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L‘érable du Japon fascine par son port gracieux et son feuillage aux métamorphoses saisonnières spectaculaires. Petit arbre ou grand arbuste emblématique des jardins zen, l’Acer palmatum séduit autant par ses feuilles finement découpées que par ses flamboyantes couleurs automnales. Sa plantation mérite une attention particulière pour garantir son épanouissement et profiter pleinement de sa beauté légendaire au fil des saisons. Choix de l’emplacement, type de sol, période idéale ou encore méthode de plantation en pot ou en pleine terre : votre réussite dépend de ces éléments essentiels. Découvrez nos recommandations pour une plantation réussie de votre érable japonais et créez un havre de sérénité dans votre jardin !
Retrouvez notre fiche complète : Erable du Japon : planter, tailler et entretenir
La mi-ombre représente l’exposition parfaite pour votre érable japonais, lui offrant la luminosité nécessaire sans l’agresser. Cette position privilégiée, sous la canopée légère d’arbres plus grands ou dans un sous-bois clair, permet au feuillage de développer ses plus belles couleurs sans risquer de brûlures.
En climat méridional, un voile d’ombrage s’avère précieux durant les périodes de forte chaleur pour préserver la fraîcheur du sol. Les cultivars à feuillage pourpre ou panaché apprécient particulièrement cette exposition modérée qui sublime leurs teintes tout en protégeant leur délicate matière végétale.
Protégez votre érable japonais des rayons ardents du soleil, particulièrement entre 12h et 16h où le feuillage risque de se dessécher. Un voile d’ombrage temporaire s’avère précieux durant les premières années de croissance lente. Les vents desséchants constituent une autre menace pour ces arbustes délicats. Une haie brise-vent ou la proximité d’un mur protecteur offre un abri idéal, sans créer d’excès d’humidité au pied de l’arbre. Pour les spécimens en pot, privilégiez un emplacement abrité sur votre terrasse, où la culture s’adapte parfaitement aux petits espaces tout en permettant de déplacer l’arbuste selon les saisons.
Le substrat idéal pour votre érable japonais combine plusieurs éléments aux propriétés complémentaires. Un mélange équilibré associant terre de bruyère et terreau de plantation favorise un développement harmonieux des racines. Pour une croissance optimale, préparez un substrat composé d’un tiers de terre de bruyère, d’un tiers de terreau riche en matière organique et d’un tiers de sable grossier, garantissant ainsi un excellent drainage. La pouzzolane, incorporée en petite quantité, améliore l’aération du sol et prévient les excès d’eau. Un paillage d’écorces de pin en surface maintient la fraîcheur et l’acidité nécessaires à l’épanouissement de votre Acer palmatum.
L’automne offre les meilleures conditions pour installer votre érable japonais, quand la terre conserve encore la chaleur de l’été. Cette saison permet aux racines de se développer tranquillement avant les premières gelées, préparant ainsi une reprise vigoureuse au début du printemps. En climat doux, la plantation reste possible jusqu’à fin novembre.
Les érables du Japon en conteneur peuvent aussi rejoindre votre jardin au printemps, dès que les risques de gel s’éloignent. Dans ce cas, un arrosage régulier et un paillage protecteur s’avèrent indispensables pour traverser la première période estivale. Un voile d’ombrage temporaire protègera le jeune plant des ardeurs du soleil pendant son installation.
Commencez par creuser un trou deux fois plus large que la motte et aussi profond. Cette dimension généreuse permet aux racines de votre nouvel arbuste de coloniser facilement le sol environnant. Disposez au fond une couche drainante de graviers ou de pouzzolane, particulièrement en terrain argileux.
Positionnez délicatement votre sujet en veillant à ce que le collet affleure la surface du sol. Un tuteur souple, installé face aux vents dominants, guidera sa croissance pendant les premières années. Comblez avec le mélange de substrat préparé sans tasser excessivement.
Un large paillage d’écorces de pin complète l’installation, formant un cercle de 50 cm autour du tronc. Un arrosage copieux finalise la plantation, en créant un contact optimal entre les racines et la terre nourricière.
Les variétés naines et compactes s’épanouissent magnifiquement en conteneur, offrant la possibilité de créer un jardin zen même sur un petit balcon. Un pot en terre cuite de 40 à 50 cm de diamètre, percé de trous de drainage, constitue le support idéal. Le mélange de culture associe 60% de terreau pour plantes de terre de bruyère et 40% de pouzzolane, garantissant une parfaite aération des racines.
Les arrosages réguliers mais modérés maintiennent le substrat frais sans excès d’eau stagnante. Un paillage de graviers décoratifs en surface limite l’évaporation tout en apportant une touche minérale caractéristique des jardins asiatiques. Une fertilisation légère au printemps, avec un engrais organique pour plantes acidophiles, soutient la croissance harmonieuse du feuillage.
L’érable du Japon sublime naturellement les massifs de plantes de terre de bruyère, où son feuillage aérien contraste avec les volumes arrondis des azalées et rhododendrons. Sa silhouette graphique prend toute sa dimension en fond de massif, tandis que des fougères et des hostas tapissent élégamment le sol à ses pieds. Un paillage d’écorces de pin maintient la fraîcheur et l’acidité nécessaires à l’ensemble du massif.
Le choix de l’emplacement s’avère crucial pour créer une scène évocatrice des jardins zen. Une exposition mi-ombragée, près d’un muret ou d’une rocaille, met en valeur la structure naturelle de l’arbre. Un gravier clair, disposé en cercles concentriques autour du tronc, renforce l’ambiance méditative typique des styles de jardins asiatiques.
Un arrosage modéré mais régulier maintient la vigueur du feuillage de votre Acer palmatum. Les apports d’eau se font de préférence à l’eau de pluie ou déminéralisée, le calcaire étant peu apprécié des racines. Au printemps, surveillez l’humidité du sol en surface et arrosez dès que les premiers centimètres s’assèchent.
Les chaleurs estivales demandent une vigilance accrue, particulièrement en plein soleil où deux arrosages hebdomadaires peuvent s’avérer nécessaires. Une brumisation matinale du feuillage rafraîchit l’atmosphère et prévient les attaques d’acariens. Un paillage d’écorces de pin, renouvelé chaque printemps, conserve la fraîcheur au pied de l’arbuste.
Pour soutenir la croissance harmonieuse de votre Acer palmatum, une fertilisation modérée au printemps suffit généralement. Un engrais organique à libération lente, type corne broyée ou sang séché, apporte les nutriments essentiels sans risquer de brûler les racines. Les apports se font en mars-avril, période où les bourgeons commencent à gonfler.
Les variétés cultivées en pot bénéficient d’une seconde fertilisation légère en juin, avec un engrais spécial plantes acidophiles. Un dosage raisonné évite une pousse trop vigoureuse qui fragiliserait l’arbuste face aux gelées hivernales. Les composts et fumiers sont à proscrire car ils peuvent favoriser l’apparition de champignons au niveau des racines.
Les variétés d’érables japonais montrent une belle résistance naturelle au froid, supportant des températures jusqu’à -15°C en dormance. Le voile d’hivernage s’avère néanmoins précieux pour les jeunes sujets et les cultures en pot, plus vulnérables aux gelées tardives du printemps.
La protection démarre dès l’automne avec une réduction progressive des arrosages, permettant aux tissus de se concentrer pour affronter l’hiver. Un paillage généreux d’aiguilles de pin ou de feuilles mortes protège la zone racinaire des alternances gel-dégel.
Pour les érables cultivés en conteneur, un déplacement à l’abri d’une façade ou sous une avancée de toit limite l’impact des vents desséchants. Les spécimens en pleine terre bénéficient d’une protection légère des branches par un voile non tissé, particulièrement efficace contre les gelées printanières qui menacent les jeunes pousses.
Des teintes flamboyantes parent les cultivars pourpres de la famille des acéracées, créant un tableau vivant qui évolue au fil des saisons. L’Acer palmatum ‘Bloodgood’ déploie un feuillage pourpre intense dès le printemps, s’assombrissant en été avant d’exploser en rouge écarlate à l’automne. Plus compact, le ‘Shaina’ arbore des feuilles denses rouge cramoisi, tandis que l’élégant ‘Trompenburg’ séduit par ses lobes enroulés d’un pourpre profond.
Ces variétés atteignent leur apogée lors de la métamorphose automnale, leurs frondaisons se parant alors de nuances incandescentes allant du vermillon au grenat. Le ‘Fireglow’ illumine particulièrement les jardins avec son feuillage bordeaux lumineux qui s’embrase littéralement rouge à l’automne, créant un spectacle fascinant jusqu’aux derniers jours de la saison.
Les érables du Japon aux feuilles vertes apportent une touche de fraîcheur et de sérénité au jardin. Le ‘Viridis’ déploie un feuillage finement découpé vert tendre qui ondule avec grâce au moindre souffle d’air. Pour illuminer les zones ombragées, les variétés panachées comme ‘Butterfly’ parent leurs feuilles vertes d’élégantes marges blanc crème, créant un effet de dentelle naturelle.
Le ‘Ukigumo‘ se distingue par ses jeunes pousses spectaculaires teintées de rose et de blanc sur fond vert, offrant un tableau changeant au fil des saisons. Ces cultivars plus délicats nécessitent une exposition à mi-ombre pour préserver la netteté de leur panachure et éviter les brûlures foliaires.
Le rythme de croissance modéré de l’érable japonais, de 15 à 30 cm par an, facilite sa conduite au jardin. Sa silhouette naturellement gracieuse nécessite peu d’interventions, la taille se limitant à l’élimination des branches mortes ou mal placées. Un éclaircissage léger en fin d’hiver aère la structure et met en valeur les plus belles ramifications.
Les jeunes sujets demandent une taille de formation douce au printemps, juste après l’apparition des premières feuilles, pour orienter harmonieusement leur développement. Les coupes, toujours nettes et en biseau, se font au-dessus d’un bourgeon orienté vers l’extérieur. Une application de mastic cicatrisant protège les plaies importantes et prévient l’installation de maladies fongiques.
Les feuilles qui brunissent brutalement et les rameaux qui se dessèchent signalent souvent la présence de la verticilliose, une maladie fongique redoutable pour les érables japonais. Les cochenilles farineuses et les pucerons peuvent également affaiblir votre Acer palmatum en colonisant le revers des feuilles. Une pulvérisation de savon noir dilué suffit généralement à les éliminer.
La surveillance régulière de votre érable permet de détecter rapidement l’apparition de taches noires sur les feuilles ou d’un feutrage blanc caractéristique de l’oïdium. Un traitement préventif à base de purin d’ortie renforce naturellement les défenses de l’arbuste. L’installation dans un sol bien drainé et une taille modérée limitent considérablement les risques sanitaires.
Si vous habitez une région humide ou que votre terrain est lourd, argileux, n’hésitez pas à planter sur une butte pour faciliter l’écoulement de l’eau.
Vous pouvez aussi planter votre érable du Japon en bac. Cela constitue d’ailleurs une bonne solution si votre terrain n’est pas adapté à la culture de ces érables : trop calcaire, trop argileux, etc. Choisissez un pot deux à trois fois plus large que la motte. Déposez impérativement une couche de graviers au fond, pour permettre le drainage. Plantez dans un substrat riche, auquel vous pouvez ajouter un peu d’écorces de pin. Il est important que le substrat retienne l’eau, car en pot, il risque de sécher bien plus rapidement qu’en pleine terre. Pour cette même raison, vous devrez arroser régulièrement, tout en laissant le substrat sécher entre deux arrosages.
NOURY Emmanuelle, le 31 Mai 2019
Bonjour,
J'ai un érable du Japon en pot. Il n'a que très peu de soleil direct, juste 1/2 h à 1 h les matins d'été (expo nord est). Ses feuilles sont sèches à leur extrémité et je ne sais quoi faire (planté depuis automne 2017). Je l'arrose depuis quelques temps avec de l'eau déminéralisée.
Merci pour vos conseils.
Emmanuelle
Réponse de Virginie D., le 24 Juillet 2019
Bonjour Emmanuelle,
Il y a des variétés qui ne supportent pas le soleil, il faut impérativement les planter dans un endroit ombragé. Pas d'ombre trop dense non plus sinon les couleurs ternissent. Le vent peut être desséchant aussi. L'idéal serait un endroit ombragé et abrité du vent.
Cordialement.
Virginie
Muriel G.R, le 25 Octobre 2020
Bonjour,
J.adore les érables, mais j'habite dans le sud , en Provence , où les étés sont très chauds, au soleil brûlant, le mistral est souvent de passage, et les gelées courantes en hiver.
En vous lisant ,je me fais une raison :-(, je ne pourrai jamais en planter un en pleine terre .
J'ai compris pourquoi celui que j'ai planté végète, trop de chaleur ,et de soleil . J'avais cru comprendre et ,je lui avais fait un parasol perso pour le protéger.
Mais l'emplacement est idéal pour le protéger du vent et du froid .... Ailleurs il lui lanquera oujurs quelque chose suivant la saison ...
C'est quand même compliqué, faut le mettre de préférence seul,car ses racines n'aiment pas la concurrence , mais sous un arbre caduque pour le protéger du Soleil d'été. Plutôt isolé mais pas en plein vent ... A l'ombre ou mi ombre , pour le sud , mais l'hiver il va geler :-(.....
Quel case tête .
Si je le mets sous un arbre , l'été il n'aura pas de soleil,
...
Ultime question: si je le mets en pot , supportera t il les changements d'emplacement suivant les saisons ?
Merci pour vos conseils :-D
Réponse de Virginie D., le 12 Janvier 2021
Bonjour,
J'ai un érable pourpre en pot, que je ne déplace pas car le pot est devenu trop lourd. Je l'ai mis dans un coin abrité et ombragé et tout va très bien.
Cordialement Virginie
Fontaine, le 2 Mai 2021
Bonjour, j'ai acquis il y a une semaine un érable "palmatifidium", n'ayant pas une terre adéquate (plutôt calcaire/argileuse), nous sommes dans le sud de la France, la vendeuse m'a alors conseillé de le mettre en pot avec de la terre de bruyère uniquement... J'ai donc pris un pot assez grand, mis une bonne couche de billes d'argile.....et de la terre de bruyère........et aujourd'hui en lisant plusieurs sites, je vois qu'il ne faut en fait pas mettre de terre de bruyère pure ???? est ce que ça met vraiment en péril mon arbre? je viens juste de le rempoter....je crains que si je défais tout pour faire un mélange de terre végétale avec la terre de bruyère...mon érable n'apprécie pas. Quel conseil me donnez vous ?? D'avance merci
Réponse de Virginie D., le 21 Mai 2021
Bonjour,
On ne plante jamais dans de la terre de bruyère pure ! C'est beaucoup trop pauvre. Je vous conseille vraiment de le rempoter sans tarder.
Cordialement
Nicolas K, le 11 Août 2021
J'ai planté un érable dans un endroit trop ensoleillé et les feuilles sont toutes brûlées: fin juillet l'arbre n'a plus de feuillage. Que puis je faire pour rattraper mon erreur?
Réponse de Virginie D., le 17 Août 2021
Bonjour,
Je pense que je le remettrais en pot et le placerait dans un endroit ombragé, le temps qu'il se refasse une santé avant de le replanter dans un endroit plus adéquat.