeur un monstera ?

Les intérieurs où le Monstera se plaît le plus

  • Style bohème et jungle urbaine : il est parfait dans un intérieur chaleureux avec des matières naturelles comme le rotin, le lin et le bois brut. Associé à d’autres plantes vertes, il transforme un salon ou une chambre en véritable oasis tropicale.

  • Style scandinave et minimaliste : son feuillage graphique apporte une touche de verdure apaisante aux intérieurs épurés dominés par des teintes neutres et des meubles aux lignes simples.

  • Ambiance industrielle et loft : il crée un contraste intéressant avec le métal, le béton et les briques apparentes. Son feuillage apporte de la douceur et de la vie aux espaces à l’esthétique brute et contemporaine.

  • Style moderne et design : un grand Monstera dans un cache-pot géométrique ou en métal doré peut devenir un élément central dans une pièce moderne et sophistiquée.

Quel pot choisir pour sublimer un Monstera ?

  • Pot en terre cuite brut : idéal pour un style bohème ou méditerranéen, il assure une bonne respiration des racines et évite l’excès d’humidité.

  • Pot en céramique blanc ou noir : pour une touche minimaliste et élégante qui met en valeur le contraste du feuillage.

  • Cache-pot en osier ou en rotin : parfait pour un intérieur naturel et cosy, il donne une touche artisanale et chaleureuse.

  • Pot sur pied en métal ou en bois : idéal pour donner de la hauteur et du relief à la plante, surtout si elle est encore jeune.

  • Pot XXL en béton ou en pierre : pour une ambiance industrielle ou contemporaine, il donne du caractère et de la présence au Monstera.

Monstera en pot de terre cuite

Un simple pot en terre cuite suffit amplement à sublimer une telle plante.

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