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Connu sous le nom de Pigamon ou encore de Pigamon à feuilles d’ancolie, le Thalictrum est une vivace florifère au délicat feuillage finement découpé vert tendre ou gris-bleuté, remarquable par la poésie et la profusion de sa floraison.
Ses inflorescences aériennes et vaporeuses qui culminent pour certains très beaux cultivars comme le Thalictrum delavayi ‘Splendide’, à plus de deux mètres de haut, illuminent les zones ombragées du jardin. Semblables à des nuées d’étoiles échevelées, ses minuscules fleurs forment de mai-juin à septembre, selon les variétés, une brume lilas, rose, blanche ou jaune. Le Thalictrum delavayi, le plus emblématique des Pigamons, et le Thalictrum aquilegifolium, sont deux espèces remarquablement florifères.
D’immenses spécimens comme le Thalictrum ‘Elin‘ aux espèces couvre-sols, comme le Thalictrum kiushianum, le Pigamon s’intègre à tous les décors. Les géants du genre joueront le rôle éblouissant de plante de milieu ou de fond de massif créant un brouillard évanescent. Les espèces lilliputiennes formeront des tapis fleuris mousseux pour rocailles fraîches et murets.
Ses hautes silhouettes plumeuses, très prisées en Angleterre, sont des grands classiques des jardins flous, naturels, et apportent une empreinte poétique et expressive aux jardins de curé et aux mixed-borders.
C’est un incontournable des jardins roses auxquels il confère nuances, légèreté et transparence. Le Thalictrum est le compagnon idéal pour les rosiers anciens, avec lesquels il compose des scènes printanières et estivales opulentes et romantiques.
Bien installé sous la frondaison d’arbres caducs, en sol riche, frais mais bien drainé, et à l’abri du vent, le Pigamon forme en quelques années seulement de belles touffes généreuses aux côtés d’Anémones du Japon, Cœurs de Marie, Astilbes, Astrances, Lis, Digitales ou encore de Géraniums vivaces. Il créé un heureux contraste associé à des plantes au port moins souple comme les Hostas ou les Fougères.
Coupées, ses hampes florales légères composent de très jolis bouquets frais ou secs d’esprit champêtre.
Romantique, aérien, spectaculaire, découvrez le Thalictrum, cette grande vivace florifère facile à vivre qui illumine le jardin !
Le Thalictrum aussi appelé Pigamon est une plante vivace herbacée de la même famille que celle du bouton d’or : les renonculacées. Originaires des zones montagneuses fraîches et humides, on le trouve le plus souvent dans les régions tempérées de l’hémisphère Nord, en Amérique, Europe et Asie, principalement en Chine et au Japon. A l’état sauvage, il pousse en altitude, dans les zones fraîches et ombragées, au bord des torrents, en forêt, dans les prairies et sur les pentes herbeuses.
Vigoureux, le Pigamon pourra être planté partout en France, sauf en régions très ventées et en climat méditerranéen. La plupart ont une nette préférence pour les régions aux étés frais et humides. La légèreté apparente et délicate du Thalictrum est trompeuse : c’est une vivace solide à la santé de fer. Parfaitement rustique, le Pigamon resiste au gel et supporte tout à fait bien des températures négatives jusqu’à -15 °C, mais seulement sur une courte durée.
En grec, Thalictrum signifie « qui verdit rapidement », en référence à sa propension à développer très vite une végétation abondante.
Plus de 130 espèces de vivaces rhizomateuses ou tubéreuses composent ce genre. Des immenses spécimens aux espèces couvre-sols, chaque Thalictrum trouve sa place au jardin. On cultive essentiellement sous nos latitudes : le Thalictrum delavayi, qui est le plus emblématique des Pigamons et le Thalictrum aquilegifolium, deux espèces remarquablement florifères. Certains hybrides, comme le Thalictrum ‘Elin’, est un géant pouvant atteindre près de 3 mètres de haut. Parmi les espèces les plus couramment cultivées, le Thalictrum rochebrunianum fait partie des plus imposants. Le Thalictrum actaeifolium et le Thalictum flavum ont la particularité de porter des fleurs odorantes, sans oublier les adorables couvre-sols comme le Thalictrum kiushianum qui ne dépasse pas les 10 cm.
Les grands Thalictrum, possèdent un port dressé et aéré formant de larges touffes vigoureuses, plus ou moins évasées, dont l’envergure peut atteindre 60 cm. Ils sont parfaits installés dans les milieux ou fonds de massifs dans les zones semi-ombrées, les sous-bois ou jardins de prairie. Les plus petits font de bonnes plantes de rocailles fraîches.
Un peu paresseux à l’installation, le Pigamon a besoin d’environ deux années pour s’étoffer et exprimer alors toute sa mesure. Mais, il mérite qu’on l’attende car, plus les années passent, plus il devient beau. Une fois bien enracinée, cette vivace rhizomateuse croit rapidement pour former des touffes denses. Quasi increvable, il possède une belle longévité.
En avril, de sa souche robuste émergent, lentement d’abord, des feuilles très découpées et de grandes tiges graciles mais robustes, plus ou moins sillonnées, très ramifiées vert bleuté ou brun pourpré presque noir selon les variétés.
Très vite, dès que la température se réchauffe, il forme en quelques semaines à peine, une grande masse légère et florifère formée d’une nuée de petites fleurs.
Spectaculaire, la floraison plumeuse confère à cette grande vivace des allures de gypsophile géant. De juin à mi-septembre, des hampes florales, souples, très aériennes, pouvant monter jusqu’à 2,50 m de haut pour le Thalictrum ‘Elin’, portent des grandes panicules ou des corymbes lâches, très ramifiés comportant d’innombrables billes duveteuses qui éclosent en petites fleurs étoilées (de 1 à 3 cm). Rose, jaune, lilas, blanc pur ou violet intense, elles semblent en suspension dans l’air, constellations arachnéennes, accrochées à leurs pédoncules très fins. Dépourvue de pétales, chaque fleur comporte des sépales simples ou semi-double qui entourent des bouquets d’étamines parfois si proéminentes, qu’elles donnent aux fleurs des allures de pompons mousseux évoquant le gypsophile ou le mimosa.
Les fleurs sont parfois bicolores avec des sépales blancs ou roses et des étamines contrastées pourprées, lilas aux extrémités blanches, blanches touchées de vert ou jaunes. Les sépales tombent plus ou moins rapidement au début de la floraison, laissant les nuées d’étoiles d’étamines donner la couleur. Certains cultivars comme le Thalictrum delavayi ‘Hewitt’s Double’ ne possèdent pas d’étamines mais des fleurs doubles, semblables à de minuscules roses douces et veloutées.
La floraison dure un bon mois. Si le Thalictrum delavayi fleurit de l’été jusqu’à la fin de l’automne, le Thalictrum aquilegifolium offre une floraison printanière, en mai-juin.
Le parfum n’est pas le principal atout des fleurs de Thalictrum, cependant, certaines espèces comme le Thalictrum flavum, Thalictrum actaeifolium sont odorantes et exhalent un léger parfum de bergamote. Particulièrement mellifères, elles attirent les insectes pollinisateurs
Chaque fleur pollinisée donne un petit fruit ailé. Installé dans des conditions favorables, en sol lourd et frais, le Thalictrum (notamment T. aquilegifolium) a tendance à se naturaliser en se ressemant spontanément. Dès qu’elles sont à maturité, les graines brunes se disséminent portées par le vent.
Les inflorescences nuageuses des Pigamons font de jolis bouquets aériens secs ou frais : en vase, les fleurs durent une bonne semaine après la cueillette. Elles sont parfaites en bouquets champêtres et romantiques, associées à des roses, des lis ou des ombellifères.
Le feuillage d’une rare élégance est aussi intéressant que la floraison. Caduc, il disparaît en hiver et ne réapparaît que tardivement au printemps, ce qui permet d’associer le Thalictrum avec des plantes bulbeuses qui occuperont l’espace en début de saison. Finement ciselé, léger, il évoque celui de certaines fougères comme la capillaire, mais plus encore celui des ancolies : une ressemblance qui a valu au Thalictrum aquilegifolium, le surnom de «Pigamon à feuilles d’ancolie ». Très fines d’aspect et délicates, les feuilles dentelées, divisées en folioles arrondis et plats de 3 à 5 lobes mesurent selon les espèces, de 10 à 40 cm. En s’étalant, elles apportent une certaine opulence à la plante. Le feuillage revêt de belles nuances de vert, du tilleul au glauque légèrement bleuté et argenté.
S’il ressemble au Gypsophile paniculé, le Thalictrum préfère cependant les ambiances fraîches des lisières de sous-bois ; il aime les expositions lumineuses mais sans soleil direct aux heures les plus chaudes. On lui réserve donc une place exposée au soleil du matin ou du soir, sous la frondaison d’arbres caducs. A l’inverse le Thalictrum n’aime pas les ombres trop denses qui limiteraient sa floraison : ne le placez pas en concurrence avec des arbustes qui pourraient le priver de lumière et lui offrir un sol trop sec en été. Mieux vaut lui octroyer une place abritée des vents secs et violents qui risqueraient de dessécher le feuillage et coucher les hautes hampes florales.
Très facile de culture, peu contraignant, il exige cependant pour bien fleurir, une terre riche en matière organique, bien drainée et dépourvue de calcaire. S’il tolère un peu tous les types de terre (à l’exception des terrains trop pauvres, secs et très caillouteux), sa préférence va typiquement vers une terre de sous-bois, neutre ou acide. Il aime les sols légers, même lourds mais qui restent frais et maintenus suffisamment humides avec un bon paillis pendant la période de végétation. Un sol frais lui permet de se développer avec vigueur.
Les immenses spécimens comme le Thalictrum ‘Elin’ s’utilisent rarement en isolé mais se plantent en fond de massif, associés à d’autres vivaces à fort développement ou à des arbustes qui joueront les souteneurs, empêchant leurs touffes de se coucher de façon disgracieuse. On réserve les espèces couvre-sols, comme le Thalictrum kiushianum aux rocailles fraîches et murets fleuris.
Le nom spécifique delavayi a été donné au Thalictrum en l’honneur du père Jean-Marie Delavay, missionnaire chrétien, qui au XIXème siècle, collecta en Chine pour le Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris, une des plus grandes collections botaniques.
Le genre Thalictrum comprend environ 130 espèces de taille et de couleur de fleurs variables. Des Thalictrum lilliputiens aux Pigamons géants, chacun trouve sa place au jardin. Le Thalictrum delavayi, est le plus emblématique des Pigamons et avec le Thalictrum aquilegifolium, il compte parmi les plus florifères du genre. Ils comportent tous deux de nombreux cultivars intéressants. Parmi les espèces les plus couramment cultivées, le Thalictrum rochebrunianum est l’un des plus imposants. Si la plupart des Pigamons sont non parfumés, certains exhalent un léger parfum. Les grands Thalictrum, constituent de bons milieux ou fonds de massif pour les zones semi-ombrées, les Pigamons nains comme le Thalictrum kiushianum, font de bonnes plantes pour rocailles fraîches formant lentement un charmant petit tapis très florifère.
les Pigamons géants :
Le Thalictrum peut se planter au printemps de mars à mai après les gelées ou à l’automne de septembre à novembre, après les fortes chaleurs.
Sous ses airs de belle vivace très facile de culture, le Thalictrum a quelques exigences : Il déteste les expositions chaudes et desséchantes, les vents secs et violents et la concurrence des racines.
Vigoureux, le Thalictrum pousse un peu partout en France, excepté dans les régions sèches et très ventées et en climat méditerranéen, car il redoute le soleil brûlant. Le Pigamon supportera la chaleur estivale, dans les régions tempérées, à condition que le sol reste toujours humide et frais.
D’une très bonne rusticité, il résiste au gel et supporte bien des températures inférieures jusqu’à -15 °C mais seulement sur une courte durée.
Le Thalictrum se cultive dans un coin plutôt ombragé et bien dégagé, à l’abri des vents forts : il s’épanouira à mi-ombre, à l’abri du soleil direct, sous des arbres caducs qui lui apporteront une fraîcheur bienfaisante. Il préfère une situation dégagée, ce qui l’encouragera à donner toute sa hauteur. Les ombres trop denses limiteraient sa floraison : ne le placez pas en concurrence avec des arbustes qui le priveraient de lumière. Il n’aime pas non plus la concurrence des racines : veillez donc à lui laisser de l’air !
On lui connaît un ennemi redoutable : le vent. Une situation trop ventée est une menace pour ces grandes vivaces. Ces hautes silhouettes plumeuses sont gracieuses tant qu’elles se tiennent bien droites ! On leur réserve une place abritée des vents secs et violents qui risqueraient de dessécher le feuillage et de faire coucher les touffes.
S’il s’intègre à tous les décors, il prend toute sa mesure dans le rôle de plante de milieu ou de fond de massif. Les variétés les plus hautes (Thalictrum ‘Elin’, Thalictrum delavayi ‘Splendide’, Thalictrum rochebrudianum) se plantent en arrière-plan de massifs, auxquels elles donnent un relief vaporeux et une verticalité saisissante. Une plantation en contre bas permettra de profiter pleinement de leur floraison.
Les espèces couvre-sol comme le Thalictrum kiusianum, sont parfaites en rocailles d’ombre, dans les plates-bandes fraîches.
Le Thalictrum est lent à s’installer mais une fois bien établi, au bout de deux ans, il est très pérenne. Le secret de culture de cette vivace vigoureuse réside donc dans la plantation.
Une fois installé dans des conditions culturales idéales, le Thalictrum n’est pas contraignant. Très résistant aux maladies, il réclame peu de soin et se révèle être une belle plante vivace sans histoire, avec une santé de fer ! Pourvu que le sol reste frais et suffisamment nourrissant.
Les pigamons n’ont qu’un seul ennemi connu : les gastéropodes. Facile à vivre, il ne connaît pas de maladies, sauf peut-être l’oïdium lors de sécheresse. Surveillez les attaques de limaces au démarrage de la végétation !
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Massif RomantiqueLa division de touffe est possible mais délicate, le risque d’abîmer la racine est considérable. Nous ne la conseillons pas, d’autant que le Thalictrum se sème très facilement.
En effet, le semis est la méthode la plus simple : cette vivace est très facile à cultiver à partir de graines. Si certaines variétés, comme le Thalictrum delavayi ‘Hewitt’s Double’ qui est stérile ainsi que les hybrides, ne se multiplient pas par semis, la plupart des pigamons donnent des graines qui lèvent facilement. Les semis s’effectuent à l’automne avec les graines fraîches de l’année, récoltées dès qu’elles virent au brun, avant qu’elles ne se dessèchent ou avec des graines vendues en sachets.
Valeur sûre des massifs d’ombre légère, le Thalictrum est parfait pour illuminer les zones fraîches et jouer sur les nuances et les dégradés. Par sa haute silhouette aérienne, son feuillage délicat et léger, ses inflorescences pastel, il métamorphose un simple massif de vivaces en un mixed border poétique. C’est le compagnon idéal pour les rosiers anciens, avec lesquels il compose des scènes printanières et estivales opulentes et romantiques. Il fait le charme des cottages anglais et des jardins flous aux allures champêtres ou de curé, auxquels il apporte hauteur, exubérance et légèreté. Il est un incontournable des jardins roses.
Il s’épanouit dans une communauté, aux côtés de vivaces à fort développement qui précéderont ou prendront le relais de sa floraison, comme les Anémones du Japon, les Cœurs de Marie, Aconit, Ancolies, Astrances, Digitales ou encore Géraniums vivaces.
Qu’il soit haut ou couvre-sol, le Thalictrum s’intègre à tous les décors, et peut aussi bien jouer le rôle éblouissant de plante de milieu ou de fond de massif créant une brume évanescente que de tapis fleuri mousseux pour rocailles fraîches.
Il créé un heureux contraste associé à des plantes au port moins souple comme les Hostas ou les fougères et fait merveille avec les arbustes de terre de bruyère comme les Hydrangeas avec qui il compose des massifs luxuriants.
Vous pouvez également composer une belle association avec des Lis, des Astilbes ou encore des graminées ou d’une Uvularia grandiflora. Les Thalictrum fleurissant en fin d’été et au début de l’automne s’associent magnifiquement aux Asters dont il accompagne la floraison. Et pour garder la fraîcheur au pied du Thalictrum, pensez aux couvre-sols comme des Aspérules, un tapis de Pervenches ou de Bugles rose tendre.
Besoin de plus d’inspiration ? Découvrez notre fiche conseil : « Thalictrum, Pigamon : 8 belles idées d’association ».
Planté il y a deux ans, mon Pigamon ne pousse pas, est-ce normal ?
Oui, ne vous inquiétez pas. Le Pigamon a besoin d’environ deux années pour s'installer correctement et exprimer toute sa mesure. Il va végéter les premières années. Mais, il mérite qu’on l’attende car, plus les années passent, plus il devient beau. Une fois bien enracinée, cette vivace rhizomateuse croit rapidement pour former des touffes denses. Votre patience sera récompensée : bien enraciné, il est ensuite quasi increvable!
Peux-t-on planter le Thalictrum en isolé?
Oui, c'est possible mais l'effet sera moins saisissant que pour une plantation en nombre. C'est associé à d'autres vivaces que sa beauté se révèle. Les immenses spécimens s’utilisent rarement en seules mais se plantent de préférence en milieu ou en fond de massif, avec d’autres vivaces à fort développement comme les Hostas ou les Anémones du Japon ou encore des arbustes comme les Hydrangéas qui joueront le rôle de soutien, empêchant leurs touffes de se coucher de façon disgracieuse.
J'ai une rocaille à l'ombre, quel Thalictrum dois-je choisir pour la fleurir ?
Le genre Thalictrum compte des spécimens géants mais aussi des espèces couvre-sol, un peu moins connues mais remarquablement florifères. Le Thalictrum kiushianum sera superbe en rocailles fraîches, bordures ombragées et murets fleuris. Il formera d'années en années un charmant petit tapis très florifère, offrant d'avril à juin, puis à nouveau en septembre, une profusion de petites fleurs en pompons rose-mauve tendre.
Mon jardin est assez exposé au vent, puis-je tenter la culture du Pigamon ?
Le Pigamon a un ennemi redoutable : le vent ! Une situation trop exposée est une menace pour ces grandes vivaces. Réservez-lui une place abritée des vents secs et violents qui risqueraient de dessécher le feuillage et de faire coucher les touffes. Autre précaution, en particulier pour les variétés géantes : le tuteurage. C'est indispensable, surtout si, comme chez vous, ils sont exposés au vent. Faute de quoi les tiges ne casseraient à la moindre rafale et votre massif ressembleraient à un champ de bataille après l'orage ! Pour éviter cela, nous vous recommandons également d’installer le Thalictrum avec d’autres plantes vivaces ou arbustes, sur lesquels il pourra prendre appui.