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Les prêles sont des plantes vivaces que l’on apprécie pour leurs tiges érigées, très verticales, qui émergent directement à partir du sol. Leurs tiges sont robustes et creuses, et prennent de belles teintes, allant du vert foncé, parfois bleuté, au vert tendre, lumineux. Elles apportent beaucoup de structure au jardin. Comme les fougères, les prêles sont des plantes très anciennes, primitives, qui ont traversé le temps pour parvenir jusqu’à nous. Elles ont la particularité de ne pas produire de fleurs ni de graines.
La prêle est également une plante médicinale aux nombreux bienfaits (reminéralisante, diurétique, cicatrisante…), que l’on peut utiliser en tisane, jus ou gélules. De plus, au jardin, elle est utile pour faire des purins ou décoctions, efficaces contre les maladies cryptogamiques.
Les prêles sont des plantes très vigoureuses, qui n’ont pas vraiment besoin d’attention, et ne sont pas sensibles aux maladies ou ravageurs. Leur culture est donc très facile. La seule précaution à prendre est de les contenir, pour éviter qu’elles ne deviennent envahissantes. Il suffit pour cela de les planter en bac, ou d’installer une barrière anti-rhizomes.
Les prêles sont idéales pour végétaliser les bordures de bassin. Elles permettent d’obtenir une scène très naturelle, lorsqu’elles y sont implantées en compagnie de fougères, roseaux, Iris… Elles s’intègrent également très bien dans les jardins modernes et graphiques, ainsi que dans les massifs d’inspiration japonaise. Enfin, les prêles peuvent facilement se cultiver en pot ou bac. De cette façon, elles s’adaptent très bien aux petits jardins !
Les prêles sont des plantes vivaces à rhizomes, très caractéristiques par leurs longues tiges dressées, verticales, particulièrement graphiques. Ce sont des plantes de terrain humide, qui aiment les sols gorgés d’eau. Il en existe 25 espèces, que l’on trouve principalement dans les régions tempérées de l’hémisphère nord, notamment en Europe, en Asie et en Amérique du Nord.
Les prêles sont très proches des fougères, bien que ces plantes ne se ressemblent pas tellement au premier abord. Elles font partie du groupe des Ptéridophytes, qui rassemble les fougères et d’autres plantes qui ont le même mode de reproduction. Leurs origines sont très anciennes, puisqu’elles étaient là avant l’apparition des plantes à fleurs. Les prêles ont connu leur plein développement au Carbonifère, il y a environ 350 millions d’années. Celles qui persistent aujourd’hui sont de véritables fossiles vivants.
En France, dans la nature, on trouve 13 espèces différentes. À l’état sauvage, elles peuvent former de larges colonies. Elles poussent notamment dans les fossés, marécages, marais, en bordure de lac, dans les prairies humides et friches hygrophiles… En général, les prêles peuvent tolérer une profondeur de 10 cm d’eau, mais ne supportent pas d’être complètement submergées.
Comme les prêles poussent naturellement en France, et sont originaires majoritairement des zones tempérées de l’hémisphère nord, elles ont l’avantage d’être assez rustiques, bien adaptées à notre climat. L’Equisetum hyemale, par exemple, peut tolérer jusqu’à – 30 °C !
Les prêles appartiennent à la famille des Equisétacées, et à l’ordre des Equisétales, auxquels elles ont donné leur nom. Ce sont les seules plantes encore vivantes dans cette famille (et dans cet ordre), les autres genres étant éteints. Au Carbonifère, il existait de vraies Equisétales arborescentes, comme les Calamites, sortes de prêles géantes qui formaient de véritables arbres pouvant dépasser 10 m de haut !
Le nom Equisetum vient du latin Equus : cheval, et Seta : poil, soie. En anglais, les prêles sont nommées Horsetail : queue de cheval, et il est vrai que les espèces ramifiées, avec leur aspect touffu, peuvent évoquer une queue de cheval. Le nom d’espèce hyemale vient du latin Hiemalis, signifiant hivernal, car les tiges de cette prêle restent en place en hiver.
Les prêles se composent de tiges dressées, très verticales, qui partent directement du sol, et émergent à partir d’un rhizome souterrain. Elles peuvent former des touffes assez denses.
Les tiges sont creuses et cylindriques, et ont un aspect rigide, robuste, très droit. Elles se composent d’une succession de segments, qui sont comme emboités les uns sur les autres. À la jointure de ces segments, au niveau des entrenœuds, on trouve des gaines blanchâtres cernées de noir (écailles), contrastant avec le vert des tiges. Les entrenœuds sont très décoratifs chez certaines espèces, comme l’Equisetum hyemale. Les tiges des prêles sont cannelées, portant des stries longitudinales. Elles sont souvent épaisses, larges, ce qui rend la plante assez imposante. L’Equisetum scirpoides a un aspect beaucoup plus délicat, avec de petites tiges fines et souples.
Les tiges de prêles rappellent celles des bambous : elles sont droites, rigides, creuses et cylindriques, composées d’articles successifs, rejoints par des entrenœuds. Et, comme chez les bambous, elles émergent directement du sol à partir d’un rhizome souterrain.
L’aspect est très différent entre les prêles non ramifiées, comme l’Equisetum hyemale, qui ont simplement des tiges nues, très droites, et les prêles ramifiées, comme l’Equisetum arvense, qui portent aux entrenœuds de petites tiges verticillées, insérées par étages successifs. Ces prêles ramifiées ont une apparence bien plus touffue, et plus désordonnée, que les autres.
Les prêles sont des plantes très vigoureuses, et qui poussent rapidement. Elles peuvent devenir vraiment grandes et imposantes, ou rester bien plus petites ! Parmi les espèces cultivées au jardin, la plus grande est l’Equisetum camtschatcense, qui atteint jusqu’à 1,50 m de haut. L’Equisetum scirpoides, elle, est très petite, ne dépassant pas 20 cm de hauteur !
En Amérique du Sud, dans la nature, on trouve quelques espèces géantes… comme l’Equisetum giganteum, qui mesure jusqu’à 5 m de haut, ou l’Equisetum myriochaetum, pouvant atteindre 7 m de hauteur ! Ce sont les plus grandes prêles qui existent encore de nos jours.
Avec son aspect très vertical, la prêle est une plante idéale pour structurer un jardin. Les Equisetum hyemale et camtchatcense ont un aspect robuste et imposant, avec des tiges bien droites, tandis que l’Equisetum scirpoides a la particularité d’avoir des tiges plus flexibles, pouvant être ondulées.
Les couleurs des tiges vont du vert foncé, parfois bleuté ou gris, au vert clair, lumineux, pouvant tendre vers le jaune. Les entrenœuds sont couverts d’une gaine (constituée d’un verticille de minuscules feuilles), généralement plus sombre, noire, venant apporter du contraste.
L’Equisetum hyemale est décoratif tout au long de l’année, ses tiges restant en place en hiver. D’autres, comme l’Equisetum arvense, disparaissent pendant la saison hivernale.
Les prêles ne possèdent pas de vraies feuilles. Celles-ci sont réduites à de petites écailles, réunies pour former une collerette placée autour des nœuds. Elles sont verticillées et soudées à la base, entourant totalement la tige. Cette collerette est généralement blanchâtre et porte à son extrémité une rangée de petites dents, souvent noires, ce qui permet de contraster avec le vert de la tige. Comme les Equisetums n’ont pas de vraies feuilles, la photosynthèse est assurée par les tiges, vertes et bien développées.
Les prêles ne fleurissent pas et ne donnent pas de graines, mais produisent des spores, comme les fougères ! On dit qu’elles sont cryptogames, avec des organes reproducteurs cachés, à la différence des plantes à fleurs.
Les prêles produisent des épis sporifères (appelés strobiles), portés à l’extrémité des tiges, et qui prennent la forme de cônes bruns. Lorsqu’ils sont mûrs, ils libèrent une multitude de spores microscopiques, semblables à de la poussière. Ces spores se dispersent et germent lorsqu’ils sont au sol.
Ils donnent alors naissance à des prothalles, petits organismes intermédiaires, ressemblant à de minuscules larmes vertes, chlorophylliennes. Ces prothalles portent les organes sexuels, mâles ou femelles. C’est l’eau qui permettra la fécondation, assurant le déplacement des gamètes mâles vers les gamètes femelles. Cela permettra alors l’apparition d’un nouveau plant de prêle.
Les tiges fertiles et stériles peuvent avoir toutes la même apparence, comme chez l’Equisetum hyemale. Mais chez certaines espèces, comme l’Equisetum telmateia, ces deux types de tiges sont différenciés. Ainsi, ce sont les tiges fertiles qui apparaissent les premières, au début du printemps. Elles sont de couleur brun-beige (elles ne font pas de photosynthèse), et portent à leur extrémité les épis sporifères (strobiles). Elles disparaissent ensuite, rapidement après avoir libéré les spores. On voit alors apparaitre les tiges stériles vertes, à l’aspect plus ordinaire.
Cependant, les Equisetums s’étendent et gagnent du terrain plus par leurs rhizomes que par leurs spores. Les prêles ont en effet des rhizomes qui poussent à l’horizontale et s’étendent rapidement. Ces rhizomes traçants ont tendance à rendre la plante envahissante. Ainsi, nous vous suggérons d’utiliser une barrière anti-rhizomes lors de la plantation, ou de les cultiver en bac. S’ils s’étendent hors de leur emplacement, il peut être difficile de les éliminer. Chaque morceau de rhizome, détaché de la plante mère, peut donner naissance à une nouvelle plante. En général, les rhizomes des prêles sont assez profonds, pouvant aller jusqu’à 1 m de profondeur.
Pour ce qui est de l’exposition, les prêles se plairont si vous les installez au soleil ou à mi-ombre.
Les prêles affectionnent particulièrement les terrains humides, voire détrempés, marécageux… Elles sont parfaites pour agrémenter les bordures de bassin, en compagnie d’autres plantes de berge. Vous pouvez aussi les implanter directement en eau peu profonde (jusqu’à 10 cm de profondeur). Vous pouvez profiter des prêles pour végétaliser des espaces où le sol est détrempé en permanence, et où les autres plantes ont du mal à pousser. Les prêles ont l’avantage d’apprécier les terrains lourds et peu drainants, qui retiennent l’eau !
Les prêles ont également une préférence pour les terrains acides, et plutôt riches. Elles apprécient les sols argilo-limoneux, mais peuvent tolérer une grande diversité de sols.
Les prêles conviennent aussi très bien à culture en pot ou bac. Vous pourrez les installer dans un patio ou sur une terrasse. Cela permet de les contenir facilement, tout en profitant de leur aspect très graphique et structurant. Elles sont particulièrement bien adaptées aux petits jardins et cours intérieures. Vous pouvez les utiliser pour dissimuler un mur ou une clôture inesthétique, en créant comme un « rideau végétal ».
Nous vous conseillons de planter la prêle au printemps (avril-mai) ou début d’automne, vers septembre-octobre. Plantez lorsque le temps est relativement doux, en évitant les périodes de froid ou de fortes chaleurs.
Pour une plantation en pleine terre :
Vous pouvez aussi les planter en pot ou bac.
Nous vous conseillons de continuer à arroser régulièrement, surtout durant les premières semaines.
Enfin, vous pouvez planter vos prêles dans un bassin, sous une faible profondeur d’eau :
Le plus important concernant la culture des prêles, est de ne pas laisser le substrat se dessécher, en arrosant régulièrement si nécessaire. Soyez particulièrement vigilants si vous les cultivez en pot, en veillant à ce que le substrat reste humide même en été.
Hormis cela, les prêles ne demandent pas vraiment d’entretien. Lorsque vous en voyez, vous pouvez couper les tiges mortes ou abîmées, cassées, afin de maintenir une apparence bien graphique et verticale. Surveillez aussi les prêles pour éviter qu’elles ne s’étendent au-delà de leur emplacement et ne se propagent… Elles pourraient devenir compliquées à éliminer. Supprimez aussitôt les tiges ou rhizomes qui s’étendent hors de leur emplacement.
Les prêles sont des plantes robustes et pérennes, qui ne sont pas sensibles aux insectes ou aux maladies. Elles n’ont pas non plus besoin d’apports d’engrais.
Les prêles sont faciles à multiplier par division. Théoriquement, le semis de spores est également possible, mais, comme pour les fougères, il est long et compliqué, et ne présente pas vraiment d’intérêt, les prêles se multipliant très bien par division.
Pour diviser la prêle, la meilleure période est le printemps. Il est aussi possible d’intervenir en début d’automne, mais évitez les périodes de gel ou de fortes chaleurs.
Comme les prêles apprécient les milieux humides, elles sont parfaites en bordure de bassin. Vous pouvez en profiter pour aménager une zone assez naturelle, avec des fougères, joncs, roseaux (Phragmites australis), Acorus calamus… Vous pouvez ajouter quelques fleurs, comme les Iris pseudacorus, le Lythrum salicaria ou les primevères asiatiques. Profitez aussi de quelques vraies plantes aquatiques : nénuphars, laitues d’eau (Pistia stratiotes), Menyanthes trifoliata, Pontederia cordata… Découvrez également le Juncus effusus ‘Spiralis’, qui porte de surprenantes tiges spiralées !
Vous pouvez aussi consulter notre sélection de plantes pour bassin.
Avec leurs grandes tiges très droites et hautes, qui prennent en général de très belles teintes vertes, les prêles s’intègrent parfaitement dans les jardins modernes et graphiques (un vrai paradoxe, pour ces plantes préhistoriques, si anciennes !). Associez-les à d’autres plantes à l’aspect graphique, intéressantes pour leur silhouette ou leur feuillage décoratif : érables du Japon, graminées, fougères, Ophiopogon, Hostas, Alliums, Persicaria runcinata ‘Purple Fantasy’… Profitez aussi des buis ou ifs taillés. Si vous souhaitez ajouter quelques floraisons, restez dans des teintes sobres, et privilégiez le blanc, crème, bordeaux ou pourpre… Vous obtiendrez un jardin à l’aspect intemporel.
Pour plus d’idées, vous pouvez vous inspirer de cette ambiance graphique.
Les prêles sont précieuses également pour structurer les massifs. Elles apportent un élément vertical, qui attire immédiatement le regard et donne du volume au massif. Vous pouvez les utiliser pour amener du contraste, aux côtés de plantes au port plus arrondi et plus bas : alchémilles, hostas, bergenias, ophiopogons, heuchères, buis taillés…
Vous pouvez aussi les installer en bac sur une terrasse ou dans un patio, non loin de bambous, Hakonechloa, Imperata cylindrica ‘Red Baron’, Eucomis, agapanthes… Pensez aussi aux fougères, comme l’Athyrium niponicum ou le Dryopteris erythrosora.
Enfin, les Equisetums peuvent s’intégrer dans un massif d’inspiration japonaise. Aménagez un jardin zen, en y apportant des éléments minéraux, pierres et graviers, puis en y implantant des fougères, bambous, érables du Japon, pins taillés en nuage, helxine, Hakonechloa, Nandina domestica, cerisiers du Japon…
Les Equisetums peuvent être utilisés pour créer un rideau végétal, une séparation entre deux espaces, ou une bordure. Ils sont utiles pour habiller et dissimuler un mur ou une clôture inesthétique. Vous pouvez créer un très bel effet en les installant toutes en longueur, par exemple dans un bac long et fin, pour obtenir un effet de « rideau ». D’une manière générale, les prêles sont à installer en touffes restreintes, contenues.
Particulièrement riche en silice, la prêle est une excellente plante reminéralisante, que l’on peut employer contre les problèmes osseux (ostéoporose, arthrose, fractures…). Elle est également diurétique, efficace contre les troubles urinaires, et elle facilite la cicatrisation dans le cas de plaies superficielles. La plus employée pour ses propriétés médicinales est la prêle des champs, Equisetum arvense. Elle peut s’employer sous forme de décoction, de gélules, de teinture mère… Attention car la Prêle des champs (Equisetum arvense) peut être confondue avec la Prêle des marais (Equisetum palustre), qui elle est toxique.
La prêle peut être employée au jardin, sous forme de purin ou de décoction, efficace contre les maladies cryptogamiques (mildiou, rouille, oïdium…). On utilise surtout la prêle des champs, Equisetum arvense, qui se récolte en juin-juillet. Elle peut être employée en curatif, mais aussi en préventif, pour renforcer les défenses des plantes. Le purin est également efficace pour repousser les acariens, pucerons et limaces.
En raison de sa forte teneur en silice, qui lui donne un caractère abrasif, la prêle a été utilisée pour polir le bois ou pour récurer et faire briller les casseroles et marmites.
Richard racca, le 12 Mars 2019
ou puis je trouver des prêles pour planter?
Réponse de Lionel, le 12 Mars 2019
Bonjour,
Nous commercialisons ces trois variétés
https://www.promessedefleurs.com/solrsearch/result/?q=equisetum
Cordialement
Lionel
DUTHOIT, le 15 Juin 2020
Bonjour comment puis-je me débarrasser des Presles sachant que j'en ai qui poussent dans mes lignes de légumes merci de bien vouloir me répondre cordialement
Réponse de Alexandra, le 17 Juin 2020
Bonjour,
Il n'est en effet pas facile d'éliminer la prêle une fois qu'elle est installée. Nous vous conseillons de couvrir le sol avec une bâche noire pendant au moins un mois, afin de la priver de lumière. Vous pouvez aussi décompacter la terre, y apporter du sable grossier et de la matière organique afin de l'alléger et d'améliorer le drainage, car cette plante se plait dans les sols humides et compacts.
Pour plus de conseils, consultez notre fiche Comment se débarasser de la prêle au jardin
LACHAUD JEANINE, le 31 Juillet 2020
les rhyzomes des prêles peuvent-ils percer la bâche d'EPM des bassins ? merci pour la réponse.
Jeanine
Réponse de Virginie D., le 4 Août 2020
Bonjour,
Je ne pense pas non.
Cordialement Virginie
Bousseau, le 26 Février 2021
Comment remédier au jaunissement des prêles ?
Réponse de Gwenaëlle, le 11 Mars 2021
Les prêles ont tendance à jaunir après la période hivernale. C'est un phénomène naturel, elles vont rapidement se régénérer, la prêle ayant une croissance rapide
Clotilde R, le 1 Mars 2021
Bonjour, j'ai plusieurs bacs avec de la prêle d'hiver (achetée sur promesse de fleurs).
Dans un des bacs, la prêle pousse toute biscornue et non pas droite et graphique. Savez vous pourquoi? (manque d'eau, d'engrais? trop pas assez d'apport?)
Les bacs sont assez grand et avec réservoir à eau, l'exposition est celle du matin jusqu'à midi (Paris).
Merci d'avance pour votre aide et conseils
Réponse de Virginie D., le 16 Mars 2021
Bonjour,
Ça arrive, il faut recouper ces tiges qui poussent de façon un peu anarchique, à la base.
Cordialement
Amélie, le 10 Juillet 2021
Bonjour, je souhaite faire un petit parterre avec des preles, et le sol recouvert de galets.. si je mets un geotextile sur le sol avant les galets et autour de la « touffe » de prele, cette dernière sera t elle capable de percer le geotextile si elle veut se répandre? (Car j’aimerai qu’elle puisse s’étendre dans le parterre qui sera, lui délimité)
Merci beaucoup
Réponse de Virginie D., le 27 Juillet 2021
Bonjour,
La prêle va probablement la percer lorsque la toile commencera à s'user avec le temps. Vous pouvez mettre une plante couvre-sol à la place des galets, comme du Lysimachia nummularia Aurea par exemple. Ou alors plantez la prêle dans de grands pots enterrés, vous posez votre géotextile sur la surface autour des pots puis les galets dessus.
Jean Claude Divet, le 28 Mars 2022
Bonsoir.
Je recherche de la prèle. Et plus exactement celle qui émet un feuillage très fin. Es ce que sur les 3 que vous proposez il y celle-ci ? En fait, ce serait pour faire du purin, et des décoctions. Cordialement à vous.
Réponse de Ingrid, le 31 Mars 2022
Pour faire un purin ou une décoction, on utilise surtout la prêle des champs (Equisetum arvense) mais on peut utiliser aussi la prêle des marais (Equisetum palustre). Cette dernière est cependant moins riche en silice. Nous n'avons pas pour le moment la prêle des champs au catalogue, mais je remonte votre suggestion à notre équipe.
outerleys, le 21 Avril 2022
les tiges de ma prele noircissent
que se passe t il
comment la soigner
Réponse de Ingrid, le 26 Avril 2022
Bonjour. Difficile à dire sans le voir. Vous pouvez contacter nos conseillers par téléphone ou même encore mieux par mail en joignant une photo (en bas du site, cliquer sur « nous contacter »)
Zaza, le 4 Mai 2022
Bonjour
Est ce qu’il faut aussi arroser les preles l’hiver pour qu’elles restent humides ?
Pour info, les preles sont Plantées dans un Grand bac extérieur
Merci
Réponse de Ingrid, le 5 Mai 2022
Bonjour. Oui, la terre doit toujours rester humide, sans jamais se dessécher.
Mirambeau, le 7 Juin 2022
Bonjour
J ai cueilli de la prele au bord d un petit ruisseau.
J ai planté les tiges dès mon retour dans un grand pot en plastique, bien arrosé (limite detrempage). Deux jours après, les tiges sont toutes sèches et retombent sur le côté.
Comment dois je procéder pour ce type de prele?
Merci d avance.
Réponse de Ingrid, le 9 Juin 2022
Pour diviser la prêle, la meilleure période est le printemps. Il est aussi possible d’intervenir en début d’automne, mais évitez les périodes de gel ou de fortes chaleurs.
Déterrez une touffe d’Equisetum, ou sortez-la de son pot (Si la touffe est grande, étalée, vous pouvez n’en déterrer qu’une partie seulement).
Séparez-la en découpant les rhizomes en plusieurs parties. Idéalement, chaque morceau de rhizome doit comporter quelques tiges et racines.
Replantez chaque fragment à un nouvel emplacement, après avoir préparé le terrain. Nous vous conseillons de prévoir systématiquement une barrière anti-rhizomes, ou de planter en bac, afin de les contenir.
Arrosez généreusement. Il est possible que la plante retombe et semble souffrir quelque temps, mais devrait se remettre rapidement ou repartir de la souche.
Clerc, le 15 Juin 2022
Bonjour,
Nous avons un petit étang et les prêles en ont envahi la moitié.
Comment s'en débarrasser?
Merci. Cordialement
Réponse de Ingrid, le 16 Juin 2022
Une fois qu'elle s'étend trop, il n'est pas évident de la contenir. Le mieux est de supprimer aussitôt les tiges ou rhizomes qui s’étendent hors de leur emplacement. Après, la seule autre solution est de sortir la bêche ou de la priver de lumière en la recouvrant de paillis ou d'une toile opaque durant une année.
Solère, le 17 Juillet 2022
Bonjour, quels copeaux de bois me conseillez vous pour mes preles svp ?
Réponse de Ingrid, le 18 Juillet 2022
Bonjour. Vous pouvez un paillage organique à PH neutre comme le miscanthus, le chanvre, le foin, le lin, le paillage d'aiguilles de pin maritime ou à PH acide (la prêle apprécie la terre acide) comme les écorces de pin en format 5/15 .
MARIE-CLAIRE, le 18 Décembre 2022
Je voudrais mettre une prêle dans une bassine en zinc. L'hiver, quand il gèle fort ( moins 10 par exemple) que faut-il faire? Ce sera lourd et je n'ai pas de place où la mettre. Est-ce que c'est faisable ou le gel va-t-il la tuer?
Réponse de Ingrid, le 19 Décembre 2022
Bonjour. Il vous faut en premier lieu sélectionner une variété de prêle résistante au froid (Equisetum hyemale ou Equisetum camtschatcense). Placez une balle en caoutchouc dans la bassine en hiver afin de limiter la formation de glace. Vous pouvez aussi entourer l'extérieur de votre bassine de papier bulle en hiver ou avec un vieux paillasson pour l'isoler un peu.