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Attractif toute l’année, le Phormium ou Lin de Nouvelle-Zélande est une belle vivace persistante aux allures particulièrement exotiques. Ses feuilles en forme de glaive, dressées vers le ciel, offrent au jardin tout au long de l’année, y compris lorsque le Lin de Nouvelle-Zélande est en fleur, une ambiance dépaysante très en vogue ces dernières années.
Sorti des massifs de bords de mer où il semblait cantonné, ce chouchou des paysagistes, devenu la plante tendance des jardins d’aujourd’hui, est incontestablement la pièce maîtresse pour une grande rocaille exotique ou dans les décors épurés, minéraux ou contemporains.
Lin de Nouvelle-Zélande panaché ou Lin de Nouvelle-Zélande pourpre ou rouge, qu’il soit utilisé en isolé ou planté par groupe, le Phormium structure l’espace et apporte verticalité et exotisme à tous les décors, des plus luxuriants aux plus sobres.
Cette plantureuse vivace très graphique, mais sensible au gel, préférant les climats humides et doux de nos côtes atlantiques, est idéale dans les jardins épargnés par les fortes gelées. Partout ailleurs on la cultivera, dans un grand pot, que l’on rentrera en hiver dans la véranda ou la serre.
Peu sujet aux maladies, résistant à la sécheresse passagère une fois bien installé, dans un sol drainé, frais et fertile, le Lin de Nouvelle-Zélande est bien peu exigeant. Il fait partie des plantes les plus résistantes aux embruns, au vent violent et au sel.
Le phormium tenax présente-t-il une plus belle résistance au froid que le Phormium cookianum ? Comment tailler ou couper un phormium ? Découvrez tous les secrets de culture de nos Lins de Nouvelle-Zélande.
Le genre Phormium comprend deux espèces de vivaces, l’espèce cookianum ou « phormium des montagnes » et le Phormium tenax poussant dans les prairies marécageuses, les bords de cours d’eau et les escarpements rocheux jusqu’à 1 500 m d’altitude de Nouvelle-Zélande. Si le phormium tenax qui est le plus couramment cultivé, s’acclimate dans toutes nos régions, le Phormium cookianum, habitué des climats humides, pousse naturellement en front de mer, sur la façade océanique de notre pays.
Ces deux espèces couramment appelées « Lin de Nouvelle-Zélande » appartiennent à la famille des agavacées ou aux Phormiacées, selon les classifications. Elles ont donné naissance à de nombreux hybrides et cultivars offrant une large palette de couleurs et de panachés ou zébrées de rose et de rouge, semblables à nulle autre plante.
Dans son milieu naturel, ce cousin des agaves peu atteindre plus de 3 mètres de hauteur. Dans nos jardins, sa taille est plus petite.
Tous deux se développent assez rapidement en large touffe dense rhizomateuse non traçante composée de multiples rosettes de port à la fois érigé et buissonnant. Elle peut être arquée ou évasée telle une graminée, selon les variétés. Leur croissance irrégulière et aimablement anarchique fait s’arquer certaines feuilles quand elles sont jeunes, alors que les plus âgées, plus raides, poussent à angle droit. Elles ploient joliment pour adopter un port en fontaine chez le Phormium cookianum.
P. tenax est la plus grande et la plus vigoureuse des deux espèces néo-zélandaises et atteint en moyenne à maturité, 2 à 2,50 m de hauteur en tous sens, parfois davantage selon les conditions de culture. Phormium cookianum (ou P.colensoi) montre un développement moindre et forme des touffes plus modestes de 0,60 m à 1,60 m. Les cultivars se montrent en général moins vigoureux que leurs parents et offrent des tailles intermédiaires.
De croissance naturellement plutôt lente, au fil des années, le buisson s’étoffe grâce à ses nombreux rhizomes lui permettant de s’étaler latéralement, sans jamais devenir envahissant.
Le Lin de Nouvelle Zélande est spectaculaire pour son feuillage persistant à l’allure très graphique érigé en forme de glaive vers le ciel. D’un bouquet de feuilles repliées en deux à la base, imbriquées les unes dans les autres en éventail, naissent de grandes feuilles linéaires, coriaces comme du cuir, semblables à de longs rubans satinés plus ou moins souples. Longues de 0,50 cm à 3 m selon les espèces, larges jusqu’à 10 cm, légèrement arquées ou plus raides, elles sont pointues et retombantes à la pointe. Les feuilles sont un peu moins larges et moins dressées, chez Phormium cookianum.
Les deux espèces ont produit de nombreux hybrides offrant une infinité de coloris unis, de teintes somptueusement panachées ou subtilement rayées de crème, de cuivre, de jaune, de vert, d’orange bronzé, de bronze bleuté ou de pourpre. Vert-jaune chez la variété Golden Ray, presque noires chez le Phormium cookianum Black Adder, rose-orangé à rose pourpré chez ‘Margaret Jones’, rose abricoté bordé de vert olive à vert bronze chez ‘Rainbow Sunrise’, aux tons rose, pourpre, bronze, brun et de rouge rubis chez ‘Pink Panther’ ou encore jaune clair teinté de vert tilleul et parcourues par de nombreuses stries vertes sur toute leur longueur chez ‘Yellow Wave’.
Si cette vivace étonne par la luminosité et l’amplitude de son feuillage, sa floraison, lorsqu’elle survient, après plusieurs années de culture, est tout aussi remarquable. Elle est rare et même peu abondante chez certaines variétés.
En été, de mai à juillet, selon le climat, de longues hampes florales dénuées de feuilles, apparaissent surplombant la touffe de feuillage parfois portées jusqu’à 4 m de hauteur. Ces petites fleurs tubulaires de 2 à 5 cm, vert jaunâtre ou rouge mat à maturité, formées de six pétales s’épanouissent en grand nombre, regroupées en panicules dressées.
La floraison entraîne la mort de la rosette qui l’a fait naître, mais génère la naissance d’un nouveau rejet.
Cette floraison très nectarifère attire certains oiseaux et de nombreux insectes butineurs
Elle est suivie par la formation de fruits spiralés retombants chez Phormium cookianum ou érigés chez Phormium tenax sous forme de capsules emplies de graines dispersées par le vent à maturité.
Sous cette belle allure exotique, le phormium est plus rustique qu’on ne le croit, supportant des températures allant de -7°C à -10 C°, parfois davantage selon les conditions de culture. Insensible aux maladies, aux parasites, il supporte sans broncher, les embruns, la pollution, les courants d’air et les fortes chaleurs.
C’est une plante très peu exigeante, facile à cultiver dans les régions aux hivers cléments. En pleine terre, on le réservera donc aux climats méditerranéens ou atlantiques selon l’espèce où il pousse au soleil, dans un sol très drainé, mais frais et fertile. Partout ailleurs, la culture en très grand pot à remiser dans la véranda à la mauvaise saison est plus indiquée.
Utilisé en isolé ou planté par groupe, le phormium structure l’espace et confère un charme exotique au jardin moderne comme aux espaces plus naturels. Cette plante d’origine néozélandaise s’intègre dans tous les décors, sa belle allure graphique est précieuse dans les scènes contemporaines épurées et minimalistes comme les jardins de graviers ou le jardin sec. Dans les régions froides, il offre une note contemporaine aux terrasses et balcons.
Les Maoris travaillaient les fibres de Phormium comme nous utilisons le lin, pour la confection de paniers, cordages, tapis, vêtements…d’où son nom vernaculaire de « Lin de Nouvelle-Zélande » ou « Lin des montagnes ».
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Elisabeth et son jardin méditerranéenOn trouve principalement deux espèces de phormium, d’aspect sensiblement différent. La plupart des variétés du commerce sont des hybrides de ces espèces qui se déclinent en formes pourpres comme ‘Purpureum’, panachées (‘Golden ray’, ‘Variegata’, (‘Cream Delight’) ou finement rayées de rose et de rouge (‘Evening Glow’).
La plus répandue dans nos jardins est le Phormium tenax, c’est le grand lin de Nouvelle-Zélande, une vivace géante dont les feuilles érigées peuvent atteindre jusqu’à 2 -3 m de haut et d’envergure
Le phormium cookianum, habitué des zones côtières, plus menu, forme des touffes plus petites, voire naines, parfois ne dépassant pas 50 cm. Ses feuilles retombent pour adopter un port en fontaine. Il est plus particulièrement indiqué pour la culture en pot.
On trouve aussi des tailles intermédiaires (environ 1,2 m de hauteur) telles que Phormium cookianum ‘Tricolor’.
Le Phormium est une vivace assez peu rustique, en particulier les formes colorées. Assez frileux, il résiste tout de même jusqu’à -7°C en pleine terre, parfois davantage, sous un paillis bien aéré et en sol sec et bien drainé, il est un peu moins rustique en pot. Les formes les plus colorées sont moins solides.
Il est facile à cultiver en pleine terre dans les régions où les gelées sont légères et de courte durée. Chez nous, c’est le bord de mer qu’il préfère, ailleurs, sa rusticité est souvent mise à rude épreuve. Résistante au vent et aux embruns, c’est d’ailleurs une bonne plante pour le bord de mer, idéale en jardin côtier.
Le Phormium tenax (et ses cultivars), plus résistant à la sécheresse une fois bien établi, et peut-être mieux adapté aux climats méditerranéens, tandis que le Phormium cookianum préfère les régions du littoral Atlantique, plus humides, contrairement à ce que l’on peut lire parfois.
Tous deux préfèrent un sol profond restant frais en été et qui ne se dessèche pas, pour bien se développer en touffes.
Il ne résiste pas aux fortes gelées, c’est pourquoi, en climat plus rigoureux, il doit être planté en pot et rentré pour l’hiver. Partout ailleurs, dans les régions où le climat est clément, installez le Phormium en pleine terre, au soleil, dans un sol souple, plutôt sableux, bien drainé, profond et fertile.
Choisissez-lui un emplacement à la hauteur de son ample développement : au bout de 5 ans, sa silhouette s’affirme occupant souvent plus d’un mètre de large !
Utilisé en isolé ou planté par groupe, il structure l’espace et apporte verticalité et exotisme au jardin. Il s’intègre à merveille dans les jardins de graviers et les rocailles sèches, comme en grand massif de vivaces un peu flous, auxquels il apporte relief et ampleur.
Il apportera une touche exotique aux balcons, terrasses et dans les jardins urbains.
La plantation du Lin de Nouvelle-Zélande se fait au printemps de préférence, de mars à avril ou en fin d’été, de septembre à octobre.
En sol riche et bien drainé, le Phormium se montrera plus vigoureux et plus tolérants au gel. Si votre sol retient l’humidité, n’hésitez pas à planter votre en Phormium en haut d’une butte, où l’eau ne stagnera pas. Toutefois, veillez à ce que la plante ne manque pas d’eau, en particulier les premiers étés suivant la plantation.
En pleine terre
En pot
Le substrat doit être bien riche et très drainant pour une bonne aération des racines et éviter l’humidité stagnante. Installez-le en plein soleil.
→ En savoir plus dans notre fiche conseil : Cultiver le Phormium en pot
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Mettez de l'exotisme dans vos massifs !Le Phormium est facile à cultiver dans les régions où il ne gèle pas férocement.
En pleine terre
Protégez le pied d’un épais paillasson de graviers ou de feuilles mortes afin de conserver l’humidité du sol en été et protéger les racines du froid en hiver. En climat rude, enveloppez le feuillage d’un voile d’hivernage.
Les deux premiers étés, veillez à ce que la plante ne manque pas d’eau et que le sol ne soit jamais être trop sec, ni détrempé : le pied doit rester au frais. Une fois bien installé, en sol bien drainant, elle se montrera de plus en plus résistante à la sécheresse.
Par la suite, arrosez tous les 15 jours, pas davantage et uniquement en cas de sécheresse prolongée dans les régions du sud de la France. Ailleurs, dans les régions plus arrosées, en été, arrosez plus modérément. En hiver, il se contente de l’eau du ciel.
En pleine terre, le phormium n’a pas besoin d’engrais.
En pot
Les plantes cultivées en pot sont plutôt gourmandes et nécessitent davantage d’attention. Arrosez abondamment en période de croissance : la terre ne doit jamais sécher complètement. Nourrissez la plante avec un engrais liquide dilué dans l’eau d’arrosage, une fois par mois.
En hiver, réduisez les arrosages et les apports d’engrais, et laissez la terre sécher entre deux arrosages. Rempotez tous les 2 ans.
Comment tailler un phormium?
La taille se résume à un simple nettoyage de printemps. De mars à avril, à l’aide d’un sécateur, taillez les hampes florales défleuries à 20 cm du sol et coupez à ras, les feuilles fanées ou flétries.
Lire aussi : Phormium : comment le protéger du froid et l’hiverner ?
Le phormium se montre très peu sensible aux parasites, aux maladies comme à la pollution atmosphérique. Les jeunes plants peuvent toutefois subir des attaques de cochenilles farineuses reconnaissables aux amas cotonneux qu’elles laissent sur la plante. Elles ralentissent la croissance et décolorent le feuillage. Traitez avec des pulvérisations d’huile de colza. Renouvelez deux ou trois fois à 15 jours d’intervalle.
Les semis sont possibles en février-mars mais nous conseillons davantage, le prélèvement de jeunes rejets en automne. La division d’une grosse touffe peut s’avérer assez difficile, le phormium étant des plus coriaces ! Évitez de blesser les racines fragiles.
→ En savoir plus sur la division du Phormium dans le tutoriel d’Alexandra !
Le lin de Nouvelle-Zélande avec ses spectaculaires feuilles rubanées aux coloris surprenants allant du vert olive au pourpre noir en passant par des panachures blanc crème, roses ou abricotées, érigées en forme de glaive est toujours un point focal important dans un jardin ou en pot sur un balcon ou une terrasse.
Son feuillage acéré mais élégant, sa silhouette graphique belle toute l’année, se prêtent à de multiples utilisations et apportent toujours caractère, exotisme et verticalité à un décor. Il permet de composer des scènes originales et très colorées.
Vedette incontestée des jardins d’inspiration exotique, contemporaine ou méditerranéenne, le phormium s’intègre dans tous les jardins, même côtiers, qu’ils soient structurés, sauvages ou naturels auxquels il offre durant les quatre saisons, relief et ampleur.
Avec leur port architectural, les grands phormiums (Phormium tenax ‘Purpureum’, Phormium tenax ‘Variegatum’), sont parfaitement appropriés pour créer un centre d’intérêt spectaculaire et structurer un massif de vivaces et de petits arbustes. Utilisés en touffes isolées, ils constituent aussi des couvre-sols très ornementaux sous-plantés de vivaces tapissantes comme les verveines, pétunias ou les delospermas.
Faciles à marier entre eux ou à associer à d’autres plantes asiatiques, comme des Herbes du Japon, ils apprécient également la compagnie des palmiers de Chine, . Pour un massif moderne aux allures exotiques, entourez-les de cannas géants, de grands dahlias et de bulbes de Watsonias, de Kniphofias, Crocosmias.
Les plantes compagnes peuvent disparaître au fil des saisons, le phormium continuera à attirer le regard avec ses longues lanières colorées.
Dans les scènes naturelles, il fera sensation mêlée à de grandes graminées comme les pennisetums ou les miscanthus permettant de magnifiques mariages de formes fondés uniquement sur les jeux de feuillages persistants.
Pour une ambiance contrastée, les variétés roses et pourpres (‘Evening’ ‘Margaret Jones’, ‘Pink Panther’), se valoriseront mutuellement avec un Leptospermum scoparium ‘Red damask’, à la longue floraison d’un rouge profond, à une touffe de Muhlenbergia capillaris, véritable nuage rose en fin d’été, à la Grande mélianthe, à un Leucadendron ‘Safari Sunset’, à une Colocasia Sangria’, au Lophomyrtus ‘Magic Dragon’ ou encore au Callistemon ou au Ricinus communis ‘Carmencita rouge’.
Dans un jardin moderne aux lignes sobres, minéral et épuré comme le jardin de graviers ou le jardin sec, il s’associe à merveille d’autres plantes toutes aussi graphiques et faciles à vivre comme les bambous, les cordylines, les yuccas dans des compositions très contemporaines. C’est une plante remarquable qui s’associe bien au feuillage luxuriant des bananiers ou bien à l’architecture structurante des palmiers, d’un Dasylirion glaucophyllum ou des agaves.
Dans un jardin du bord de mer, il sera le compagnon idéal de plantes venues comme lui d’Océanie comme le Pittosporum tenuifolium Tom Thumb, le Pseudopanax Ferox ou encore l’Olearia macrodonta ‘Major’ ou Houx de Nouvelle-Zélande.
Dans un pot de grande taille, il produira un effet somptueux dans un tapis de verveines ou marié à un pélargonium et donnera un aspect véritablement exotique aux côtés d’un Trachycarpus wagnerianus ou palmier miniature.
→ Découvrez d’autres idées d’association avec les Phormium dans notre fiche conseil !
Comment tailler un phormium ?
C'est facile ! On parle d'un simple nettoyage de printemps. En mars-avril, à l'aide d'un sécateur, si vous avez eu la chance de voir votre plante fleurir, taillez les hampes florales défleuries à 20 cm du sol. Coupez à ras, les feuilles fanées ou flétries afin d'aérer la touffe et conserver une plante saine.
Mon phormium a les feuilles qui jaunissent, pourquoi ?
Le Lin de Nouvelle-Zélande est une plante de terrain drainant voir même sableux. Il craint les sols détrempés. En cas d'excès d'eau, ses feuilles peuvent se mettre à jaunir. En pleine terre, les arrosages doivent être modérés car les feuilles peuvent pourrir en cas d'excès d'humidité. Pour les plantes cultivées en pot, faites un bon drainage (graviers, billes d'argile..) et laissez la terre sécher entre deux arrosages.
bartnik, le 16 Septembre 2018
j'ai planté un phormium golden ray il y a 3 ans à proximité d'un puisard EP son développement spectaculaire m'inquiète car il absorbe toutes les plantes avoisinantes et notamment un cicas.
on me conseille de le supprimer.
il a triplé de volume en 3 ans, qu'en pensez vous? faut il le couper?
Réponse de Virginie, le 17 Septembre 2018
Bonjour Jacques,
En effet, le Phormium en pleine terre a tendance à prendre ses aises ! Il a besoin d’un emplacement à la hauteur de son ample développement : au bout de 5 ans, sa silhouette s’affirme occupant souvent plus d’un mètre de large. Il ne supportera pas la concurrence de plantes voisines moins expansives. Ce sera lui ou elles !
Claude ricol, le 1 Novembre 2019
Bonjour, J'aimerai soulever un problème rencontré avec les phormiums celui du retour à l'état sauvage, dans mon jardin la plupart des cultivars de phormiums perdent au fil du temps leurs belles couleurs et deviennent vert olive. Existe t'il des variétés aux caractéristiques bien établies. ?
Réponse de Lionel, le 6 Novembre 2019
Bonjour,
Cela peut arriver effectivement sur certaines variétés de végétaux, sur les Phormiums, le cas est assez rare. En tout cas nous n'avons à ce jour aucune remontée de ce phénomène sur les variétés que nous commercialisons.
Cordialement
Lionel
bororel, le 17 Mai 2020
Bonjour, j ai une haie de phormium tenax en bord de route, elle a poussé de façon spectaculaire. Cependant en son milieu,deux plants n ont pas le meme aspect. Leur port n est pas érigé, les feuilles retombent.
Y a t il un problème et lequel? Merci par avance pour votre réponse.
Réponse de Virginie D., le 24 Juin 2020
Bonjour,
C'est difficile à dire, d'autant que les autres à côté se portent bien. Il y a peut-être un souci à cet endroit, la terre qui sèche trop... vérifiez tout de même s'ils ne sont pas attaqués par des cochenilles farineuses.
Cordialement Virginie
SOULIE, le 2 Juillet 2020
Bonjour, j'ai deux phorniums, un Tenax drainé en pleine terre au soleil avec arrosage par goutte à goutte tous les deux jours,. Ses feuilles ont de grandes tâches marrons, comme brûlées et sèchent. Idem pour un Tenax. Purpurnum, celui-ci en pot drainé aussi et dont les feuilles deviennent rouges et sèchent. Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que cela vient d'un mode d'arrosage. Trop ou pas assez, car il me semble que cela peut en être la cause quand je les arrose. Merci pour votre réponse. Cordialement
Réponse de Virginie, le 22 Juillet 2020
Bonjour,
Cela est sans du à un excès d'eau. Le sol ne soit jamais être trop sec, ni détrempé.
En pot : En été, arrosez dès le substrat est sec (environ une fois par semaine)
En pleine terre : arrosez tous les 15 jours, pas davantage et uniquement en cas de sécheresse prolongée
Supprimez les feuilles abimées
Arrosez au pied, sans mouiller le feuillage
Ne pas arroser excessivement et permettre au substrat de sécher entre deux arrosages
Éviter que l’eau stagne sous les pots suite à l'arrosage
À titre préventif, effectuez des pulvérisations régulières de décoction de prêle.
Chantal Béjaud-Blanc, le 29 Juillet 2020
Bonjour Virginie,
J'ai installé il y'a 7 ans 3 Phormiums panachés roses-rouges-verts autour d'un Lilas des Indes dans l'esprit de garnir l'espace en hiver.
Seulement j'ai fait une erreur dans le choix des plans sans étiquettes, il y'en a un qui est moins panaché avec des feuilles érigées et qui prend de l'ampleur.
J'ai lu aujourd'hui dans vos descriptifs qu'il pouvait monter à 2-3 m !
Le lilas a très peu de fleurs cette année. Je crains que ce Phormium ne lui prenne tous les nutriments...
J'aimerais le déplacer vers une zone dans l'esprit rocaille où il pourrait être protégé des vents froids par 2 beaux Sénécio Greyii en place depuis 13 ans.
Ce transfert me fait peur et surtout puis-je le faire maintenant, sauf canicule s'entend, ou dois-je attendre sept-oct ?
Je réside en campagne vers La Rochelle.
Cordialement. Chantal
Réponse de Virginie D., le 14 Août 2020
Bonjour,
Je vous conseille de patienter jusqu'à cet automne. N'hésitez pas à lire notre fiche conseil aussi pour transplanter une plante.
Cordialement Virginie