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L’Aralia elata est un arbre qui prend une silhouette élégante, assez épurée, avec de fines et longues branches peu ramifiées, portant un feuillage majestueux, très découpé. Il possède de grandes feuilles divisées en nombreuses folioles ovales. Sa végétation très ample apporte un style exotique au jardin ! Certaines variétés sont remarquables par leur teinte originale : on apprécie notamment l’Aralia cordata ‘Sun King’, au feuillage doré, très lumineux ; ainsi que l’Aralia ‘Silver Umbrella’, qui porte des folioles vertes marginées de blanc. L’Aralia offre également une belle floraison blanche, en grandes panicules, donnant un effet vaporeux, très léger. En automne, les fleurs sont remplacées par de petits fruits noirs ou pourpre foncé, très appréciés par les oiseaux. L’Aralia est souvent confondu avec le Fatsia japonica, qui est communément appelé « Faux Aralia ».
L’Aralia est une plante vigoureuse, assez résistante et plutôt rustique. Il se plait à mi-ombre, dans un terrain frais, riche, drainant. Il n’a pas vraiment besoin d’entretien, hormis le fait de supprimer de temps en temps les drageons qui apparaissent. L’Aralia apporte au jardin un aspect exotique, luxuriant ; il est idéal pour recréer une ambiance « jungle ». Il permet également d’aménager une zone très naturelle, en sous-bois, à mi-ombre. Il se marie très bien avec d’autres plantes aux feuillages généreux : fougères, hostas, brunneras, sceaux-de-salomon…
Les aralias rassemblent entre 70 et 80 espèces d’arbres, d’arbustes, et de vivaces herbacées rhizomateuses. On les trouve principalement en Asie et en Amérique du Nord. L’Aralia elata est originaire de l’est et du nord de l’Asie (Japon, Corée, Sibérie, nord-est de la Chine), tandis que les Aralia racemosa et A. spinosa proviennent de l’Amérique du Nord. A l’état sauvage, les aralias poussent surtout dans des forêts de montagne. L’espèce la plus cultivée dans les jardins est l’Aralia elata, un arbre caduc au feuillage très décoratif, divisé en folioles. Il est vigoureux et plutôt rustique, mais n’apprécie pas les gelées tardives, qui peuvent abimer ses jeunes pousses.
Au niveau botanique, l’Aralia a donné son nom à sa propre famille, celle des Araliacées, qui rassemble plus de 1 500 espèces. Cette famille regroupe d’autres plantes intéressantes pour leurs feuillages décoratifs : Fatsia, Schefflera, Cussonia, Tetrapanax… mais aussi, plus commun et moins exotique, le lierre (Hedera helix) ! D’ailleurs, les fleurs et fruits de l’Aralia californica ressemblent à ceux du lierre. Le ginseng (Panax ginseng) appartient également à cette famille.
En français, l’Aralia elata est nommé Angélique en arbre du Japon, ou Angélique de Chine, car il vient d’Asie et son feuillage rappelle celui de l’Angélique ; mais le Fatsia japonica, lui, est communément appelé Aralia du Japon… Attention à la confusion entre ces deux genres ! Seuls les noms scientifiques, en latin, permettent de vraiment identifier ces plantes. De même, le Polyscias, une plante d’intérieure de la famille des araliacées, est parfois appelé « Aralia de Balfour ». L’Aralia spinosa, lui, est aussi nommé Bâton-du-diable, à cause de ses épines ! En latin, le nom de l’espèce A. elata signifie « élevé », tandis que A. spinosa signifie « épineux ».
En général, l’Aralia elata mesure jusqu’à 5-6 m de haut, mais peut atteindre au maximum de son développement jusqu’à 10 mètres de hauteur. Il pousse assez rapidement, et son houppier peut atteindre autant en largeur, car il est assez étalé. C’est un arbre à la silhouette particulière : il est d’abord dressé, érigé, puis avec le temps prend une forme très élégante, en ombrelle. Il est intéressant de le cultiver en isolé pour bien en profiter. Le tronc est gris et rugueux, et porte des épines. Les branches sont assez fines et allongées, longues et peu ramifiées. Suivant la façon dont il est conduit, l’Aralia peut former un unique tronc, ou en constituer plusieurs (si vous laissez pousser des drageons). Lorsqu’il en forme plusieurs, cela donne un effet plus naturel et léger, en cépée.
Mais les aralias ne sont pas tous arbustifs ou arborescents ; ils comptent aussi des vivaces herbacées qui ne dépassent pas 1,5 m – 2 m de haut. L’Aralia racemosa est une grande plante vivace étalée et ramifiée, bien plus basse que les autres Aralia. L’A. californica est également une élégante vivace à feuillage luxuriant.
L’Aralia possède de très grandes feuilles divisées, qui se composent de nombreuses folioles. Elles sont vraiment décoratives, et donnent à la plante un aspect luxuriant, exotique ! Elles doivent à l’A. elata son surnom d’Angélique en arbre, ou Angélique épineuse, car elles rappellent celles de l’Angélique, qui porte également un superbe feuillage très découpé. Les feuilles de l’Aralia sont bipennées, deux fois divisées, et portées sur un pétiole un peu rougeâtre. Elles sont épineuses, portant de petites épines le long des axes foliaires. Les feuilles de l’Aralia elata sont pubescentes à la face inférieure. Elles sont étagées et se déploient en haut de branches nues, ce qui donne un aspect en parasol, ou ombrelle. C’est ce qui a inspiré le nom de certaines variétés, comme ‘Golden Umbrella’ ou ‘Silver Umbrella’.
Les feuilles des Aralia peuvent atteindre entre 1 m et 1,20 m de longueur ! Les folioles qui les composent, elles, sont ovales et petites, avec le bord du limbe légèrement denté. Elles mesurent entre 6 et 10 cm de longueur. Une seule feuille peut en compter 80 !
Les feuilles de l’Aralia sont habituellement vertes, et d’une teinte plus claire à la face inférieure. Cependant, plusieurs variétés offrent des teintes originales ! L’Aralia ‘Sun King’, par exemple, se distingue par son superbe feuillage doré. Les feuilles peuvent aussi être panachées, avec le bord du limbe irrégulièrement marqué de jaune crème chez ‘Golden Umbrella’, ou de blanc chez ‘Silver Umbrella’. Ces variétés à feuillages colorés sont précieuses pour apporter de la luminosité dans un jardin de sous-bois, en situation ombragée.
En automne, les feuilles de l’Aralia elata deviennent jaune orangé, voire rouge pourpré. L’Aralia fait partie de ces plantes qui marquent la fin de l’année par des teintes flamboyantes !
L’Aralia elata est une plante caduque : ses feuilles prennent de très belles couleurs en automne, puis tombent… Il en produira de nouvelles au printemps. D’une manière générale, la plupart des aralias cultivés dans les jardins sont caducs (A. spinosa, A. californica, etc.), mais dans la nature il existe également des espèces persistantes.
L’Aralia elata fleurit en fin d’été – début d’automne, vers août-septembre (l’Aralia spinosa, lui, fleurit un peu plus tôt, parfois dès la fin du printemps). La plante porte alors de grandes et longues inflorescences, à l’aspect léger, aéré, vaporeux. Ce sont des panicules d’ombelles, qui rassemblent de nombreuses petites fleurs, et apparaissent sur les pousses de l’année, en position terminale. Les panicules de l’Aralia elata mesurent souvent entre 40 et 60 cm de long ; celles de l’Aralia spinosa sont un peu plus grandes. La floraison est blanche ou blanc crème, parfois un peu verdâtre, et les tiges florales sont rougeâtres.
Les fleurs individuelles sont minuscules, mesurant environ 3 mm de diamètre, mais elles sont très nombreuses et rassemblées en grandes inflorescences ! Chaque petite fleur se compose de cinq pétales, et compte également cinq étamines, qui portent le pollen. Les fleurs sont mellifères, attirant les insectes pollinisateurs, et notamment les abeilles.
Elles laissent ensuite place à de petits fruits globuleux, qui apparaissent en automne. Ce sont des drupes de forme arrondie, qui mesurent entre 4 et 6 mm de diamètre, et sont ordinairement noires ou pourpres foncées. Elles sont très appréciées par les oiseaux, qui les consomment et assurent ainsi la dissémination des graines (zoochorie). Vous pouvez récolter les fruits afin de récupérer les graines à l’intérieur, et multiplier l’Aralia par semis. Cependant, ces graines mettent assez longtemps à germer (…jusqu’à six mois !)
L’espèce Aralia racemosa, communément appelé Aralia à grappes, est décoratif au jardin par ses superbes grappes de fruits rouge foncé – noir.
L’Aralia est une plante intéressante pour la biodiversité, car ses fleurs sont mellifères, et ses fruits sont appréciés des oiseaux.
L’Aralia elata est drageonnant : il produit des rejets, de nouvelles pousses qui se développent à partir des racines. De cette façon, il peut s’étendre et gagner du terrain. Il est possible de multiplier la plante en prélevant les rejets.
Plantez l’Aralia de préférence à mi-ombre, car il apprécie les situations lumineuses mais n’aime pas le soleil brûlant. L’idéal est qu’il profite d’une exposition ombragée au moins aux heures les plus chaudes de l’après-midi. L’exposition dépend aussi de votre situation géographique : vous pouvez l’installer au soleil si vous habitez le nord de la France, mais préférez la mi-ombre dans le sud. En résumé, évitez les extrêmes : le soleil brûlant comme l’ombre épaisse et dense.
L’Aralia apprécie les sols plutôt riches en matière organique, fertiles, humifères. Lors de la plantation, nous vous conseillons de mélanger à la terre un peu de compost bien décomposé. Le substrat doit être léger, profond et perméable ; évitez les terrains trop lourds et compacts. L’Aralia aime également les terrains frais, légèrement humides. Vous pouvez ainsi l’installer non loin d’un point d’eau ou bassin. Cependant, le substrat doit néanmoins être drainant. L’Aralia peut accepter une relative sécheresse.
Il est important également de choisir un emplacement abrité du vent, car celui-ci risque d’abimer le feuillage.
Par contre, les Aralia ne sont pas vraiment sensibles au pH du sol, ils peuvent pousser sur des terrains acides ou calcaires. D’une manière générale, l’Aralia n’est pas une plante très difficile, il peut s’accommoder de la plupart des terres de jardin. Il tolère également assez bien la pollution urbaine.
Avec le temps, l’Aralia prend une silhouette majestueuse, très élégante. Il est intéressant de le planter en isolé, au milieu d’une pelouse, pour bien mettre son architecture en valeur ! De plus, une plantation en isolé permet de facilement repérer et supprimer les drageons qui apparaissent (ce qui peut être plus problématique si vous l’installez juste à côté d’un massif).
Comme l’Aralia pousse assez vite et s’étend grâce à ses drageons, il peut être utilisé pour reforester rapidement une zone. Il permet d’apporter assez vite un couvert arboré à un jardin ou espace qui était jusque-là ouvert, sans arbres.
N’hésitez pas à installer l’Aralia dans des zones du jardin un peu reculées, que vous laissez sauvages et où vous intervenez rarement. Vous pourrez le laisser se développer naturellement et s’étendre un peu ; il formera ainsi un petit bosquet.
Vous pouvez planter l’Aralia en automne (septembre – octobre) ou au printemps (autour du mois d’avril). Intervenez lorsque le temps est relativement doux, en dehors des périodes de gel ou de fortes chaleurs.
Continuez à arroser dans les semaines qui suivent la plantation.
L’Aralia ne demande pas vraiment d’entretien, hormis peut-être le fait de supprimer de temps en temps les drageons qui apparaissent. Il prend naturellement un port élégant, bien structuré, et se passe très bien de taille, mais il vous pouvez aussi intervenir occasionnellement pour supprimer quelques branches abimées, mal formées, ainsi que les drageons.
Si dès son plus jeune âge, vous éliminez régulièrement les drageons, votre Aralia formera un unique tronc. Si au contraire vous en laissez quelques-uns, il constituera plusieurs troncs, et prendra une silhouette plus légère et naturelle, en cépée. La taille des drageons et des branches influera donc sur la silhouette générale de la plante.
Vous pouvez l’arroser durant l’année de la plantation, et en cas de sécheresse exceptionnelle. De même, vous pouvez de temps en temps déposer à ses pieds un peu de compost bien décomposé, pour enrichir le sol, et l’intégrer superficiellement par simple griffage. Cependant, si le terrain est trop riche et fertile, l’Aralia risque de devenir plus fragile, moins résistant.
L’Aralia n’est pas sensible aux maladies et ravageurs. Il est parfois attaqué par les pucerons, mais l’impact sur la plante reste assez faible.
Nous vous conseillons de multiplier l’aralia en prélevant les drageons qu’il produit. Il est aussi possible de semer les graines et de bouturer les racines. Les variétés horticoles au feuillage panaché et coloré, elles, se multiplient plutôt par greffage.
Les aralias produisent régulièrement des rejets, ou drageons, qui se développent sur les racines du pied mère. Il est possible de les séparer, afin d’obtenir de nouveaux plants. Faites-le de préférence en fin d’hiver, vers février ou mars.
Il est possible de multiplier l’Aralia en bouturant ses racines, en hiver (vers décembre-janvier).
Vous pouvez récolter les fruits, pour récupérer les graines qu’ils contiennent, et les semer en automne. Utilisez de préférence des graines fraiches, récoltées depuis peu de temps. Elles doivent être stratifiées à froid, en les plaçant par exemple au réfrigérateur, pendant environ 4 mois. Vous pourrez ensuite les semer.
Les graines mettent longtemps à germer (jusqu’à six mois… !), il faut donc être patient ! Une fois que les jeunes plantules sont assez grandes pour être manipulées, repiquez-les dans des pots individuels. Laissez-les sous abri pour l’hiver, au moins la première année. Vous pourrez ensuite les planter au jardin (faites-le de préférence au printemps).
Avec leurs grandes feuilles très divisées, les aralias s’intègrent bien dans les jardins de style exotique. Vous pouvez les associer à d’autres feuillages bien développés, généreux, comme le Datisca cannabina, le Gunnera, le Fatsia japonica, le Tetrapanax, l’Astilboides tabularis… N’hésitez pas à ajouter des bambous, et des lianes : profitez de l’Akebia quinata, des passiflores… Vous obtiendrez ainsi une sorte de jungle luxuriante ! Nous vous conseillons notamment d’utiliser l’Aralia californica, cette vivace majestueuse au feuillage imposant. Découvrez aussi la floraison surprenante de l’Arisaema !
Les Aralias sont parfaits également dans les jardins d’ombre, pour recréer une ambiance de sous-bois, très naturelle (surtout lorsqu’ils forment plusieurs troncs fins, et prennent un port en cépée !). Associez-les à des hostas, fougères, brunneras, sceaux-de-Salomon, aspérule odorante, etc. Découvrez le superbe feuillage du Paris polyphylla ! Profitez aussi de la floraison des Anemone nemorosa, jacinthes des bois (Hyacinthoides non-scripta), Corydales, Dicentra spectabilis, épimédiums, Geranium nodosum… pour apporter de petites touches de couleur ! Découvrez également le Cornus canadensis : un couvre-sol à fleurs blanches et feuillage décoratif. Vous obtiendrez un jardin naturel et frais, qui vous donnera l’impression d’une promenade en forêt ! Privilégiez les plantes de sous-bois, que l’on peut naturellement trouver en forêt ! Pour ce type de jardin, choisissez de préférence des plantes qui ne nécessitent pas vraiment d’entretien, et de petites fleurs qui peuvent se naturaliser. Concernant les aralias, nous vous conseillons plutôt les variétés panachées, car elles sont idéales pour apporter de la luminosité en sous-bois ! Elles éclairciront les zones les plus sombres de votre jardin.
N’hésitez pas non plus à associer les aralias à d’autres plantes qui prennent de belles couleurs en automne. Certains arbres et arbustes offrent en fin d’année de remarquables feuillages flamboyants, dans les tons rouge – orange – jaune – pourpre – bronze… Profitez notamment du Nandina domestica, des érables du Japon, du Parrotia persica, du Cercidiphyllum japonicum (arbre au caramel)… sans oublier le cornouiller sanguin, Cornus sanguinea, qui offre aussi en hiver une superbe écorce rouge orangée. Pour une belle ambiance automnale, vous pouvez également associer l’Aralia racemosa à d’autres plantes qui donnent une fructification décorative : fusain, Callicarpa, Viburnum opulus, Sorbus aucuparia… Cela aura en plus l’avantage d’attirer les oiseaux au jardin !
Avec sa silhouette élégante et épurée, peu ramifiée, l’Aralia apporte un style japonisant (…d’autant plus que l’A. elata est originaire d’Asie, et pousse naturellement au Japon !) Il peut sans problème s’intégrer dans un jardin zen. Associez-le à des érables du Japon, cerisiers à fleurs, Cornus kousa, Hakonechloa macra, Hostas, prêles, bambous… Vous pouvez ajouter quelques pins taillés en nuage, et éventuellement des éléments décoratifs structurants : lanternes, tonnelle, fontaine, carillon, ponton, pas japonais… mais sans excès. Laissez également une grande place au minéral, en intégrant des graviers, et quelques rochers aux formes intéressantes. Vous créerez ainsi une ambiance propice à la méditation.
N’oubliez pas non plus que l’Aralia est magnifique aussi en sujet isolé ! Cela permet de vraiment mettre en valeur sa silhouette, tout en contrôlant facilement les drageons.
Plusieurs espèces d’aralias sont comestibles, et consommées dans certains pays d’Asie. On emploie surtout les jeunes pousses de l’Aralia cordata (mais l’A. elata est comestible également), qui se récoltent au printemps, lorsqu’elles sont encore tendres. On peut ensuite les faire blanchir et les consommer comme des asperges, ou alors les faire frire. D’ailleurs, l’Aralia cordata est aussi appelé Aralia edulis (synonyme), et ce nom d’espèce, edulis, signifie “comestible” en latin. De même, les fruits de l’Aralia racemosa sont comestibles ! La racine de cette espèce est aussi médicinale, efficace contre les affections respiratoires, l’asthme, le rhume, la toux… On l’utilise surtout en homéopathie.
Fatsia ou Aralia ?
Bien que leurs noms communs prêtent à confusion (Aralia du Japon = Fatsia japonica), ces deux plantes ne se ressemblent pas vraiment. Le Fatsia porte de larges feuilles palmées, tandis que celles de l’Aralia sont finement divisées, en petites folioles ovales.
Faut-il supprimer les rejets ?
Tailler les drageons produits par l’Aralia permet de limiter son expansion et d’obtenir un aspect plus soigné, maîtrisé. Les rejets posent problème si vous avez par exemple un massif de vivaces juste à côté, l’Aralia pouvant ainsi l’envahir, s’y mêler. Cependant, si votre Aralia est installé au fond de votre jardin, dans une zone assez naturelle, vous pouvez laisser les rejets se développer. Il formera alors plutôt un bosquet, une touffe avec plusieurs troncs, ce qui créera un effet sauvage et naturel. Si vous avez la place et que les rejets ne gênent pas les autres plantes à côté, vous pouvez donc les laisser. Enfin, les drageons peuvent être intéressants également pour multiplier la plante : vous pouvez les prélever, les séparer du plant d’origine, et les replanter à un autre emplacement dans votre jardin.
Dois-je tailler l’Aralia ?
L’Aralia a naturellement une forme élégante et assez épurée, faiblement ramifiée ; il peut donc se passer de taille. Néanmoins, il reste préférable de supprimer les branches mortes ou abimées, lorsque vous en voyez. De même, vous pouvez éliminer les drageons.
Dominique Stickelbaut , le 29 Février 2024
est ce que l'aralia cordata sun king disparait complètement en hiver ?
planté en aout 23 , je n'en vois plus trace !
Réponse de Ingrid , le 29 Février 2024
Bonjour.
L'Aralia cordata 'Sun King' est une plante vivace herbacée, ce qui signifie que ses parties aériennes (feuilles, tiges) meurent en hiver et repoussent au printemps à partir de ses racines. Il est donc normal de ne plus voir de trace de votre plante en hiver.